Maître lopé devant sa salope par un mec en skets !
Un maître lopé devant sa propre salope !
J'ai convoqué une de mes salopes pour 7 heures devant mon bureau. La salope en question, Thierry, 48ans, 1m80, 70kilos, retraité de la marine, n'est pas un jeune comme je les aime, mais c'est une bonne chienne lors de nos plans, bien obéissante et plutôt endurante.
A 7 heures il m'attend à l'entrée de l'immeuble de mon bureau, habillé en jean, skets Fred Perry et t-shirt.
Moi je suis en costard noir, chemise blanche, cravate rouge et mocassins Hermès Richelieu Fairway aux pieds.
Il est 7 heures, il n'y a personne au bureau, Thierry et moi serons tranquilles ! Je vais le loper grave !
En arrivant, je trouve le Financial Times livré à la porte du bureau, le ramasse et le pose sur une chaise de l'accueil.
Pour commencer, je lui demande de préparer un café et de me l'apporter. Puis je l'envoie chercher à 4 pattes le journal posé dans l'entrée.
Je prends les chaussettes de tennis de ma séance de sport de la veille et lui jette pour qu'il les sniffe. Il est ravi : je l'ai ai portées depuis le début de la semaine pendant toutes les séances collectives de sport. Elles daubent à un kilomètre, surtout que je transpire un max dans Nike BW.
Je lis mon journal et bois mon café. J'ordonne à Thierry d'enlever ses skets, son jean et son slip, et de se mettre sous mon bureau : un immense bureau ministre de 2,5m par 1,5m, avec des tiroirs de chaque côté et une façade. Donc personne ne peut voir mes jambes.
Au passage, je lui enfonce mes deux chaussettes de sport dans la gueule pour qu'il ne puisse pas crier.
Thierry est à quatre pattes sous mon bureau, cul tourné vers moi, bâillonné par mes chaussettes crades et odorantes. Je lui applique la pointe de ma Vuitton dans le trou du cul. Je le sens frétiller de plaisir.
D'un coup la porte s'ouvre. C'est Branko, le gars de la société de nettoyage. Je l'avais oublié. Il prend son service à 7h25.
Je chuchote à Thierry : " pas un bruit, quoi qu'il arrive ! "
Et là j'enfonce ma pointe de Vuitton dans son cul de salope.
Nous discutons 5 minutes avec Branko pendant lesquelles je bourre le trou du cul de Thierry de coups de pied dans la rondelle. Doux au début, mais avec de plus en plus d'élan et de plus en plus fort.
Avec les chaussettes de sport dans la gueule, Thierry ne peut émettre aucun bruit.
Parfois, après le coup je maintiens ma pointe de Vuitton dans son fion et je l'enfonce le plus fort possible en la remuant. Il sent ma Vuitton lui labourer la rondelle et le début de son trou de salope !
Branko : vous avez un problème à une jambe ?
Moi : juste une crampe. Merci Branko !
Et Branko s'en va.
Mes Vuitton sont bien pointues au bout et je sais que Thierry doit avoir super mal car je me suis un peu lâché à la fin. Surtout que là, comme c'est à l'aveugle j'ai parfois tapé à côté de son trou du cul : ses fesses seront couvertes de bleus demain.
Ce n'est pas grave, il regardera ces bleus en pensant au plaisir que je lui ai donné.
Je me lève et ferme la porte du bureau à clef après la sortie de Branko.
Je m'assois et je sors ma bite. J'appelle Thierry pour qu'il se tourne vers moi et lui enlève mes chaussettes de sport pourries que je lui avais enfoncées dans la gueule pour éviter qu'il ne crie.
Maintenant, il va avoir besoin de sa bouche pour me sucer à fond comme une chienne.
Thierry me suce bien mais trop lentement à mon goût. Je lui attrape la tête pour qu'il prenne ma bite de 15cm bien au fond de sa gorge. Il s'en étrangle mais je continue en m'arrêtant à temps pour qu'il ne vomisse pas
Soudain, je m'aperçois qu'il se branle en même temps qu'il me suce.
Moi : tu viens sucer ma bite et tu commences à te branler ; mais c'est mon plaisir pas le tien !
Pour le punir de se faire plaisir sans mon autorisation, je lui colle un putain de coup de Vuitton sur les couilles, bien avec le dessus de mon 42 qui lui écrase les couilles !
Thierry est blanc, il a vraiment eu mal car je n'ai pas retenu mon coup et j'ai bien senti ses testicules s'étaler sur ma Vuitton. Un cri commence à se former dans sa bouche et il se tient les couilles avec une main.
Son cri n'a pas le temps de sortir car mon gland lui défonce la bouche pour s'écraser contre le fond de sa gorge.
Je sens que je vais jouir et avec ma main je le force à accélérer le mouvement.
Moi : Ferme bien ta bouche, je veux sentir tes lèvres me masser la bite ! Oui comme ça !
A chaque passage mon gland sent ses lèves humides offrir une légère résistance et sa langue me lèche la tige comme une folle.
Je sens que je vais jouir. J'approche mes Vuitton de ses couilles, et je les presse doucement pendant que je lui envoie dans la gorge plusieurs jets de sperme.
Thierry est aux anges en recevant mon foutre dans la gorge mais il souffre car je lui travaille les testicules. Mais la raideur de sa bite montre que ce mélange subtil de douleur et d'humiliation lui donne un plaisir intense.
Moi : Nettoie ma bite avec ta langue, mais avec la pointe pour que ça dure longtemps !
Nous prenons notre temps, jusqu'à ce que ma bite soit bien ramollie et qu'elle ait donné tout son jus.
Il reste du jus sur mon ventre. Je passe un sachet de serviettes de toilette imbibées pour que Thierry finisse me nettoyer.
Pendant, qu'il me nettoie la bite avec la langue et le ventre avec ces lingettes, après l'avoir fait souffrir avec mes Vuitton, je veux qu'il en tire plaisir.
Je positionne mes Vuitton de chaque côté de sa bite et le branle avec. La semelle de cuir est super douce et je prends soin de la bite de ma salope. Mes caresses avec mes semelles de pompe sur sa bite de chienne la font gonfler à bloc.
D'un coup on entend la poignée de ma porte jouer. Tout à l'heure au départ de Branko, je l'ai fermée à clef pour pouvoir m'occuper de Thierry tranquillement avant l'arrivée du personnel à 9 heures. Or, il est à peine 8 heures et j'ai entendu Branko partir après son service de ménage.
J'entends un mec râler derrière la porte et je reconnais la voix de mon patron !
Mon patron s'appelle François, 43 ans, 1m92, 85 kg, une bête de muscles et de satisfaction de lui-même.
Marié avec enfants, mais il aime aussi les mecs qu'il adore martyriser. C'est d'ailleurs après un plan où nous avons lopé le même mec qu'il ma recruté. Je cherchais du boulot comme avocat et il avait un poste de libre.
Nos rapports sont professionnels même si de temps en temps, nous débordons un peu et que nous allons tous les deux chasser la pute à jus.
J'ordonne à Thierry de ramper jusqu'au placard ou je range ma veste et différents trucs, et je pousse la porte du placard où je jette les fringues de Thierry puis je vais ouvrir à mon patron.
François : putain ! Pourquoi tu te fermes à clef ?
Moi : j'avais un dossier à voir tranquillement, comme Branko faisait du bruit en faisant le ménage j'ai fermé la porte et j'ai dû la verrouiller sans le faire exprès.
François est habillé en tenue de tennis : polo de marque, short Nike et de belles Nike de tennis AIR Max CAGE Dragon usées. On ne voyait que ces skets usées, pointure 47 pour bien tenir ses 1m92.
François : hier je t'ai prêté le badge du parking du club de tennis, tu peux me le rendre ?
Moi : oups, je crois que je l'ai laissé chez moi !
François : tu plaisantes ! J'ai rendez-vous avec le serveur du clubhouse pour le loper. J'ai pris mes Air max Cage pouraves rien que pour ça. Il s'est jamais tramplé par un mec de ma taille et je vais lui faire ça dans le parking du club de tennis.
J'imagine François, vicieux comme il est, utilisant son 47 pour trampler un mec... et ma gorge se serre en pensant à ce que va découvrir ce joli minou. J'espère qu'il aime souffrir.
Moi : vraiment désolé François. Mais...
François : tu fais chier, tu vas me faire manquer un super coup !
Puis François aperçoit les lingettes ans ma corbeille. Normalement elle devrait être vide puisque Branko est passé quelques minutes avant. François se penche et ramasse une serviette, la sniffe et se tourne vers moi.
François : me dis pas que tu as fais venir une salope dans ton bureau ! Ces serviettes sentent le sperme ! Je te l'ai déjà dit : jamais au bureau !
François m'attrape par le bras, me pousse vers le bureau, place son autre main sur ma nuque et me casse en deux en plaquant mon torse et ma gueule contre le plateau.
François : tu me fais manquer un coup d'enfer avec une salope qui a un physique à tomber par terre, et en plus tu joues avec une salope dans mes bureaux. Putain, tu vas prendre cher ! Très cher ! Baisse ton pantalon et ton slip.
Je ne sais pas ce qui va m'arriver mais je connais François. Il est peut être très brutal avec ses salopes. Là, il est en colère en pensant à son coup raté et en plus il sait que je ne suis pas une salope.
Je me retrouve vautré la gueule dans mes dossiers, le pantalon et mon slip sur les Vuitton qui tout à l'heure martyrisaient ma salope de Thierry, le cul à l'air offert à mon patron.
François : loper une salope c'est bon, mais loper un maître ça va être meilleur. J'en ai toujours eu envie !
Je me prends une énorme claque sur la fesse droite. François a des mains proportionnelles à ses pieds. Je crie.
François : tu peux crier, il n'y aura personne avant 9 heures ! Nous sommes seuls !
Pour me faire hurler, François me colle une fessée à la mesure de sa frustration de n'avoir pas pu trampler le jeune minet du club de tennis.
Je suis au bout car la douleur est trop forte et François ne s'arrête pas.
Plus je crie, plus il frappe mon cul.
François : alors salope, tu vois ça aurait mieux pour toi que cette chienne du tennis-club supporte mon 47.
Sous la douleur, j'éclate en sanglots ce qui ravit François qui cesse sa fessée.
D'un coup je repense à Thierry que j'ai mis à l'abri des regards de François dans le placard...dont la porte est entrouverte !
Thierry est une salope mais c'est aussi un voyeur. Je suis sûr qu'il a kiffé la méga fessée que j'ai prise et qui m'a fait hurler et pleurer comme une fillette.
François : à mon avis tu ne vas pas t'assoir pendant un moment ! T'as le cul en marmelade mec ! Putain, ça m'a mis une trique de te fesser comme une salope ! Je crois que je vais aller dans mon bureau me branler en matant une vidéo. Tu vois que je suis sympa, je t'oblige même pas à me sucer !
Ce qui devait arrivait arriva : à force de mater tout ça, Thierry s'est trop appuyé sur la porte du placard.
François attrape Thierry brutalement, le sort du placard et l'envoie près de mon bureau avec un grand coup de 47 dans son cul nu de salope.
François a mis au bout de son 47 la colère qu'il a ressentie en voyant que ma salope était dans le placard et Thierry a pris ce 47 en plein dans la rondelle.
Thierry est endurant mais la Nike Air Max Cage 47 lui arrache un cri de douleur en pénétrant dans son trou du cul comme piston trop gros défonce un cylindre trop petit pour le recevoir.
François s'assoit dans mon siège et se tourne vers Thierry qui bande comme un mulet, peut-être à cause du coup de 47 qu'il vient de supporter...
François : alors salope, tu as bien maté ? Tu t'es fait plaisir ? T'es sorti au bon moment, j'aurai même pas besoin de vidéo pour me branler ! Nettoie mes Air Max ! Un conseil fais-le bien car tu as vu ce dont je suis capable !
Thierry est comblé par les ordres de François et s'applique aussitôt à nettoyer ces Air Max bien sales. Ce n'est pas tous les jours, que l'on dispose d'un 47 à traiter après avoir vu une brute de 1 m 92 fesser son maître comme une chienne.
François sort sa bite. Elle est à sa mesure : 22 cm hyper épaisse. Me fesser comme une garce lui a donné du plaisir car sa bite est déjà bien humide.
Ca me gave grave d'avoir autant mal au fesses et de voir ma salope prendre son pied en léchant le 47 de mon patron.
Je me mets derrière lui et je lui claque les fesses à toutes volées. J'essaie de frapper aussi fort que je peux mais je suis loin d'égaler la puissance de mon patron.
Un 47 c'est large, c'est long... mais tellement bon ! Thierry, qui n'a pas encore joui depuis son arrivée ce matin à 7 heures, a manifestement une bite qui veut cracher.
Thierry apprécie manifestement sa situation car à chaque claque sur les fesses que je lui administre sa bite a un soubresaut. Je crois que si je continue il jouira sans ce toucher. Il mouille et de longs filets de fluide séminal pendent de son méat à ses poils.
Moi : François, tu m'as mis le cul à vif, je ne pourrai pas bosser aujourd'hui.
François : ta gueule, laisse moi profiter de ta salope qui n'a rien à faire ici normalement. Tu partiras te reposer si tu veux mais je n'en ai pas fini avec toi ! Arrête de fesser ta salope, c'est pas ton rôle aujourd'hui ! J'oublie pas le minou dont tu m'as privé ! Suce ta salope !
Moi : t'es fou ! Sucer ma salope, jamais ! Et là-dessus, je me penche pour fesser davantage Thierry.
François se redresse et m'envoie une gifle qui me fait tomber au sol.
François : putain, si je me lève et que tu interromps la pipe que me fais ta salope, je te défonce la gueule.
François n'est plus lui-même. Il est dans son trip. Quand il est comme ça, il vaut mieux obéir.
François reprend sa place au fond de mon fauteuil, ma salope lui décrasse on 47 et moi je taille une pipe à Thierry dont j'ai lopé la gorge à coup de jus tout à l'heure. J'ai honte, tellement honte mais je m'efforce de bien sucer Thierry.
Thierry relève sa tête de la Nike Air Max de François et dit qu'il va jouir.
Là j'ai les larmes aux yeux car je vais me prendre le jus de ma salope dans la bouche.
François se lève pour m'attraper la tête et me l'enfonce sur la bite Thierry au moment où il crache pour que j'aie bien son sperme dans la gorge.
François : putain, te voir gober de force le foutre de ta salope personnelle, c'est trop bon !
François est aussi au bout, je le vois à la manière dont sa bite est gonflée. Moi je suis un peu ko avec toutes ces émotions. Je m'assois sur mon cul et me met aussitôt sur le côté car le contact entre le sol et mes fesses en feu est trop douloureux.
François voit mon cul : j'ai un beau cul ferme, imberbe. Par pulsion devant ce cul magnifique qu'il n'a jamais fécondé, François me pousse et je me retrouve allongé sur le sol ventre à terre et cul en l'air.
Avant même que je puisse réagir François était assis sur mes jambes.
François enfonce d'un coup, sans capote ni gel, sa bite de 22 cm dans mon cul qui n'a eu aucune préparation. Je reconnais bien sa brutalité et son gland m'a déchiré le trou du cul.
Sa pénétration est violente comme il aime, il met d'un coup ses 22 cm au fond et chaque coup de bite est un supplice.
Mais ca dure peu. Excité par la fessée qu'il m'avait infligée, le décrassage de ses skets par Thierry et l'éjaculation de Thierry dans ma bouche, il m'inonde rapidement le trou de foutre.
Thierry se remet de ses émotions assis sur le sol contemplant son maître se faire tringler par une bite énorme.
Après avoir joui, François se retire et roule sur le dos. Sa grosse bite encore raide, maculée de ma merde à certains endroits, laisse couler du sperme.
Moi je sens que mon cul est plein de sperme.
François : allez les gars on respecte la hiérarchie. Thierry vient nettoyer le cul de ton maître qui est plein de mon foutre.
Et s'adressant à moi : et toi viens nettoyer ma bite, lèche bien tous le jus et avale la merde que ton cul de salope a mis sur ma bite.
Thierry se fait un devoir de me lécher les fesses puis la raie du cul pour effacer toute trace de sperme.
Il s'attaque ensuite à mon trou du cul qu'il tête comme pour en faire sortir la semence de François. Ca pourrait me faire bander tellement c'est bon et que Thierry fait ça dans les règles de l'art.
Mais je ne bande pas car nettoyer ma propre merde de la bite de François me dégoûte. Je me sens lope parmi les lopes : je lèche ma propre merde sur une bite de 22cm qui m'a violé et inondé de cul de foutre.
Quand nous avons fini nos travaux de nettoyage respectifs, François se relève et dit à Thierry de se tirer s'il ne veut pas se faire défoncer.la gueule.
Thierry en rigolant lui tend son cul et se reprend un méchant coup de 47 pile dans l'oignon qui le fait gueuler comme le premier.
François : le prochain c'est dans tes couilles ! T'as jamais testé un 47 dans les couilles ? Et je ne veux plus te revoir ici !
,
Prudemment, Thierry s'habille ne deux secondes et se tire.
Moi : François, tu m'as violé !
François : et alors, tu m'as toujours dit que c'était un de tes fantasmes ! Te faire violer et avoir mal au cul ! C'est fait ! Tu devrais me dire merci.
Moi : mais tu m'as déchiré et fessé devant ma salope !
François : c'est trop bon ! Je t'assure ! En plus t'as un cul !
Moi : je me barre chez moi !
Même si François a raison, je lui ai souvent parlé de ce fantasme, je suis encore humilié de cette séance.
François : prends ta journée si tu veux ! En tout cas, je t'encule à nouveau quand tu veux, mais hard car tu sais bien que c'est ma façon de jouir.
Moi : je prends ma journée et on reparle de tout ça plus tard.
Mon téléphone sur la table vibre. SMS de Thierry : trop bon ce matin ; top ton patron ! j'ai adoré les deux coups de son 47 dans le trou du cul ! Moins fort ça aurait été mieux mais c'était bon quand même !
Moi : c'est Thierry ; il te remercie, tu es top. Il a adoré les 2 coups de pied dans le trou du cul même s'ils étaient trop forts.
François : j' suis allé un peu fort c'est vrai ! Mais s'il kiffe ce genre de coup, mes Air Max Cage sont top pour ça et à sa disposition pour une séance de asskicking !
5 minutes après, je quitte mon bureau pour aller prendre une douche. Mes fesses me cuisent moins, mais j'ai un putain de mal au cul. Les 22 cm brutaux de François se rappellent encore à mon souvenir.
En arrivant chez moi, je me sers un cognac pour me remettre. Finalement, François a eu raison de me traiter comme ça : j'ai passé un super moment surtout ceux où je me suis fait loper par mon patron.
J'étais en colère car c'était la première fois et que ce n'était pas prévu.
J'envoie un sms à François : " Finalement, j'ai adoré ! "
Sms de François : " je savais que tu allais t'en rendre compte. Je t'ai donné ce que tu voulais en fait ! "
Pumasics
pumasics@yahoo.fr