Initiation à la fac
Bonjour à tous,
Je m'appelle Paul, je fais 1m78, très bien foutu, châtain clair, yeux verts. J'ai aujourd'hui 25 ans et je voudrais raconter ce qui m'est arrivé pendant mes années de fac et comment ma vie a complètement changé. À l'époque, j'étais un jeune mec assez sûr de lui, plutôt branleur. Je n'hésitais à tricher aux examens quand je pouvais et je ne bossais pas plus que ça. Bref le style même du jeune mec qui découvre la fac et qui en profite à fond. Côté sexe, je fantasmais totalement sur les mecs mais je n'osais pas passer à l'acte. Les meufs me tournaient autour mais je m'en foutais. Je fantasmais notamment sur un de mes chargés de TD, le pur beau gosse, environ la trentaine, brun aux yeux bleus, 1m80, super bien foutu. Toujours habillé près du corps, ce qui faisait qu'on voyait son corps musclé. Toutes les filles bavaient devant lui et moi rien de le voir, je bandais et je mouillais, mais je n'osais pas entreprendre quoi que ce soit. Son cours était en plus super intéressant. Quand j'y repense, j'aurais dû voir quelque chose car tous les chargés de TD de cette matière étaient de purs bo gosses, super stylés et bien fringués. Je mattais aussi le prof d'amphi même s'il avait plus de charme. Il était surtout super impressionnant, un vrai tueur dans sa matière et un prof hors du commun.
Il tenait l'amphi en haleine comme j'ai jamais vu : tout le monde buvait ses paroles. Mais en même temps, il était super exigeant et le niveau était très élevé. En plus ce mec j'admirais était toujours super fringué, avec des costards de grands couturiers qui le mettaient en valeur. Il devait avoir 32 ou 33 ans, donc super jeune pour un tel poste. Il faisait 1m75, brun, barbu, bien dessiné. Bref je fantasmais sur tous ces mecs, imaginant même des plans avec le prof d'amphi et le chargé de TD... Pendant ce temps je ne foutais rien, et résultat aux examens, j'allais bien me planter. Je me suis donc fait des antisèches pour éviter la copie blanche. L'exam se passe, visiblement personne ne remarque rien, je suis soulagé.
Une semaine après, je reçois une convocation du prof d'amphi dans son bureau pour le lendemain à 18h. Je flippe un peu, craignant qu'il n'ait découvert quelque chose. Parce qu'alors c'est le renvoi et la fin de mes études, ce que mes parents ne me pardonneraient jamais !
Bien stressé, je frappe à la porte du bureau à l'heure dite.
Entrez.
Vous avez demandé à me voir Monsieur ?
Oui, asseyez-vous. Je pense que vous savez pourquoi vous êtes là ?
Non Monsieur. Il y a un problème ?
Oh que oui. Que penserait votre famille d'un renvoi définitif de toute fac pour tricherie ?
Je commençais à trembler. Il m'avait donc découvert.
Mais je n'ai jamais triché...
Ne vous foutez pas de ma gueule ! Maintenant si va falloir assumer ! Je ne supporte pas les tricheurs.
Je vous en supplie, Monsieur, c'était une énorme erreur, je ne le ferai plus jamais. Je promets de corriger le tir.
Il est certain que vous n'allez pas recommencer ! Mais vous ne vous en tirerez pas comme ça !
Je vous prie Monsieur, je ferai ce que vous voudrez mais ne me virez pas.
Vous ferez ce que je voudrais ?
Oui Monsieur, je vous en supplie.
Êtes vous conscient de ce que vous dites ? Si vous vous engagez dans cette voie, il n'y aura pas de retour en arrière...
Je m'interrogeais, je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire, mais j'étais prêt à tout pour sauver mon année.
Oui Monsieur, tout ce que vous voudrez.
Bien !
D'un coup, il changea de ton, prenant un ton très autoritaire : debout !
Je m'exécutais. Il vira la chaise loin de moi. Maintenant à poil !
Pardon ?
Je n'ai pas eu le temps d'en dire plus que je me suis pris une grande gifle qui m'a à moitié sonné.
J'ai dit à poil ! et plus vite que ça !
En tremblant je m'exécutais... je me retrouvais en boxer au milieu de son bureau.
J'ai dit à poil ! virez moi ce boxer aussi.
J'hésitais mais je voyais la claque arriver alors j'obéis. Il prit alors toutes mes fringues et les enferma à clé dans un tiroir devant moi.
Je pensais que le pire était passé, qu'il voulait juste m'humilier, mais ce n'était que le début. On frappa alors à la porte. Il répondit : Entrez.
Je tremblais de partout, j'essayais de cacher ma queue et mes couilles.
Là mon chargé de TD, l'objet de tous mes fantasmes entra. Je ne savais plus où me mettre.
Ah Alexandre, vous tombez bien. Le jeune Paul ici présent vient d'accepter n'importe quoi pour que je ne dénonce pas sa tricherie. Vous allez pouvoir m'aider à le remettre dans le droit chemin.
Mais certainement Monsieur. Qu'envisagez-vous ?
Je pense qu'il faut qu'il apprenne sa place. Je vais vous confier son éducation, je veux qu'à la fin il soit devenu parfaitement obéissant. Vous connaissez mes goûts, je vous laisse faire.
Et là le prof s'assoit à son bureau et me regarde toujours à poil sans dire un mot.
Alexandre s'approche de moi. Il enlève mes mains qui cachent mon sexe. Il attrape ma queue et mes couilles, les malaxe un peu. Il me souffle dans le cou, se colle à moi. Aussitôt, le contact avec mon fantasme commence à me faire bander. Je vois le prof avoir un petit sourire.
A suivre...
Gaspard