Deux potes
Avec un gars, je prenais un apéritif à une terrasse lorsque deux superbes mecs se sont assis à côté de notre table. Du coup, on s'est arrêté de parler et nous avons tous les deux fait un hochement admiratif. Puis nous avons repris la conversation.
Les mecs d'à côté ont commandé des apéro et se sont mis à siroter tranquillement sans parler. J'avais du mal à ne pas les regarder. D'ailleurs j'avais l'impression qu'ils suivaient notre conversation. A un moment nous les avons fait rire et ils se sont mêlés de notre discussion le plus naturellement du monde.
Cà a fonctionné rapidement entre nous et nous n'avons pas vu passé l'heure. Nous avons pris plusieurs tournées générales et j'étais prêt à en remettre une, lorsque l'un des gars a dit qu'il n'habitait pas loin et que ce serait plus économique de continuer chez lui.
Habituellement, j'aurais décliné l'invitation mais je n'avais rien de prévu et les mecs étaient chaleureux. Nous avons accepté à condition de ramener une bouteille de Whisky. Un tour au commerce, 300 mètres à pied et nous nous sommes retrouvés tous assis dans les canapés confortables d'un appartement spacieux avec comme originalité un grand tatami au sol disposé comme un tapis.
Ils se sont présentés, Paul, le brun avec une légère barbe sur la mâchoire et des yeux bleus lumineux de malice, Benoit, le blond ravageur, avec une crinière d'or touffue et des yeux bleus de la couleur de son jean délavé. Nous avons bu tranquillement les 3/4 de la bouteille de whisky et bien rient avant que je ne pose la question fatidique.
Depuis un moment, elle me trottait dans la tête. Que faisait un tatami au milieu du salon? On était pied nu dessus, c'était confortable mais pourquoi pas un bon tapis ?
Pour toute réponse, Paul s'est levé, m'a regardé longuement avec un demi-sourire énigmatique comme s'il cherchait à lire dans mes pensées. Et vu ce que je pensais devant ce beau mec, je me suis mis à rougir. Paul riant maintenant à pleines dents a enlevé son T-shirt découvrant une plastique affolante.
Ebahi par ce corps athlétique,je me suis mis à bander furieusement en cachant mon érection avec l'avant bras. La main de Benoit est venue me caresser furtivement la braguette pour bien me signifier qu'il m'avait vu.
Paul a dégagé la table et nous a demandé de nous mettre à genoux pour découvrir tout l'intérêt du tatami. A moitié bourré, machinalement, on s'est mis à genoux sans méfiance. Benoit s'est levé énergiquement, a viré le canapé contre le mur, puis en lançant un "tu vas comprendre" un peu rude, il est venu me plaquer fermement le visage sur sa braguette.
A genoux, à la bonne hauteur, je me débat très mollement car j'apprécie cette entrée en matière sans fioritures. Je sens que c'est déjà tendu là dessous.
Paul explique :
- On est en chasse et le tatami est notre repère. On vous observe depuis un moment. Et on pense que vous êtes le bon gibier. Tel que je vous vois je suis sûr que vous allez apprécier la suite. On va se payer une bonne tranche de sexe tous les quatre.
Et là sans transition, Benoit me relâche, montre du doigt mon voisin toujours à genoux et s'adressant à son pote:
- Paul en fait je veux plutôt celui là, çà ne te dérange pas?
Sans attendre la réponse, comme pressé de commencer, il se positionne devant mon ami. Celui ci vient de lui même enfoncer sa face dans la bosse du jean clair. Je n'en reviens pas, là, il lui annonce carrément la couleur, il vient de choisir son maitre et va se soumettre docilement.
Je regrette mon beau blond, je ne vois pas ce que j'ai fait ou pas fait pour qu'il me laisse tomber.
Benoit, heureux comme un gamin sur son nouveau jouet, tout sourire, prend ses deux mains pour caler la face offerte entre ses cuisses.
Puis la serrant bien, il retire son T-shirt d'une manière particulièrement sexy.
Je ne débande pas.
Paul un tantinet goguenard, m'interpelle en dégrafant son ceinturon:
- Eh c'est là que çà se passe entre nous deux. Vous êtes plus volontaires que l'on pouvait l'imaginer. Ca promet. Approches toi, on va jouer. Je vais commencer par te baiser la face.
Il descend bruyamment le zip de sa braguette, écarte les pans du jean en tendant le bassin vers moi. Là aussi, c'est très bandant. J'avance illico à quatre pattes vers la belle turgescence du slip.
Paul me fixant des yeux dit rêveusement à Benoit:
- Tu as tord de l'avoir lâché Benoit,regarde cette bouche gourmande avancée vers son destin. Waouh, j'vais pas le décevoir.
Benoit hausse les épaules et, serrant un peu plus mon pauvre acolyte, il lui dit méchamment en plongeant son regard dans les yeux qui dépassent au raz de son sexe :
- Toi t'as intérêt à bien sucer sinon il y aura des représailles.
Puis il dégrafe rageusement, ceinturon et boutons du jean en fixant sa victime qui gémit sous la pression. Je remarque l'énorme érection de Benoit qui pousse sur le pauvre gars que j'ai failli être.
Paul me ramène assez brutalement à sa personne. Il vient m'attraper la tête à deux mains et me la colle sur son slip et me donnant une petite tape sur le crane me dit :
- T'occupes pas du voisin. Aller sniffe et frotte ta jolie gueule là dessus.
Humm, j'aime cette odeur. Paul souriant me laisse sans contrainte le renifler de près. Il commence à ôter ses vêtements un à un en se contorsionnant très virilement au dessus de moi, prenant soin de ne jamais perdre le contact de mon nez qui le fouille avec envie.
Paul parait moins brutal. C'est un très beau mec et je suis aux anges. C'est un vrai rêve.
Du coin de l'oeil, je vois que Benoit, toujours dans la même position, malaxe avec les cuisses la tête de l'autre pour le faire monter le plus haut possible dans son entrejambe. Ca à l'air d'être l'enfer. Benoit est super bandant à fixer ainsi sa proie en lui laissant juste les yeux libres pour y lire le degré de soumission et visiblement çà l'excite. Il veut surement un agneau bien tendre pour lui servir une méga fellation. Je bande encore plus et je me réjouis de ne pas être l'agneau de Benoit. Je l'ai échappé belle. C'est un brutal.
Du coup je suis plus présent pour mon Paul. Il n'a plus qu'un slip sur lui. Je plonge littéralement dedans à la recherche de tous les endroits odorants du tissu. Il facilite la visite en ouvrant grand les cuisses et s'adressant à Benoit, il dessine notre avenir proche:
- Les gourmands on va leur en donner, je vais me l'enfiler à fond.
Et Benoit de répondre :
- Tu as raison moi aussi je vais bientôt lui montrer l'engin qu'il va vider. Le veinard, il va se goinfrer.
Côté Paul, le slip vient de tomber. Je me retrouve le nez dans ses couilles.J'admire le bel engin qu'il caresse nonchalamment de sa main droite pendant que l'autre main me saisit la tête pour mieux me guider vers ses points sensibles. Quand, j'en sniffe ou en bisoute un, il frémit de tout son corps et son pénis durcit inexorablement sous mes yeux.
L'excitation monte progressivement.
Paul utilise assez rapidement sa force pour me maintenir sur son sexe en rut. Il me présente de plus en plus souvent de manière désordonnée son pénis qui en se décalottant exhale tout son arôme. Je colle les narines dessus, renifle bruyamment. Il se cabre, positionne sa cerise turgescente sur mes lèvres et pousse de toutes ses forces. J'entends Benoit l'encourager.
Il glisse entre les dents en me fixant:
-Avales
J'ouvre la bouche. Paul rentre en douceur mais profondément. Par de lents va et vient, il me met la pression. J'essaye de contenir l'engin qui cherche à me transpercer la gorge. Mon nez est écrasé dans la noirceur de son pubis. Je l'entends pousser des Hummms, des Ouais.
Je tente de me dégager pour éviter le flot que je sens venir mais il me maintient fort et accélère les coups de boutoir. C'est un mâle puissant et dominateur. Le beau brun ne me laisse pas le choix. Il me ramone tendrement. Sa verge coulisse lentement dans ma bouche ressortant presque à chaque va et vient mais revenant énergiquement m'envahir la gorge. Il finit toujours en extension me pressant de plus en plus fort, le nez dans sa toison brune. C'est fort. Le flot redouté arrive en plusieurs gros jets. J'avale. Il recule prend de l'élan et m'en redonne un grand coup en râlant de plaisir. Puis enfin, le pénis ramollit. Paul le retire et me le dépose tout humide sur le visage en me maintenant la tête entre ses cuisses des deux mains.
Fièrement il me domine bien droit et me regarde chaleureusement en me remerciant:
- Ah merci. Ca m'a fait un bien fou. j'tenais plus. J'avais besoin de défoncer quelqu'un. Dommage c'est tombé sur toi et je n'aurais pas aimé être à ta place mais tu as été parfait.
puis se tournant vers Benoit:
- tu n'as encore commencé! c'est pourtant pas ton habitude.
Paul m'oriente légèrement vers eux et en effet, je remarque que Benoît est dans la même position que tout à l'heure mais cette fois ci complètement nu. Je vois la tête du pauvre gars qu'il malaxe toujours de ses puissantes cuisses. Il a le nez écrasé sous ses couilles. Le pénis de Benoit est arqué vers le plafond.
Il répond avec un sourire enjôleur aux lèvres:
- J'prenais des forces en te regardant Paul. Tu l'as bourré comme un dieu. Comme tu l'as défoncé le mec. C'était bandant. J'ai presque failli gicler.
Sur ce, Benoit retire sa victime de son entrejambe et de la main droite lui saisit la nuque pendant que de la gauche il prend son pénis bien raide et lui peint les narines en le menaçant:
- Mais ç'aurait été gâché la semence. Elle est pour ce petit gourmand là. Mec, prépares toi, çà va être ta fête. T'as intérêt à me faire bien jouir sinon je te bute.
Il s'approche de nous, en entrainant son mec et se plaçant à hauteur de mon regard, il vient me caresser le nez avec son gland odorant et en riant me dit:
- Tu ne serais pas un peu jaloux toi.
Je fais non de la tête. Il continue:
- Vous, vous allez suivre mes ébats cela va décupler mon plaisir. Je suis un peu exhibitionniste. Alors ouvrez bien les yeux, je commence.
Benoit revient à son jouet, le fixe méchamment et il lui écarte les lèvres avec son gland. Le collègue apeuré ouvre timidement la bouche et j'assiste à moins de 20 cm de mes yeux à la lente progression de l'érection. Benoit va tout introduire sans ménagement jusqu'à que ses couilles s'écrasent sur le menton du mec décomposé qui cherche son air difficilement dans les poils blonds du pubis de son maitre. Puis plaquant la tête suceuse à deux mains Benoit resserre encore son emprise et se met à lui servir une fellation en levrette puissante et rythmée.
Les yeux vers le plafond, un rictus de plaisir sur la face, Benoit encourage le suceur:
- Je sens que tu aimes, tu me chauffes bien. Oh oui çà monte. Suce à fond. Ouais t'y es. Suis le rythme.
Paul se met aussi à suivre le rythme de Benoit en le regardant. Son pénis mou quitte ma joue se dresse au dessus de mes yeux. Benoit accélère et en écartant les cuisses de plus en plus, il s'arrête plusieurs fois le bassin très en avant, les bras et les cuisses noués en poussant de gros râles de soulagement. Je sais qu'il injecte à chaque fois une belle salve de semence dans le pauvre gars qui doit étouffé. Mais Benoit, tout à son orgasme, s'en fout et
Paul en me serrant de plus en plus dans ses cuisses se chauffe sur moi sans aucune retenue pour être à l'unisson de son pote. Puis la verge tendue à bloc, il décide de changer de position.
Il se place derrière moi, bascule ma tête en arrière et l'enjambe. Je me retrouve le nez dans ses fesses avec vue sur son dos musclé. Il continue de suivre le rythme de Benoît. Je ne peux pas m'empêcher de lui bouffer le cul tellement ce fessier est craquant. Paul se prend au jeu, il desserre l'emprise de ses cuisses tout en gardant le rythme. Il m'aide à lui ratisser la raie. Je ne manque jamais de lui bisouter les couilles au passage quand elle caresse mes lèvres. Il frémit de plaisir et je l'entends dire à Benoît:
- Je rebande dur mec. J'suis prêt à repartir. J'essayerais bien le tien à l'occasion, tu vas me le prêter?
Benoit répond entre deux râles:
- Ah, laisse moi finir. Waouh c'est bon. Han Han han. Waouh quelle baise ! je m'éclate.
Puis j'entends Benoît pousser des cris de bêtes avant que le silence ne s'installe. Paul aussi s'immobilise. La face dans son fessier, je continue de lécher un peu inquiet. J'espère que Benoît est comblé et a oublié la proposition de Paul.
Mais le verdict tombe.
- Ok Paul passes le moi. J'suis vidé mais elle est encore dure. J'veux en profiter pendant que c'est chaud. J'suis encore en pleine forme. Lui aussi, il va y avoir droit.
Le joli petit cul de Paul s'éloigne. Je me redresse. Je vois Benoit lâcher le mec qui tombe au sol épuisé. Paul ne lui laisse pas le temps de récupérer il s'installe dessus en s'asseyant carrément sur sa tête au milieu du tatami. Mais l'autre doit pas réagir comme il veut car il se ravise et le ramasse délicatement avec douceur en l'aidant à se mettre à genoux. Une fois, le mec en position, Paul se redresse et majestueusement bite en avant, mains derrière la nuque, il se plante devant lui et lui plaque son pénis sous le nez.
L'autre retrouve des forces. Il lui bisoute le gland. Je n'en reviens toujours pas surtout après ce qu'il vient de subir. Pourtant il en redemande !
Paul tout sourire regardant son nouveau serviteur, lui dit:
- A la bonne heure si tu es partant on va faire doux et lent. Moi et Benoit, il fallait qu'on se vide mais maintenant c'est plus cool, du type petite baise gourmande. Montre moi ce que tu sais faire.
Benoit n'avait pas bouger, regardant son pote évolué avec amusement, il rigole en lançant:
- Tu as la forme Paul, je pense qu'il va encore jongler un peu avec ta petite baise gourmande. Moi, tu vois, j'ai la méga forme et j'suis encore dans le besoin primaire.
Puis se tournant vers moi avec un regard méchant, il me lance:
- A nous deux, si le Paul t'a laissé de l'énergie j'vais tout te prendre.
Il se rue sur moi qui suis rester à genoux au centre du tatami. Son pénis bien raide vient se plaquer sur ma figure. Bien calé sur ses deux pieds, les mains de part et d'autre de ses cuisses, prêtes à me saisir, le beau blond, me dominant de toute sa stature, me demande de bien le nettoyer. Il me fait peur et je m'exécute consciencieusement léchant toutes les parties de son sexe en surveillant le mouvement de ses mains.
Pendant un temps assez long, il se laisse faire sans intervenir en acquiescent juste du regard quand je titille un point sensible.
Cette domination me suffirait, il est beau, chaud et j'adore fouillé dans ses poils blonds qui puent bon comme ceux du brun que je viens de quitter.
Non loin de nous, je vois Paul dans la même position se faire suçoter le membre avec un beau sourire de satisfaction. Il couvre son suceur d'un regard tendre, c'est beau à voir. Les deux potes ont le même rictus de plaisir bienveillant, la même raideur du pénis et ils nous fixent avec la même intensité.
L'atmosphère se remet à chauffer, la douceur presque tendre du moment laisse place à une prise en main plus musclée. Benoit avance et me force à passer la tête entre ses cuisses et me regardant avec un grand sourire, il m'enserre comme je l'ai vu faire avec l'autre. La pression est forte, mais supportable. C'est plutôt agréable et l'efficacité du massage est redoutable. Sans les mains, Benoit m'a remonté la tête dans son entrejambe et ses couilles m'écrasent le nez. Sa verge est pointée vers le plafond.
J'entends Paul dire:
- Il est à ma taille ce gars là, je l'enfile parfaitement. Regarde, il a le nez plaqué dans mon pubis et tout est dedans. C'est top.
Un coup d'oeil rapide à la scène et je vois en effet le Paul arcbouté sur son mec le maintenant bien de la main gauche et lui enfonçant son pénis à fond par des petits coups de reins secs et violents. Très excité et très excitant le Paul en mode baise gourmande. Son visage irradie de bonheur.
Je reviens sur Benoit qui me dominant complètement annonce:
- Je me suis peut-être trompé avec celui là en te le laissant. Je sens que je vais bien m'amuser avec lui. Regarde il adore mes couilles. Au fait, on ne leur a pas encore vraiment répondu à la question. Tu leur expliques le Paul.
Benoît, sans relâcher, la pression de ses cuisses me réajuste pour plonger son regard bleu pâle dans le mien et m'observer:
- Toi écoutes bien, çà peut te servir pour la suite.
Paul souriant commence à expliquer:
- Ouais, tu as raison Benoit. Reprenons la question "à quoi sert un tatami dans un salon ?" Je suis sûr que vous avez une petite idée maintenant et il m'envoie un clin d'oeil.
Paul poursuit:
- Tout simplement à lutter nu. On est des lutteurs nés et c'est pourquoi vous êtes là. Pour lutter.
Benoît au dessus de moi est tout sourire. Un sourire qui illumine son beau visage. Il reprend la suite:
- Maintenant qu'on est plus serein sexuellement, on va lutter avec vous sur ce tatami et les vainqueurs soulageront leur libido sur les vaincus. Les règles sont simples. Si on sort du tatami ou que les épaules sont immobilisés à terre on est vaincu. Bonne chance les gars. En fait, vous en avez aucune.
Paul et Benoît nous lâchent en même temps et s'installent face à nous et nous demandent de nous dessaper.
Je me rue vers la porte dans l'espoir de partir mais Benoît est sur moi avant que je ne l'atteigne et me plaquant la tête sous son aisselle droite, il me traîne sur le tatami en me regardant méchamment. Ses muscles sont fermes. C'est la tête dans l'étau de ses bras, le nez dans le poil blond fourni et odorant que je prends ma remontrance:
- Là, tu aggraves ton cas, mec. Il faut être naïf pour croire que vous pouvez partir comme çà. Il va falloir d'abord passer à la casserole, découvrir les joies du tatami. Toi, on va te prendre à deux et bien te soigner. Paul déshabille le! Et toi là bas mets toi tout nu rapidement et installe toi dans le canapé. Profites du spectacle et attends ton tour. J'ai une grosse faim.
Je ne sais pas si c'est l'odeur mâle des dessous de bras, la virilité que dégage Benoît quand il a dit qu'il avait faim ou son beau visage menaçant qui me fixe ou tout simplement le contact de Paul qui enlève mon jean et mon slip sans ménagement, mais je me mets à bander furieusement, sous le rire de Paul et la surprise de Benoît qui, du coup, se radoucir et se met à rire aussi.
Il me relâche et m'ôte les vêtements du haut qu'ils jettent en dehors du tatami.
Je me retrouve nu face aux deux athlètes qui me saluent à la manière des samouraï pour signifier que le combat va commencer.
Contagieusement, je rends le salut alors que je sais qu'ils vont m'assaisonner. Ils démarrent en venant se frotter à moi en me tournant autour. Je tente de les repousser mais ils sont trop forts. Je sens leurs muscles sur ma peau. Paul se positionne derrière moi et me pousse sur Benoit. Ils me prennent en sandwich. J'ai l'érection de Benoit sur le ventre et celle de Paul dans les reins. Ils se frottent en se contorsionnant.
En s'aidant des bras, Benoit m'enserre puissamment entre eux et Paul en m'appuyant sur les épaules me forcent à descendre de 20 cm. Maintenant, je suis au prise avec les pectoraux de Benoît. Il me roule la tête dessus avec les bras pendant que Paul m'immobilise. Ils me broient dans leurs biceps et j'aime.
La position évolue rapidement. Je suis dirigé 20 centimètres plus bas et cette fois ci j'ai la face sur les abdo de Paul. La bite de Benoit frotte entre mes omoplates. Il me tient par les épaules et Paul des deux mains me plaque la face sur ses barrettes de chocolat en les faisant roulés. Je sens son gland sous le menton. J'essaye de me dégager mais cela ne fait que resserrer leur étreinte. En un tour de main, je me retrouve dans les abdo de Benoît, j'ai à peine le temps de voir son érection qui glisse dans mon cou. Benoît me roule dans ses abdo en me tenant des deux mains et j'étouffe presque. Je suis passé de la position debout à la position à genoux et je m'accroupis de plus en plus.
Sans desserrer leurs étreintes les deux lutteurs se rapprochent du sol. Tout cela se passe sans une parole. Je n'entends que la respiration de plus en plus forte de leur effort.
Brutalement, Paul bascule en arrière et me chope la tête sous le menton m'entourant le torse de ses cuisses. Il m'immobilise sur le dos en extension. J'adore être bloqué comme cela et je bande encore. Je sens l'érection de Paul qui me lustre les reins. Dans cette position, je sais que je n'ai pas perdu, mes épaules ne sont pas à terre mais sur l'intrados des cuisses de Paul qui bande de tout son être. Donc je suis loin d'être libérer.
Benoît avance maintenant à quatre pattes au dessus de moi lentement la bouche entrouverte de plaisir. Cela fait super viril et s'en frémit de plaisir. Il s'applique à faire trainer son pénis sur mon ventre, remontant doucement en regardant l'effet qu'il produit. Je vois la bête en rut progresser comme un félin au dessus de moi. Les frissons me parcourent surtout quand il vient frotter son bas ventre fourni de beaux poils blonds sur ma figure. Je sens son pénis dur me labourer le cou et bloquer sous mon menton. Je renifle à fond. Benoît progresse. L'obstacle du menton est vite surmonté et je me trouve face à son bel engin odorant qui me peint le visage pendant de longues minutes. Je lèche le braquemart et çà l'excite.
Soudain, il me tombe littéralement dessus et les deux jeux de cuisses et de bras se liguent pour m'ajuster la tête entre les sexes. Les bassins entrent en action pour m'enfouir. Je ressens leur excitation, le pénis de Paul frotte dans mon cou en changeant de côté. Celui de Benoit m'écrase la face méthodiquement. Ca sent la testostérone. J'essaye de résister aux assauts mais çà ne fait que les exciter encore plus. Je frappe pour arrêter le faux combat.
La position évolue toujours. En deux temps trois mouvements Benoît bascule en m'entrainant avec lui et par un jeu de bras, il m'immobilise dans ses cuisses sur le flanc et me tirant la tête en arrière il me maintient la bouche ouverte. Je vois Paul la bite bien raide se positionner à genoux en face de moi. Je suis coincé et il me saisit la tête à deux mains, pointant son gland sur les lèvres. Cuisses très écartées, il m'enfonce son pieux profondément dans la bouche. Au raz du sol, il se met à me baiser la face avec énergie. Benoît ne me lâche pas d'un pouce et je subis la rude fellation de Paul, impuissant jusqu'à ce qu'il explose en moi en plusieurs coups bien appuyés.
Satisfait, Paul se retire tout suant et s'allonge par terre la bite encore dure.
Benoit, me libère et en pivotant il vient s'assoir sur mon torse dos tourné en m'immobilisant les jambes dans ses bras . Mes épaules sont au sol. Paul roule jusqu'à moi et me plonge la tête dans son aisselle en comptant.
Une fois arrivé à 30, il me dit:
- Toi tu viens de perdre. Benoit va prendre sa récompense et après je reviendrais pour la mienne. Je pense à une petite gâterie.
Il se retire et Benoît recule. Son fessier vient me couvrir la face...
JV
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