Boulanger
J'ai 65 ans (marié et grand père) et mon histoire se situe iquand j'avais 18 ans.
J'avais passé mon bac et l'été qui suivait allait être long. Mon père m'avait trouvé un boulot chez un boulanger du village voisin. Il avait 45 à 50 ans, comme mon père. Nous habitions une ferme dans la campagne bordelaise. A cette époque à 18 ans on n'était pas très déluré.
Les conditions de travail étaient simples : arrivé à 4h du matin (en vélo), douche et sieste en début d'après-midi et enfin, le soir, préparation du levain etc. Le boulanger dormait sur place sur un grand lit dans un coin du fournil. L'après-midi, au moment de la douche, il ne se gênait pas.
Il se mettait nu et se douchait porte ouverte sans se soucier de ma présence ou bien il le faisait exprès. Il avait un gros sexe pendant. Il venait me parler quand j'étais sous la douche. Moi, je repartais chez moi vers 21h, sur mon vélo. Au bout d'une semaine j'étais épuisé, j'avais du mal à me lever le matin. Mon père est venu rencontrer le patron boulanger. Le résultat de leur rencontre a été que je resterais dormir dans la boulangerie et que je reviendrais chez moi le vendredi. Mon père a ramené une valise de vêtements courants pour la semaine. Le soir même j'étais hébergé par le boulanger. Je devais partager son lit ou dormir à même le sol. Après le repas, nouvelle douche et là il me dit qu'il faisait chaud et qu'il dormait à poil. " Ça te gène ? ". Je dis non car c'était ce qu'il fallait répondre. Je me suis couché en slip après la douche. Il a éteint la lumière.
L'obscurité était complète dans ce coin du fournil. Et mon patron a commencé à me questionner :
• Tu as déjà baisé ? Non, j'ai répondu
• Jamais approché une fille ? j'ai encore répondu non
• Tu te branles ? j'étais gêné et j'ai répondu non
• Tu te fous de moi ! Et là, il se tourne vers moi et à tâtons, passe sa main dans mon slip, le rabat et il prend mon sexe à pleine main. Je me rends compte que je bande. Tu vois, me dit-il, tu bandes et je vais te branler car je sais que tu le fais souvent non ?
Je ne réponds pas et il me branle dans le noir. Je décharge, en grognant, en moins de trente secondes sur mon ventre et mon visage. Je suis très excité. Tu vois me dit-il, tu es un menteur. C'était bon ? je réponds oui.
Je suis abasourdi par ce qui vient de m'arriver. Sa main passe sur mon ventre puis il la plaque sur ma bouche en me disant de la lécher. Et toujours dans mon excitation, je lèche sa main couverte de sperme. Et il me dit bonne nuit et il ajouta que maintenant il n'y a que lui qui peut me branler et que moi je ne dois pas le faire. Si j'en ai envie je dois lui demander de me branler. Nous nous sommes endormis.
Le lendemain matin j'avais du mal à me réveiller et à réaliser ce qui s'était passé. J'avais honte mais lui fit comme si rien ne s'était passé de rare.
Tu as bien dormi me demanda-t-il ? Oui je lui ai répondu et il ajouta : allons au boulot maintenant !
La journée s'est bien déroulée. La sieste a été calme, reposante.
Après le travail préparatoire du soir et la traditionnelle douche, je suis allé au lit. Mon patron y était déjà. Nu il lisait le journal du jour. Je me suis allongé et j'ai cherché une revue à lire mais il m'a dit qu'il fallait dormir et il a éteint la lumière. Il ne bougeait pas.
Moi, j'avais envie qu'il me touche et j'avais envie de le toucher. Il respirait calmement. Il dormait, surement. Au bout d'un quart d'heure j'ai dirigé une main vers lui et mes doigts ont buté sur la peau de son ventre couvert de poils. Il n'a pas bougé. Il dormait donc. Au bout de quelques secondes, mes doigts ont glissé sur son ventre vers le bas et ils ont rencontré un obstacle : son sexe bandant, mais bandant très dur ! Il ne devait pas dormir.
Alors que mes doigts touchaient son gros gland, dans le noir, il me dit de sa voix grave : " Tu me cherches, petit coquin ? Tu vas me faire juter si tu continues et tu le sais bien que la jute ne doit pas être perdue ! Alors si tu me fais juter arranges-toi pour que ce ne soit pas perdu, sinon fini ton boulot ici !! "
Alors j'ai fait ce qu'il fallait. Je l'ai branlé puis j'ai pris son gland dans ma bouche et sucé et sucé et bientôt je l'ai senti se crisper et prendre ma tête à deux mains. Sa queue s'est enfoncée dans ma gorge et il a tout lâché par saccades en grognant de plaisir.
Et chaque jour, matin et soir, il me faisait le sucer. Puis un jour il est allé plus loin, dans mon ventre. J'ai découvert l'amour avec un homme, tendre et attentif à mon plaisir.
C'est pour une autre fois ! Je vous le raconterais.
pierre