Épisode précédent
Ma virginité perdue -5
Pour ne pas trop dire, il ne dit rien.
Après m'avoir masturbé sous la douche, Hassan finit sa douche et sortit vers la chambre. Je finis aussi ma douche et je le rejoignis dans la chambre. Pour ma grande surprise, je le trouvai assis là-bas sur le lit, tout nu, les sourcils froncés, portant le cartable dans ses mains, boudant.
Vexé, je m'approchai de lui à pas prudents en me disant : " Oh la la ! qu'ai-je fait de mal maintenant ? "
Les quelques mètres qui me séparaient de lui furent une éternité. Lorsque je fus enfin à côté de lui, j'hésitai à lui parler mais ...... encouragé par les images de notre dernière aventure, je lui dis :
Moi : " Bébé ! y a-t-il quelque chose qui ne va pas ? "
Et à pas super prudents, je m'assis à côté de lui sur le lit. Cependant, ni mes paroles, ni mes gestes, ni mes caresses sur ses jambes ne lui donnaient de l'effet. Il boudait toujours en ayant le cartable entre ses mains tout ouvert. J'y jetai un coup d'oeil : un jean et une chemise, des chaussures.....mais...... il n'y avait point de boxers, ni slip ni flanelle.... Bref ! il n'avait pas de sous-vêtements propres.
" Est-ce le problème ? " me dis-je.
Toujours silencieux comme un rocher, ne voulant jamais exprimer ses pensées ni ses émotions, Hassan se contentait de froncer les sourcils et bouder.
Et, d'un geste très naturel, je me levai, me dirigeai vers l'armoire, ouvris le tiroir et en sortis deux boxers un noir et l'autre rouge, deux flanelles blanches, les mis à côté de lui et me rassis de nouveau.
Aucune réaction de sa part.
" Mes crédits ne sont pas finis donc auprès de sa banque ", me dis-je.
Rassemblant mon courage, je l'entourai de mon bras et le serrai contre ma poitrine en murmurant quelques mots chauds à son oreille : " tu les portes toi-même ou as-tu besoin d'aide ? "
Ma dernière tentative lui arracha un sourire forcé et un mouvement de tête vers le bas. C'était un oui de sa part..........mais........pour quelle proposition ?
Au fond de moi-même, je voulais qu'il choisisse la deuxième proposition dans laquelle je pourrais l'aider à les porter.
Il prit les deux boxers en main, les contempla quelques secondes, se confisqua le rouge et me tendit le noir.
Vexé, je pris le boxer noir, me levai et tournant le dos à Hassan, je me mis à me rhabiller. Ayant fini de mettre le boxer et la flanelle, je me tournai pour voir Hassan toujours figé au lit, ses yeux fixés sur moi, ses mains tenant le boxer rouge, ses lèvres souriantes.
Je fronçai les sourcils en le voyant ainsi. Ne comprenant pas ce qui se passe, je vis Hassan se lever et tendit le boxer vers moi.
" Ah ! La deuxième proposition, dis-je, waw ".
Je m'approchai de lui. Il se leva. Je pris le boxer rouge d'entre ses mains et je m'agenouillai devant sa grande silhouette. En levant ses pieds une après l'autre je fis glisser le boxer entre ses jambes et je le fis monter doucement et lentement vers ses cuisses. Je m'appliquai sentir avec mes mains tous les centimètres de ses jambes allant vers ses cuisses. Ses jambes poilues ne passèrent pas sans effet à côté de moi : à peine débandée, ma bite recommença à gonfler.
Arrivant enfin à sa bite dégonflée depuis quelques minutes, je la couvris par le boxer. Il gémit et respira à fond. Bah oui ! Mon boxer était bien serré sur ses fesses, il serra fortement ses couilles avec sa bite. En effet, ma taille était plus petite que la sienne. Il n'était point à l'aise dans ce boxer. Par contre, moi, j'étais très content de le voir porter mon boxer préféré et de contempler sa bite coincée dans mon tissu. Ça y était, je bandais fort. Hassan baissa ses regards et vit ma bite maintenant rouge à force d'être branlée depuis hier et sourit.
Je le regardai et souris en même temps. Le sang monta jusqu'à mon visage. Je fus tout rouge de honte et de malaise. Je me suis dis que Hassan irait probablement penser que je suis un mec très facile à séduire et qui n'importe quel geste sexuel me ferait perdre la tête.
Vexé par la situation je me levai, me suis tournai pour filer loin de lui. A peine je me suis éloigné un demi pas, une main virile m'attrapa le bras et me fis reculer brusquement. Hassan m'attrapa par ses deux mains, m'attira vers son corps chaud et me serra contre lui fortement mais tendrement. Sa joue se colla à la mienne sans que j'aie pu voir son visage. Ses mains caressèrent mon torse, mes tétons et mon ventre. Sa langue humide vint parcourir ma joue, mon cou et mon oreille.......oh ! Quelle sensation !
Sa langue chaude traversait mon oreille de tout côté et créait au fond de moi un frisson inoubliable et une sensation incontrôlable. Je bandai comme un taureau en période d'accouplement. Je fermai les yeux en espérant qu'il ne finisse point son travail.
Sa présupposée hétérosexualité fendit entre mes bras et mon homosexualité s'affermit entre les siens.
Toutefois, sa bite ne gonfla pas entre mes fesses. Pour moi, cela ne m'importait point car ce que je sentais à ce moment me suffirait pour l'éternité. J'entourai sa taille de mes bras tout en caressant ses fesses.
Ses caresses me rendirent fou de lui. La chaleur de son corps me pénétrèrent jusqu'aux os. Ses mains travaillèrent mon corps non sans attention.
Soudain, je sentis mon boxer glisser sur mes jambes, ses mains s'appliquèrent sur mes couilles qui étaient bien évidemment vides. Il les caressa très gentiment comme s'il voulait en extraire forcément quelques gouttes de jus. Là je commençai à gémir. Il les caressait tellement bon et me donnait une sensation extraordinaire. Je voulais vraiment qu'il me masturbe.
A peine j'eus eu cette idée, ses mains quittèrent mes couilles et s'appliquèrent sur ma bite. Mon souhait fut réalisé. Pourtant, sa gentillesse disparut et fut remplacer maintenant par un mouvement de branlement assez brutal qui ne tarda pas à m'arracher non plus des gémissements de plaisir mais des cris de souffrance continus. Je fermai mon rond autour de ses bras de peur de s'échapper d'entre ses bras. Sur les échos de mes cris, ses mouvements de va et vient s'alourdirent et s'accélèrent. Je pris mon pied. Cette situation ne dura que quelques secondes avant de crier :
" Je vais venir bébé ! Ah ! Ah ! "
Cette phrase que je lançai changea tout. Hassan s'arrêta de me branler et mis ses bras sur les miens pour m'empêcher de bouger. Je me forçai à jouir mais en vain, j'avais besoin de quelques branlettes encore pour jouir. Mon excitation, au lieu de s'éteindre, s'accrut davantage. J'avais énormément envie de sur-vider mes couilles déjà vides dès ce matin. J'étais avide des ses mains touchant ma bite raide, j'avis hardiment envie de me branler mais ses grandes mains emprisonnaient ses bras autour de sa taille.
J'étais donc là debout, collé à lui, dos contre ventre, un sexe plein de sang attend de libérer sa purée, je lançai :
Moi : " Bébé ! bébé ! "
Il ne répondit point.
Je repris :
Moi : " bébé ! Bébé ! finis moi s'il te plaît, j'en ai tellement envie "
Muet comme un rocher, Hassan attrapa mes bras très fermement à point de me faire mal et commença à faire glisser mon corps contre le sien. Je sentis surtout mes fesses frotter sa bite qui donnait l'air d'être prête à gonfler de nouveau. Ce mouvement des hauts et des bas, m'excita à mort. Après quelques secondes je sentis sa bite toute raide dans mon boxer rouge. Il bandait.
Ayant terminé son travail de gonflement de bite, il arrêta son mouvement de frottement. Tout à coup, je sentis sa langue traverser mon cou.
" Oups ! En plus de tout, ça aussi ! " Je me suis dit.
J'étais tellement excité que je ne supportai pas sa langue en train de lécher mon cou et mes oreilles. Je sentis tout le sang de mon corps monter jusqu'à ma tête pour descendre et se coincer dans mon gland. Ce dernier était rouge comme le feu et il était en feu. Tout mon corps l'était d'ailleurs.
Une petite touche suffirait pour me faire livrer tout mon jus, mais personne ne me la donna.
Plus sa peau toucha la mienne plus mon corps frissonna. Mon excitation était à son point maximal, je ne pouvais plus tenir à cette situation, je commençai à crier :
Moi : " Je t'en supplie Bébé, libère moi ! Fais moi jouir Hassan ! S'il te plaît bébé ! ".
Toujours muet, Hassan est devenu maintenant sourd. Mes supplications ne l'émurent point et il continue à m'embrasser plus hardiment qu'avant.
Je me suis laissé faire et soudain........une chaleur m'envahit, je sentis le sperme monter de mes couilles vers mon sexe allant jusqu'à mon gland et.......hop !
Je jutai les quelques gouttes restantes dans mes couilles sans que personne ne me touche.
Voyant mon sperme sortir de ma bite, Hassan sortit de son silence et lança :
" Tu vois ! C'est infiniment plus joli qu'une petite branlette, n'est-ce pas bébé ? ".
Pris par la situation, je perdis mon habilité de parole. Je tournai ma tête vers lui et je me suis contenté de sourire.
Ses bras quittèrent mes bras et vinrent m'entourer la taille tout en me serrant contre lui très tendrement.
A ce rythme nous ratâmes le premier cours à l'université, mais il fallait ne pas rater tous les autres.
Pour dire la vérité, je voulais rester entre ses bras toute la journée, mais la vie nous attendait là dehors et il fallait la rattraper.
" Allons bébé ! Dépêchons nous pour ne plus rater des cours ", lançai-je.
Hassan ne broncha pas et il exécuta directement. En cinq minutes nous finîmes de nous habiller, et nous sortîmes vers l'université.
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