Être une pute et dog d'un WE
J'ai rencontré ce master suite à son annonce qui recherchait une pute pour le W.E. après quelques échanges de mail où il m'explique que son trip est d'avoir une pute à dispo pour son seul plaisir et que je serais également amener à servir de vide couilles à d'autre mecs je lui réponds ok.
Le jour du RDV arrive (c'était un vendredi soir) j'arrive chez lui dans la tenu qu'il a exigé, jogg sans rien en dessous, T-shirt et basket et surtout complètement épilé puis il me rappel les conditions du W.E.
- Je te veux comme une pute exécutant mes ordres sans broncher et surtout que tu sois un bon batard qui ferme sa gueule... si t'es ok alors tu reste sinon ben... la porte est ouverte...
- Non, non c'est ok pour moi pas de problème mec...
- Ok alors déshabille toi et suis moi...
Arrivé dans le salon il s'assoit sur le canapé en reposant ses pieds sur la table basse et me dis :
- Bien... avant de passer aux choses sérieuses tu va te branler et juter sur la table...
Ayant fais abstinence durant une semaine comme il me l'avait demandé je bande rapidement et, exécutant son ordre je me prodigue une bonne branlette debout devant lui et éjacule sur la table.
- Ok... maintenant lèche tous et passe à la salle de bain prendre une douche...
Une fois propre je retourne vers lui.
- Bon... reste au milieu de la pièce, écarte les jambes et met tes mains derrière le dos...
Il m'aveugle alors les yeux d'un bandeau, et me menotte les poignets de bracelets en cuir qu'il relie par une laisse à un collier qui m'entoure le cou, puis je sens qu'il m'enserrer les couilles et la bite avec quelque chose, (sans doute qu'il me place un cockring me dis-je...) il me lubrifie la queue et la sens rentré dans quelque chose de froid, après sans doute quelques ajustement j'entends un clic, là, il me débande les yeux et découvre avec surprise que ma bite est emprisonnée dans une cage fermée par un cadenas. L'étrange sensation de porter une cage de chasteté me plut mais compris par la suite que cela peut-être ho ! Combien frustrant mais aussi un bon moyen d'être bien plus docile, obéissant et surtout plus chienne. Me voici donc à la merci de ce mec que je dois appeler maître et le vouvoyer.
- A présent tu es sous mon contrôle total...voici maintenant ce que j'attends de toi... si nous ne sommes pas dans la même pièce et que je t'appel ou te siffle tu rapplique direct à 4 pattes... lorsque je te donne un ordre tu l'exécute sans réfléchir en approuvant par un " oui maître " lorsque je te donne quelques chose comme par exemple à manger, à boire ou bien même avoir l'honneur d'avoir ma bite dans ta bouche ou dans ton cul tu doit me remercier par un " merci maître " de même que si je suis dans l'obligation de t'infliger une correction je veux t'entendre dire " merci maître " signe que tu l'as mérité... ai-je été clair ?
- Oui...
Bien évidemment je reçois à ce moment là une grosse claque sur le cul.
- OUI QUI BATARD ?
- Pardon... oui maître...
- Bien... maintenant à genoux...
A genoux face à lui il déboutonne son pantalon baisse son caleçon et me tend sa bite déjà toute raidi par l'excitation.
- Allez... occupe toi de ma queue... suce la salope...
Sa bite étant d'une longueur " raisonnable " mais surtous bien épaisse, qu'elle me remplie bien la bouche qui manque de m'étouffé et me rempli les yeux de larmes.
- Tu vois...Ca c'est juste un aperçu du morceau que tu va avoir dans ta chatte...mais avant que je te féconde comme une chienne tu va goutter à mon jus de mâle...
Et en effet, après un bon baisage de gueule il m'envois ses giclés de sperm que j'avale avec peine. Son jus est épais, un peu âcre mais d'un gout sucré.
- Voila... c'est ça... avale bien tout...hummm... c'est bon ça hein ?...
Puis il me regarde avec insistance et au bout de 5 secondes il me balance une gifle en me disant.
- Et bien alors !... t'as déjà oublié la politesse ?
Oups... en effet j'avais oublié la phrase magique.
- Pardon... merci maître...
N'ayant plus besoins de moi il m'envois au coin (comme un petit garçon que l'on puni) mais au bout d'a peu prêt 1 heure il me siffle.
- Hey !... aux pieds et vite...
Je m'approche, il relève ses jambes et me dis :
- Allez salope bouffe moi le cul...
J'écarte alors ses fesses et passe ma langue sur sa raie.
- hummm... ouai... comme ça... c'est bon de se faire lécher par une langue de petite chienne... continu comme ça...
Après bien 10mn de bouffage de son fion il se redresse et bande comme un âne.
- Bon allez... à 4 pattes... comme promis tu va recevoir ma teub dans ta chatte...
Il écarte mes fesses, crache sur ma rondelle et m'enfonce un doigt.
- Hum... t'es serrer mais t'inquiète... j'vais t'ouvrir...
Il me trifouille le cul en tournant son doigt dans mon cul puis en rentre un 2eme pour bien me le travaillé.
- C'est bien... tu commence à t'ouvrir... je vais pouvoir t'élargir...
Il crache encore sur ma rondelle et viens me caresser l'entré de mon trou avec son gland, je le sens forcé, son gland rentrée m'arrache un cri de douleur et reçois une claque sur le cul.
- Ferme ta gueule salope... n'oublie pas que t'es une pute qui doit assumer les coups de bites car se ne sera pas la seule qui te bourrera la chatte...je vais bien t'élargir pour que d'autre puisse y rentrée sans problème...
Sa queue rentre profondément en moi... j'ai la sensation d'avoir un tuyau d'aspirateur me déchirer le cul tant sa pine est épaisse. Il se cale au fond de mes entrailles ce qui me laisse le temps de respirer et de me détendre un peu. Me prenant par les hanches il commence des mouvements de petit va et viens en accélérant progressivement la cadence.
- Hummm... et ben tu commence à bien t'ouvrir ma salope... je te sens t'élargir...
Durant 10 bonne mn il me défonce le cul comme un chien enragé puis d'un seul coup il se retire, mon cul étant bien ouvert je sens alors comme de l'air frais rentrée à l'intérieur.
- Putain ma salope ! t'es bien ouverte là...
Il se remet alors en position et me pénètre d'un seul coup.
- Tiens... prend ça salope... han, han, han... tu la sens ma bite ? tu la sens bien là hein ?... hummm... t'as un bon cul de chienne toi...
Il m'encule avec rage, le cadenas de ma cage de chasteté claque dessus à chaque coups de butoirs, étrangement je ne me sens plus moi-même et me considère comme une chienne que l'on saillis en tenant des propos que jamais auparavant je n'aurais pu dire.
- Hummm... Ouiii... baise moi maître... baise moi... je suis votre salope... faite de moi votre pute... Ouiii... encore... encore... c'est bon... hummm... merci maître...
- Houa !... et bien voila qui est bon à entendre... t'inquiète ma salope, t'es ma chienne et ma pute pendant tout le W.E...
Il me défonce de plus en plus vite, signe qu'il va bientôt jouir et se décharge dans mes intestins dans un grand râle de chien en rut.
- H.... Ouiiiiiii..... Ouiiiiiii... H...
Il s'arrête un moment pour reprendre ses esprits et se retire.
- Bon maintenant va te vider le cul et reviens me voir...
- Oui maître... merci maître...
Revenant vers lui il me tend un Plug de bonne taille qu'il m'ordonne de mettre.
- Avec ça tu resteras avec le cul bien ouvert...
Le reste de la soirée se passe à être considérer comme son chien où je dois rester à ses pieds et me donne à manger et à boire dans une gamelle. Au couché ma place est par terre au pied de son lit sur une couverture.
J'ai compris cette nuit là combien la cage de chasteté avait son importance, douloureuse à supporter mais surtout très contraignante. En effet... plusieurs fois dans la nuit je me suis réveillé dû à la douleur. Pour ceux qui ne connaissent pas en voici les explications : la queue se gonflant, emprisonner dans cette étroite cage qui la remplit tire les couilles enserré par un anneau fixer au tube ce qui fait que comme on ne peu pas bander normalement il faut faire un lourd effort pour débander affin que les couilles ne soit plus étiré et fasse moins mal.
Samedi : au petit matin il me réveille en me sifflant.
- Hey salope...viens me rejoindre...
Je me lève, il s'est débarrassé de sa couette et sa queue est fièrement dresser sur son bas ventre.
- Dégorge-moi le poireau...
Bien qu'étant encore un peu ensuquer (vu ma difficile nuit) je me place entre ses cuisses prends son barreau de chaise dure et gorgé de sang dans ma main, je lui titille le bout de son gland avec ma langue, sa tige frétille sous mon jeux de langue, je lui remonte son prépuce et le suçote comme une tétine de bébé enfonçant ma langue dedans, puis lentement j'englouti son pieu dans ma bouche en le décalottant. Ma suce ne dure pas longtemps car en à peine 5 mn il me largue son foutre en me tenant la tête sur son gourdin pour me forcé à avalé son jus.
- Hummm... tiens... voila ton lait du matin salope...
- Merci maître...
Il se lève en me disant de retourner sur ma couverture, je l'entends pisser aux chiottes et reviens se coucher pour dormir encore quelques heures.
Le midi nous déjeunons ensemble, moi toujours dans ma gamelle, à la fin du repas il m'ordonne de débarrasser la table et de faire la vaisselle. Ma tâche étant terminer je le rejoins où il est assis en calçons large devant son ordinateur et m'ordonne de me mettre sous le bureau.
- Lèche-moi les pieds batard...
- Oui maître...
Bien que je sois à l'étroit je me fais fort de le satisfaire puis, relevant mes yeux sur son entre-jambes je vois que sa teub se gonfle peu à peu et commence à sortir par l'échancrure de son caleçon... là, direct je sens ma bite se gonflé dans ma cage qui tente en vain de se redresser (là, tu na qu'une envie... c'est de t'astiquer le manche pour te dégorgé le poireau tellement l'excitation est forte mais c'est impossible, c'est horrible...) alors sans réfléchir et surtout sans en avoir reçu l'ordre je me jette sur sa queue a moitié décalotté et le pompe goulument.
- Et ben ma salope !!!... t'as encore envie de sex toi...
Là il recule sa chaise m'arrachant à sa bite et me regarde droit dans les yeux. Ne sachant que faire me disant que peut-être j'aurais dû attendre l'ordre d'avoir le droit de le sucer je reste à 4 pattes face à lui. Il écarte alors les cuisses en me disant :
- t'es vite devenu une petite chienne dis donc... hummm.... J'adore...et ben alors ?... t'attend quoi ?... vas-y... viens sucer p'tite salope...
- oui maître...
Je me précipite alors sur son chibre pour reprendre ma suce. Hummm, comme j'aime sa bite je suis à ce moment comme un gamin dégustant une glace, instinctivement je pose ma main sur ma bite par la forte envie de me branler mais ne rencontre que ce foutu tube en plastique qui me l'emprisonne, je me caresse les couilles puis pris par l'excitation je pose un doigt à l'entrée de mon cul qui subitement m'électrise se qui accroit encore plus mon excitation. A cet instant je m'aperçois que mon sphincter est bien détendu, que mon trou s'est ouvert sans être travaillé au préalable comme un appel au sex et mon doigt rentre sans difficulté tellement je mouille du cul. Je n'ai qu'une envie, me faire enculer et le supplie de me baiser.
- Baisez moi maître... svp... baisez moi...
Le salop prend plaisir à me voir me conduire comme une petite pute et m'impose de prendre une pose humiliante. Couché sur le dos sur la petite table de salon je suis obliger de relever mes cuisses le plus loin en arrière, d'écarté mes fesses et de me doigté devant lui tout en couinant comme une petite salope en disant :
- Han... hummm... oui... c'est bon...
Mon trou est si ouvert que je me doigte avec 3 doigts en les rentrant le plus loin possible dans mon cul.
- Et ben ma salope... c'est plus une chatte que tu as mais un vrai garage à bites...
- Oui maître... baisez moi maître... svp baisez moi... je ferais tous ce que vous voulez mais déchirez moi le cul...je vous en prie...
Il s'approche alors de moi se positionne devant mon cul et y introduit son gros gourdin que je sens coulissé dans ma chatte largement ouverte. Bien calé au font de mon trou il me demande :
- Alors ? tu la sens bien ma bite ?
- Oui maître... oui...hummm.... Elle est bonne...
Il commence ses va et viens et progressivement il m'encule sauvagement comme un taureau en rut.
- H.... H... Ouiiiiiii... c'est bon.... encore... encore...défoncez moi... défoncez moi...hummm.... Ouiiiiiii....
Je ne sais pas ce qui m'arrive, je me comporte comme une petite chienne en chaleur par la soif de vouloir jouir. Ses mouvements de va et viens varie, tantôt lentement, tantôt violement, sa bite me caressant la prostate me donne comme la sensation de vouloir uriné, je me dis que si il continu à me pilonné ainsi je vais me pisser dessus, la pression est trop forte, je sens le bout de ma bite enfermer dans cette minuscule cage en plastique me picoté et d'un seul coup exploser de sperm... PUTAIN !!! Je suis en train de me vides les couilles...je joui des litres de foutre en gueulant de plaisir, les jets sont si puissants que je m'en asperge le visage, les spasmes de mon cul se refermant à chaque éjaculation sur son pieu le fait venir à son tour dans mon trou. Jamais auparavant je n'avais connu une tel jouissance c'est vraiment l'extase...je sais maintenant ce que c'est que de jouir du cul...un pur moment de bonheur extrême... je me sens complètement vider et groggy, je n'ai plus de force à tel point que mes jambes ont du mal à me supporté. Après une bonne douche il m'autorise à aller me reposer. Fatigué je m'affale sur son lit comme un gros sac et m'endors.
Après quelques heures de sommeil récupérateur il me réveille en me sifflant.
- Hey p'tit batard.... Debout... il est temps de préparer la bouffe...
Encore ensuquer je lui réponds par un petit :
- Oui maître...
Affin de bien reprendre mes esprits je me rafraichis le visage d'eau froide et vais préparer à manger. Comme la veille au soir je mange à ses pieds dans ma gamelle, une fois terminer je débarrasse la table, fais la vaisselle et reviens me couché à ses pieds pendant qu'il regarde la télé. Il est environ 23h lorsqu'il m'annonce que nous sortons. Pendant qu'il enfile un pantalon il me dit :
- Toi, tu reste à poil... cette nuit tu va servir de pute...
Il m'attache une laisse à mon collier et m'entraine à son fourgon. Là en ouvrant la porte latérale je vois qu'il l'a aménagé en y accrochant des chaines aux parois et un matelas par terre.
- Allez... monte...
A genoux sur le matelas il relie les chaines à mes bracelets les bras en croix et me bande les yeux. Il roule pendant je ne sais combien de temps puis arrivé certainement à l'endroit voulut il coupe le moteur et descend. Il règne un silence de mort dans ce fourgon lorsque tout d'un coup j'entends la porte s'ouvrir se qui me fais sursauté.
- Voila la pute... ça te conviens ?
- Ouai, ouai, ça va...
- Ok bah alors vas-y fait ton affaire...
Le mec monte et la porte se referme, sans rien dire je l'entends qu'il se défroque et me caresse les joues avec sa bite.
- Allez... ouvre la bouche salope et tète moi la queue...
Je suce alors cette bite inconnue.
- Hummm.... Ouaiiii... c'est bon... t'es une bonne pipeuse...
Il me prend la tête et me baise la bouche en m'enfonçant son pieu à chaque fois le plus loin possible dans ma gorge. Quelques instants plus tard il reste planté dans ma bouche, sentant sa bite et son gland se durcir au maximum et ses contractions je sais que c'est parce qu'il va jouir et effectivement il me largue tous son foutre dans ma bouche qu'il me force à avalé.
- Voila c'est ça... avale ce délicieux nectar salope... hummm.... Ouaiiii...
Après m'avoir fais nettoyé sa queue il se rhabille et sort. La porte ne se referme pas et j'entends des voix à l'extérieur, j'ai l'impression d'être exhibé, enchainer, a la vu par un tas de mecs, ce qui d'ailleurs n'est pas une impression mais une réalité. Un autre mec monte et je n'entends pas la porte se refermer.
- Allez salope... montre à tous le monde comment t'es une bonne pute...
Je me retrouve alors avec une nouvelle bite à sucer en entendant des rires et des commentaires salaces.
- Ouai... ha la pute !!!...
- Vas-y salope pompe lui la teub...
- Ouai c'est ça sale putain... suce salope...
- Vas-y mec... crache lui dans la gueule à cette pute...
- Attendez les mecs... j'vais pas me contenté de sa gueule... mais j'vais aussi profité de son cul...
- Ouai... ouai... vas-y encule le...
D'une main de maître le mec me retourne, me claque le cul et écartant mes fesses dit à tous ces voyeurs.
- Regardez moi se trou de pute... bon à se faire défoncer...
- Ouai... ouai... vas-y bourre lui la chatte...
Ni une ni deux le mec m'embroche direct et me défonce sans ménagement. Pendant que je me fais enculer sauvagement un autre mec monte et me donne sa bite à sucer. Le mec qui m'encule joui dans mon cul et l'autre se fini en se branlant pour éjaculer sur mon visage.
La porte se referme et le fourgon redémarre. Lorsque nous nous arrêtons à nouveau je me dis que nous sommes rentrés à la maison mais non... je suis dans un autre lieu pour me faire baiser et les bites se succèdent dans ma bouche et dans mon cul. Finalement tard dans la nuit (ou plutôt devrais-dire au petit matin) je suis délivrer de mes entraves et autoriser à prendre place à l'avant du fourgon.
- C'est bien batard... t'as été une bonne pute...
- Merci maître...
- Mais c'est pas l'tous taille moi un pipe pendant qu'on roule...
- Oui maître...
Je suis passé le restant de la route pencher sur sa queue à le sucer et juta dans ma bouche arrivé à la maison.
Dimanche, début d'après midi on se réveille, le plan convenu touche à sa fin et il me libère la bite, je ressens un soulagement, à ce moment son attitude n'est plus le même, il ne se prend plus pour le maître et ne me considère plus comme un batard... au contraire, il est tendre et m'appelle par mon prénom. Cette façade de lui m'émeut si bien que j'en ai l'impression d'en tomber amoureux... avant de se quitté nous n'avons pas baisé ensemble mais fais l'amour, il ma chouchouté, embrasser, caresser, même sucer... et bien sûr enculer avec tendresse et douceur. Me laissant aller j'ai ressentie le même plaisir que lorsque j'avais juté avec la bite encagé en me faisant masser la prostate avec sa teub mais cette fois-ci je n'ai pas pu résister à me branler.
(Si tu me lis mec... merci à toi pour cette aventure.)
tepu