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Ma conversion
Ma conversion -2
Ce soir-là, je passais un très mauvais moment, surtout quand je disais à ma copine que je ne pourrais pas l'accompagner dans nos familles pour le mariage de son frère. Après un échange de vues de plus en plus houleux, elle devint presque hystérique et s'enferma dans la chambre en me claquant la porte au nez.
Je me retrouvais donc seul pour la nuit, et en désespoir de cause je me couchais sur le canapé du salon pour ruminer tout ce qui m'était arrivé en si peu de temps. Plus j'y repensais, plus j'étais troublé par la "séance" du garage. C'est vrai que j'avais fini par y prendre un certain plaisir, et peu à peu le souvenir de ces grosses bites finit par m'échauffer et je me caressais en repensant à la façon dont Farid m'avait soumis.
Cependant je me disais que tout ceci n'était qu'un incident isolé, et que dès le lendemain, je reprendrais la main et règlerais cette situation comme le patron que je me devais d'être.
Au réveil, la situation à la maison ne s'était pas arrangée, bien au contraire, et c'est une véritable furie déchaînée qui me signifiait que notre couple était en jeu si la situation ne s'arrangeait pas d'ici ce soir.
Pas vraiment rassuré par la tournure des évènements, j'allais au garage comme convenu pour voir mes trois employés et tenter de résoudre le problème.
En arrivant, je les vis de loin qui attendaient devant la porte du bureau. Khaled et Amou fumaient tranquillement, Farid leur fit signe que j'arrivais et il me regardèrent, les bras croisés pendant que je m'avançait vers eux.
Je les saluais tout en ouvrant la porte, j'avais du mal à croiser leur regard, qui semblait me transpercer alors que j'essayais de ne pas montrer mon trouble.
Une fois à l'intérieur et la porte refermée, je n'ai même pas eu le temps de dire quoi que ce soit, et Farid attaqua direct: "Alors, on a réfléchi? On a un accord ou quoi?"
Je tentais (maladroitement certes) d'expliquer à quel point c'était impossible, et au fur et à mesure, je voyais les visages se renfermer, puis se durcir.
F: - Tu te fous de notre gueule ou quoi? T'as pas compris ta leçon hier?
K: - Peut-être qu'en fait il en veut encore, vous croyez pas?
Moi: - Ca suffit les gars, hier on s'est emballés, mais lAhhhhhh!
Cette fois c'est Amou qui se mêlait de la conversation, m'envoyant une baffe magistrale qui m'envoya valser par terre. Il m'ont alors entouré tous les trois, et, médusé, je les ai vus commencer à baisser leur braguette.
F: - Bon je vois qu'il n'y a qu'un moyen de discuter ici, alors on va te le faire comprendre. Tu sais ce qu'on attend de toi alors applique-toi!
Moi: - Mais enfffff
Un bon coup de pied me fit rouler, puis un autre, et un autre, jusqu'à ce que je leur demande d'arrêter et que c'était ok.
F: - C'est mieux, alors comme maintenant tu veux bien coopérer, tu vas nous montrer la marchandise...
Moi: - Hein? Qu'est-ce que tu veux dire là?
F: - T'es pas très malin, dis-donc.... Allez, à poil!
Moi: - Ah non alllllooooo
Re-bam! Une autre baffe, je commençais à être réellement sonné, et complètement désorienté en plus.
F: - Arrête de discuter, tu sais que tu n'as rien à y gagner là!
J'ai donc dû me déshabiller, entièrement, et là ils ont éclaté de rire; écarlate de honte, je me suis rendu compte que rien que ce traitement m'avait fait bander, et comme en plus je ne suis pas très gâté par la nature, ils avaient beau jeu de se moquer. C'est vrai aussi que mes 1,70m pour 58kgs et ma queue de 14cms. De plus mes origines asiatiques font que je suis quasiment imberbe, renforçant à leur yeux l'impression d'infériorité que je donnais alors.
Ils ont alors commencé à tourner autour de moi comme des fauves prêts à sauter sur leur proie, en me traitant de tous les termes dégradants qui pouvaient leur venir à l'esprit, me bousculant, me pinçant les tétons, me claquant les fesses.
Malgré la situation, je ne pouvais m'empêcher de sentir une certaine excitation me gagner. L'un d'entre eux appuya alors sur mes épaules pour me faire agenouiller, et je me retrouvais dans une situation que j'avais déjà connue hier. Avec un soupir j'ouvris la bouche et enfournait la première bite qui se présenta, en l'occurrence celle de Khaled.
F: - Voilà tu vois qu'avec un peu de persuasion on arrive à s'entendre! Comment elle se débrouille, cousin?
K: - Ouais toujours une bonne salope, elle a retenu la leçon d'hier.
La féminisation était une nouveauté, mais maintenant je n'en étais plus à ça près. Ils se relayaient tous les trois dans ma bouche, se retirant quand ils sentaient monter la pression, et je passais alors à une autre queue. Au bout d'un moment je commençais à connaître leurs préférences, et m'appliquais à bien les pomper, allant même jusqu'à les regarder dans les yeux pendant que j'avalais leur bite au plus profond de ma gorge à m'en étouffer.
L'atmosphère s'échauffait de plus en plus, et bientôt Farid me bloqua la tête bien embrochée sur sa tige, déversant cinq gros jets crémeux directement dans mon estomac. Khaled suivit, me faisant bien ouvrir la bouche et tirer la langue, pour la repeindre de son foutre qu'il me fit avaler après que je leur aie bien montré comme je savourais son jus. Je dus ensuite lécher les grosses couilles d'Amou, les prendre une à une dans ma bouche en les y faisant rouler pendant que je caressais sa tige dure comme du bois; au dernier moment il introduisit juste son gland dans ma bouche et là encore j'ai eu droit à ma troisième rasade de foutre, que j'avalais sans broncher.
Il faut avouer que je commençais vraiment à prendre goût à leurs grosses queues, et ma petite bite toute droite, ou plutôt mon clito comme ils s'étaient mis à l'appeler, était là pour le démontrer.
J'ai dû ensuite lécher leurs queues pour les nettoyer de toute trace résiduelle; puis Farid s'assit dans ma chaise, et m'intima l'ordre de le déchausser et de lui nettoyer les pieds avec ma langue. J'étais complètement halluciné, et lui obéïs sans même esquisser un geste de révolte ou de protestation. J'étais à ses pieds, nu, tel un esclave réagissant au moindre de ses ordres. Les trois discutaient entre eux, comme si j'étais absent, et en fait ils étaient en train de planifier le nouvel organigramme du travail, sans que j'aie le moindre mot à dire à ce sujet.
Finalement, Farid me prit le menton dans sa main et releva ma tête pour me dire qu'il allait falloir effectuer quelques "légers changements", et en me demandant si j'étais d'accord, me secoua la tête de haut en bas comme si j'acquiesçais à sa question.
Cela les fit bien rire, puis ils décidèrent qu'il était temps de déjeuner, et qu'on mettrait tout ça au point plus précisément cet après-midi.
Je dus donc, sous leur surveillance, appeler ma copine pour l'avertir que ne rentrerais pas à midi, inventant un prétexte de travail quelconque. J'eus encore droit à une séance d'hystérie au téléphone, ce qui les amusa au plus haut point, d'autant qu'ils eurent droit à tous les détails, puisqu'ils avaient mis le haut parleur.
Et maintenant, j'avais vraiment l'impression de m'enfoncer de plus en plus profond dans un abîme de dépravation dont je me demandais comment, et si, j'allais me sortir.
Xmale06
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