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LE VENDEUR -2
Je vous ai raconté comment, après plusieurs mois pendant lesquels Stéphane et moi nous sommes rapproché, j'ai fini par me retrouver chez lui et comment je l'ai soulagé de ses frustrations en lui faisant découvrir la jouissance extrême qu'il pouvait éprouver en confiant son sexe à la bouche experte d'un garçon.
J'ai bu tout son foutre et j'ai nettoyé son gland à grands coups de langues puis il m'a roulé une pelle pleine de fougue et de désir. J'ai su à ce moment là, par ce baiser profond et langoureux, que Stéphane cherchait plus qu'une branlette ou une pipe entre potes délurés.
J'avais pressenti que quelque chose n'allait pas dans sa relation avec sa copine, qu'il n'était pas épanoui. Ce baiser me confirmait qu'il était fortement intéressé par d'autres expériences.
C'est alors que la sonnette a retenti. Stéphane a enfilé son caleçon et son t-shirt. Je le trouvais beau et terriblement sexy. Je me sentais bien. Je venais de sucer un bel hétéro. J'ai remis mon caleçon et suis resté torse-nu. Il a ouvert au livreur de pizza et payé les 2 pizzas qu'il avait commandées. Il a refermé la porte et est arrivé dans le salon en disant : " On dîne maintenant ! ". Son visage était radieux.
Il s'est assis à côté de moi en posant les pizzas sur la table basse. Puis il a pris mon verre de bière pour me le donner. Il a pris le sien, m'a regardé droit dans les yeux avant de trinquer.
Assis à côté de moi, il a posé sa cuisse droite sur ma cuisse gauche puis a commencé à manger sa pizza. Il avait l'air satisfait. J'en fis autant.
Nous ne dîmes pas un mot pendant le repas. Puis Stéphane m'a demandé si c'était la première fois que je faisais ça avec un garçon. Je l'ai regardé, j'ai souri et je lui ai dit : " non ! "
Stéphane troublé : " ah bon, mais tu es... "
Moi : " gay "
Stéphane gêné : " ah ! Je ne pensais pas. Je pensais que tu avais une copine. Mais je ressens quelque chose d'indéfinissable quand je suis près de toi. Maintenant je comprends mieux. "
Moi : " eh oui ! Je n'aime que les garçons mais je ne le crie pas sur tous les toits. Et toi, c'est la première fois ? "
Stéphane : " Oui, c'est la première fois qu'un mec me suce. Et franchement, c'est la meilleure pipe de toute ma vie. Jamais une fille ne m'a sucé comme ça, avec autant de plaisir et de savoir-faire. Ce qui était génial, c'est le plaisir que tu prenais à me pomper. J'étais tellement heureux de sentir à quel point tu te délectais de ma queue. Je me suis senti puissant.
Je dois, quand même te dire que quand j'étais ado, chaque semaine, j'allais à la piscine avec un de mes meilleurs potes. On matait les filles qui, comme nous, venaient nager. Le nombre de cabines étant limité, on devait se changer à 2 par cabines. Excités comme des puces par les formes que l'on devinait sous les maillots de bain, on avait pris l'habitude de se branler avant de s'habiller. Mon pote n'arrêtait pas de parler des seins de telle ou telle, tout en se branlant. Moi, avec le recul, ce qui m'excitait vraiment, c'était de voir son sexe tendu. Je me branlais en le regardant et plus je sentais qu'il se rapprochait de l'orgasme et qu'il allait juter, plus mon excitation grandissait. Et quand je voyais son sperme expulsé de sa bite en 2 ou 3 jets puissants, je jouissais à mon tour. Après le lycée, il a déménagé. Je ne l'ai jamais touché. Mais les images de son chibre délivrant sa semence sont gravées dans ma mémoire et sont encore un support de mes fantasmes."
Au fur et à mesure de son discours, je sentais que ma queue se gonflait à nouveau. Il était serein et tellement masculin. J'avais envie d'aller plus loin avec lui. Mais était-il prêt ?
J'ai rebondi sur ses propos et posant ma main sur mon caleçon gonflé par ma bite à demi dure et je lui dis : " tu veux que je me branle pour toi ? Je vais t'offrir mon foutre. "
Stéphane m'a regardé avec les yeux d'un petit garçon à qui l'on promet une glace s'il est sage et j'entendis un petit oui s'échapper de sa bouche.
Je lui dis que j'avais envie de le voir nu puis je me suis levé pour enlever mon caleçon. Stéphane a enlevé sont t-shirt et son caleçon. Nous nous sommes assis pratiquement face à face, chacun appuyé sur un accoudoir du canapé. Stéphane n'était pas excité. Son sexe ramolli était posé sur ses couilles rasées. J'espérais provoquer une nouvelle érection. Moi, je bandais déjà depuis un moment. Je le regardais. Je détaillais tous les détails de son anatomie. J'admirais ses pecs développés. Il est poilu et ses poils avaient commencé à repousser. Ses cuisses sont puissantes. Ses pieds sont superbes et bien entretenus. Tout en le regardant, je caressais ma queue et mes couilles. Puis j'ai commencé un mouvement de va-et-vient sur mon chibre. Ma queue était douce et tendue à fond. Je ne pouvais pas bander plus fort. Mon gland était superbement gonflé. Je ne pouvais pas lui présenter une bite en meilleure forme qu'à ce moment là.
Je m'aperçus que Stéphane bloquait sur mon sexe turgescent. Je commençais à mouiller. A mon tour, je fixais mon regard sur sa queue. Elle commençait à frémir. Et sans qu'il se touche, Stéphane se mettait à bander. Je continuais à m'astiquer doucement puis j'accélérais lentement. Stéphane prit son sexe devenu dur dans sa main et commença à se masturber. Je savais qu'il attendrait que je jouisse pour envoyer la purée.
L'idée de faire jouir un hétéro avec ma queue même s'il ne s'agissait que d'une branlette partagée m'excita au plus au point. Stéphane ne lâchait pas ma queue du regard et se masturbait frénétiquement. J'étalais la perle de mouille que j'avais au bout du gland sur ma queue puis je m'astiquais de plus en plus vite. J'avais envie d'un bon orgasme et je savais que je lui offrirais une bonne dose de sperme. Je n'avais pas juté depuis une semaine. Encore quelques coups de main bien ajustés et je sentis la jouissance monter du plus profond de moi-même. Je jouis. Et j'envoyais 3 longs jets de sperme qui vinrent s'écraser sur mon torse. A ce moment là, Stéphane poussa un râle et envoya lui aussi la purée.
Nous restâmes ainsi quelques minutes, les yeux fermés. Puis nous nous regardâmes en souriant.
Stéphane : " Ne bouge pas, je vais chercher ce qu'il faut pour t'essuyer. "
La prochaine fois, je vous raconterai comment nous nous sommes retrouvés sous la douche avec mon bel hétéro.
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