1er Épisode |
Épisode précédent
Soumission & Domination 250
Vacances de Noël 2
Pendant le trajet, Hervé nous fait part de sa gêne à s'imposer chez Emma le jour de Noël.
Je lui dis que le seul trouble qui pourrait l'envahir serait d'être en présence de la troisième personne à profiter de nos trois corps.
Il s'étouffe, venant d'apprendre la chose.
A mes cotés, Ernesto me remercie, il ne lui en avait pas encore parlé !
Du coup, je prends 5mn pour lui expliquer le pourquoi du comment, notamment qu'elle n'est pas ma vraie mère, ce qu'il s'avait déjà. Surtout qu'elle a maintenant une ouverture d'esprit (entre autres ouvertures) qui fait qu'elle a dépassé les contingences et contraintes de sa position sociale. Elle a admis qu'elle pouvait prendre du plaisir avec de jeunes mâles et même avec trois à la fois sans que ce soit d'une perversité interdite. Elle a dépassé le stade où rencontrer Marc en tant que mon homme lui posait un problème, donc il n'y avait aucun souci à se faire quand à ce qu'elle rencontre le mec d'Ernesto.
Cela étant posé, nous l'avons laissé réfléchir tout seul.
Arrivée chez Emma, le majordome nous ouvre. Emma nous rejoint alors que nous quittons nos manteaux. Je suis le premier à la prendre dans les bras et je lui colle un bisou sur les lèvres. PH et Ernesto qui passent après font de même. Marc lui claque un bisou sur la joue et présente un Hervé encore un peu rouge qui lui prend la main et se penche en un erzats de baise main.
L'énorme bouquet de roses que nous lui apportons l'a ravi.
Nous la suivons au salon. Nous discutons de voyages car Emma met la conversation sur les dernières destinations de nos deux hommes. Comme elle-même voyage beaucoup, ils échangent sur leurs impressions.
Nous passons ensuite à notre dernier achat et la commande qu'elle a passée au sculpteur pour un David revisité.
Le champagne arrive, j'ouvre le magnum et rempli les flutes. Nous trinquons à Noël, même si nous n'en n'avons plus grand-chose à faire avec son aspect religieux.
La vielle cuisinière apporte les accompagnements chauds. Ils sont délicieux mais proviennent d'un pâtissier connu.
Nous passons à table. Malgré son âge, elle se débrouille encore bien et nous dégustons, après les huitres, une dinde des plus moelleuses.
Durant le repas, j'ai observé Hervé qui s'est détendu devant le naturel avec lequel Emma prenait les choses.
Faut dire qu'avec moi, elle a appris à relativiser question coeur. Elle sait que pour me garder, comme Marc l'avait appris avant elle, il faut me laisser la bride sur le cou et accepter mes évolutions. De plus ce n'est jamais gratuit. Quand je me suis tombé amoureux de PH, elle a su accepter le fait que cela ne me ferait pas moins l'aimer.
Et puis n'a-t-elle pas profité de mon expérience en amour ?
En attendant, à la fin du repas, Emma, Marc et Hervé s'entendaient plutôt bien.
Plus tard dans l'après midi, alors que Marc proposait que nous nous retirions, je le prévenais ainsi qu'Hervé, que nous (PH, Ernesto et moi), retrierions plus tard, qu'on voulait profiter de la piscine beaucoup plus grande chez Emma.
Alors qu'Hervé, qui n'avait pas compris la raison cachée, objectait que nous n'avions pas nos maillots, Marc nous a assuré que l'idée était bonne et que nous avions qu'à nous faire reconduire pour le diner.
Après les avoir raccompagnés à la porte, c'est en courant que nous nous sommes dirigés vers la piscine. Emma n'a pas eu de mal à nous retrouver, il suffisait qu'elle suive la piste marquée par nos vêtements.
Quand elle nous a rejoints, nous étions tous les trois nus dans l'eau à nous courser.
Nous ne l'avons vu que quand elle s'est glissée à son tour dan l'eau.
Nous l'avons entouré et avons commencé à la caresser. Lui manger la chatte sous l'eau est plutôt difficile (plus que de faire une pipe) et nous alternons à cette tâche.
Bientôt nous sortons de l'eau et nous couchons sur les matelas disposés sur la terrasse.
Comme cadeau de noël, nous avons décidé tous les trois de ne penser qu'à Emma et de ne pas baiser entre nous. Cela faisait longtemps que nous avions fait l'amour tous les 4. Mais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas ! Et les nombreux orgasmes que nous lui avons procurés nous l'ont prouvé. De simples roulages de pelles, en caresses intimes (doigts dans la chatte pour être plus explicite), de simples pénétrations aux doubles, puis à la triple (PH dans sa bouche moi dans son cul et Ernesto dans sa chatte), nous l'avons mise sur les genoux.
Si nous avons tous les trois juté deux fois, nous l'avons envoyé au 7ème ciel au moins une bonne demi douzaine de fois.
Ce que j'ai préféré et Emma aussi ça été les doubles prises. Faut dire que la présence d'Ernesto ajoute un plus par rapport aux fois où, avec PH, nous lui faisons l'amour. Ses 24cm x 6 assurent un " remplissage " que mes 20 x 5.5 ou les 19 x 6 de PH ne peuvent faire. La prochaine fois où nous serons que tous les deux, nous tenterons un double mais dans le même conduit, ça devrait lui faire de l'effet.
Pour nous les mecs, sentir une autre bite frotter la sienne au travers du même corps baisé, c'est divin. J'adore déjà le faire avec PH mais la grosse collerette du gland d'Ernesto fait un effet fou lors des va et vient en compressant mon propre gland à chaque passage.
Il nous faut à tous une bonne demi-heure, allongés, sur le sol, pour reprendre pied avec la réalité. Malgré une température ambiante maintenue à 25°, nous finissons par avoir froid. Une bonne douche prise à 4 sous des jets brulants résout le problème.
Nous finissons de nous rhabiller dans le couloir où nous retrouvons nos vêtements.
Alors que nous quittons Emma avec un dernier bisou, elle me glisse une petite boite dans les mains en me disant de l'ouvrir plus tard.
Nous nous entassons à l'arrière de la Merco et je relève la vitre de séparation avant d'ouvrir son cadeau.
Une carte précise que le présent est pour nous trois. Sur un capiton de satin, je découvre trois anneaux en or de 3mm de large environ dans lesquels sont enchâssés trois pierres dont la centrale plus grosse. Un diamant, un rubis et une émeraude. Nous tâtonnons pour savoir laquelle va à qui. J'hérite de celle au diamant central. Ernesto réussit à enfiler celle à l'émeraude au centre, la dernière va parfaitement à l'annulaire de PH et son rubis est vraiment sang de pigeon.
Nous passons bien 5mn à admirer nos bagues. Ernesto se demande comment son compagnon va le prendre. Avec PH, nous nous regardons et éclatons de rire, Marc n'en fera pas une maladie, ça c'est sûr.
Le chauffeur d'Emma nous laisse à la porte du Blockhaus. Quand nous débarquons au 4ème, nous trouvons Marc et Hervé qui nous attendent.
PH et moi nous nous jetons au cou de Marc et lui faisons admirer nos bagues. Il convient que ce sont de beaux cadeaux de la part d'Emma, même s'il trouve que les pierres centrales sont un peu grosses et Bling-Bling. Hervé quand à lui trouve ce cadeaux un peu déplacé de la part, somme toute, d'une cliente.
Je lui fais remarquer que cette cliente est ma mère (même si d'adoption) et que si elle nous avait offert ces bijoux, c'était parce que nous étions tous les trois ses seuls amants et qu'elle nous adorait elle aussi.
Marc de son coté a ajouté que cela n'enlevait rien à la relation privilégiée qu'il avait avec Ernesto, ce que ce dernier s'est empressé de lui prouver avec un gros câlin.
Une fois rassuré sur l'attachement que lui porte Ernesto, Hervé convient lui aussi que ce sont de belles bagues et que les pierres enchâssées jusqu'à la table, gardent un aspect viril.
Comme je cherche après Jimmy, Samir me dit qu'il est parti chez un client.
Je m'étonne un instant de ne pas être au courant mais il ajoute que la ligne fixe de ma société étant redirigée sur la maison, il avait reçu l'appel et comme c'était un client régulier il avait accepté.
Je le prends à part pour les détails.
Il ajoute que ce client voulait faire un cadeau spécial à son fils dont il venait d'apprendre l'homosexualité et ses difficultés à trouver un mec qui veuille bien se laisser enculer par du très gros calibre (le fils étant soit disant aussi bien monté que le père). Du coup, entre le fait qu'ils soient deux, et que c'était le jour de Noël, il avait triplé le tarif normal, ce qui avait été accepté sans difficultés.
Le soir, n'ayant pas très faim, l'apéro nous a suffit et a vite dégénéré en touze. Avant que les bouteilles de champagne soient vidées, nous étions tous les 5 à poil et nos deux hommes honorés par trois bouches voraces.
Hervé a pu ressentir tout l'attachement que lui portait Ernesto même s'il n'a pas été le seul à le sucer ni à se le prendre dans le cul.
Finalement c'est assez amusant de voir qu'Hervé, ex hétéro bon teint, craint plus d'une meuf comme Emma que de nous autres.
En attendant si j'ai pu sentir les 4 bites me ramoner le cul, je n'ai pas été en reste dans ceux de PH et Ernesto.
J'ai fait l'avant dernier wagon d'un petit train dont PH était la Locomotive, Ernesto le Tender et en alternance, Marc et Hervé le wagon de queue (dans tous les sens du terme !).
L'apothéose : moi, dos sur la table basse à éjaculer sur mes abdos et les 4 autres me couvrant de leurs jus, façon gang-bang. Si nos deux mâles dominants se sont écroulés dans les fauteuils, PH et Ernesto sont venus s'écraser sur moi pour me rouler des pelles.
Le soir même nous décidons Hervé( car pour Ernesto c'était évident) de venir dormir avec nous dans notre grand lit.
Le lendemain matin je débriefais Jimmy.
Il me dit que le fils du client était aussi monstrueusement monté que le père (27 x 6,5).
Avant que ce dernier ne les rejoigne, le client à renseigné Jimmy sur son fils.
20ans, métis, 1m84, sportif, imberbe et monté comme lui. Il venait d'apprendre qu'il était homo depuis peu et qu'il avait beaucoup de mal à trouver des mecs qui veuillent bien s'assoir sur sa queue. Beaucoup " partaient en courant " quand il baissait son slip ou il ne tombait que sur des vieux qui ne l'excitaient pas du tout.
Il avait donc pris la décision de faire appel à nous mais qu'il ne fallait pas que son fils sache que lui aussi tâtait du petit cul de mec.
Après les présentations, il (le client) les laisserait seul dans la maison.
Quand le fils est descendu de sa chambre, Jimmy m'a dit n'avoir pas été déçu.
Un beau métis en jogging dont le bas pourtant large avait du mal à dissimuler l'érection naissante de son sexe.
Le père parti (non sans lui avoir laissé l'enveloppe), Jimmy s'est mis en mode sexe. Alors que le jeune homme lui proposait une bière, il s'est approché de lui et sur la pointe des pieds (1m65 contre 1m84 !), s'est accroché à ses épaules pour lui rouler un patin. Direct il a senti le mec bander comme un ouf ! Il s'est alors haussé pour passer ses jambes autour de ses hanches et poser son cul contre sa queue raide.
Il m'a dit que le mec avait failli en jouir immédiatement.
Ça l'a tellement excité qu'il (le client) l'a mis à poils, déchirant son t-shirt et son slip tant il était excité.
Jimmy s'est alors mis à genoux pour pomper le monstre soutenu par la ceinture du jogging passé sous les couilles rasées.
Le mec a halluciné quand Jimmy, après quelques va et vient et couvert sa hampe de salive, se l'est pris entier jusqu'aux couilles. Jimmy m'a dit qu'il avait fortement compressé son périnée de peur de se recevoir direct le sperme dans l'estomac. Il a du calmer le jeu en retournant lui rouler des pelles et sucer ses tétons.
Il avait poussé le mec à se coucher sur le canapé et au dessus de lui, faisait glisser sa rondelle contre son gland tout pendant qu'il tétait sa langue.
Puis il s'est retourné en lui demandant de lui bouffer la rondelle alors qu'il reprenait sa pipe.
Jimmy m'a dit qu'il s'y prenait pas mal enfonçant sa grosse et longue langue dans sa rondelle. Il a trouvé une kpote XXL dans la poche du jogging et en a habillé la grosse bite du mec. Puis, après un demi-tour, il s'est assis sur le monstre. Il est descendu lentement mais jusqu'aux cuisses, se plantant le mec dans le cul.
Ce dernier n'en revenait pas. Il ne pensait pas ça possible vu le petit cul de Jimmy, même s'il avait senti sous sa langue que sa rondelle était bien souple.
Après deux va et vient il a rempli sa kpote d'un volume impressionnant de sperme d'après Jimmy !
Le jeune mec s'est excusé d'avoir juté si vite mais ça faisait plusieurs semaines que pas une meuf ni un mec potable n'avait accepté de le prendre en lui. Et ses branlettes n'atteignaient pas les mêmes sommets d'excitation.
Jimmy m'a dit qu'il n'avait d'ailleurs pas débandé alors qu'il le remerciait persuadé que la prestation payée par son père était finie puisqu'il avait joui.
Quand il s'est aperçu que Jimmy remettait ça, il ne se l'est pas fait dire deux fois.
Jimmy m'a dit qu'il a été très bon la deuxième fois. Il l'a enculé pendant presque une heure en levrette, debout Jimmy jambes accrochées à ses hanches, de face...
Quand il avait juté, il y en avait autant dans la kpote.
Là il a enfin débandé. Ils ont ensuite discuté des capacités hors normes de Jimmy.
Là, mon p'tit mec a réussit à lui glisser que la boite d'Escort qui le faisait travailler était quasiment spécialisé dans les mecs de son genre (coté calibre) et que si cela l'intéressait, il pourrait se faire une bonne dizaine d'autres jeunes mecs.
Il a vu ses yeux briller rien qu'à l'idée et luii a dit qu'il demanderais à son père si et quand ce serait possible.
Là, je remerciais Jimmy d'avoir " vendu " ma boite.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!