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soumission & Domination 225
Vacances 2012-1
Le vol est sans histoire, j'admire en passant les Pyrénées les lignes d'éoliennes qui surplombent les lignes de crêtes coté Espagnol.
Quand nous arrivons à Barcelone, Javier nous attend avec une voiture de location. Il nous a trouvé une Chrysler 300C comme celle que nous avons. Nous embarquons les bagages et suivons sa voiture jusqu'à la location qu'il nous a trouvé. Finalement ce n'est pas la même villa.
Comme l'année dernière, la villa surplombe Sitges tout en étant à quelques minutes du centre ville et guère plus de la plage. De toutes les façons, il y a de grandes chances que nous n'y allions pas souvent.
La villa est grande, avec piscine et les frigos et placards ont été remplis selon nos demandes.
Nous jetons les valises dans l'entrée car une surprise nous y attendait.
Ernesto, en maillot ES déjà tout bronzé arrive du salon. Il nous saute au cou et j'ai même droit à une pelle interminable mais trop courte. De la cuisine Pablo sort en tablier blanc et nous précise que nous arrivons juste à temps pour manger. Il est suivit d'un mec qu'il nous présente comme notre cuisinier, lui étant toujours en contrat avec ses Suisses.
Le mec est canon, Pablo nous dit qu'il avait lui-même fait la sélection. Comme il est torse nu sous son tablier, nous pouvons admirer un torse bien développé, imberbe (ou rasé) avec des tétons qui transparaissent au travers du tissu blanc.
Je lui tourne autour. De dos il est bien balancé aussi. Je peux mieux voir son bassin étroit portant d'un cul bien rond, empaqueté dans un slip de bain bien tendu, qui surplombe des cuisses épaisses et des mollets assortis.
Pablo conclu la présentation en nous informant que Paco était bien " équipé " et recto verso dans ses pratiques sexuelles.
En attendant, il est 15h et effectivement, surement aidé par les odeurs sortant de ses casseroles, nous nous apercevons que nous mourons de faim.
Avant tout nous passons tous entre ses bras et j'ai le plaisir de voir que nous ne le laissons pas indifférent. Tout comme Ernesto et les autres mâles, il commence à bander et son tablier se soulève.
Paco nous observe et je vois qu'à son tour, sa queue commence à se gonfler de sang (même si le maillot réduit la visibilité de l'expansion).
Marc invite Javier à rester avec nous. Il se laisse convaincre rapidement et téléphone à son agence pour prendre le reste de sa journée.
Avant tout, nous nous mettons à l'aise, c'est-à-dire nu pour Marc et en maillots Aussiebum pour PH et moi. Javier n'ayant pas prévu le plan se met nu et nous pouvons voir que c'est son mode de bronzage.
Pour nous débarrasser le la " poussière " du voyage, nous piquons tous une tête dans l'eau. Evidemment, l'eau est bonne et nous faisons les fous jusqu'à ce que Pablo nous engueule pour le risque que ce qu'il ait préparé soit trop cuit.
Comme il nous a fait le plaisir de prendre sa journée auprès de ses suisses pour nous accueillir, nous faisons honneur à ses tapas. Le tout servi avec un petit rosé bien frais, c'est le paradis !
Nous le prévenons que pour le mois à venir, il trouvera son frère chez nous, il n'est pas question qu'il s'installe ailleurs. Ça lui convient car il se souvient que l'année passée, c'était lui qui nous avait demandé ce service.
PH s'attarde sur Paco. Quand ce dernier retourne à la cuisine avec les plats vides, il l'accompagne. Je les suis discrètement. Arrivé dans la cuisine, PH n'attend pas que Paco ait déposé ses plats sur la table pour lui mettre la main au cul.
Après s'être débarrassé de sa charge, Paco se retourne et engage une pelle avec PH. Pas farouche le cuistot ! je vois les mains de PH soulever le tablier et tâter l'équipement qui déforme bien le maillot.
Il ne lui faut pas longtemps avant de baisser le bout de tissus sur les genoux et je peux voir que Pablo nous a bien choisi son remplaçant. Sa queue bande dur et se dresse impérieusement entre les deux corps. De plus ses fesses sont blanches (relativement par rapport au reste de son corps très bronzé) c'est très sex !
Je ne peux plus me retenir, j'avance et me plaque au dos de Paco. S'il est surpris, il ne le laisse pas paraitre et mes mains se posent directement sur sa bite. A vue de nez, je dirais un bon 23cm par minimum 6 de large (plus tard nous le mesurerons à 23,5cm x 6,5 à 7 de diamètre).
Ma propre bite sort de mon maillot et se calle entre ses fesses. Pas de rejet, il n'interrompt pas son roulage de pelle.
Mon PH a l'air de bien apprécier le démonte pneu de notre nouveau cuisinier.
Avec un synchronisme parfait, nous glissons tyous les deux le long du corps de notre cuisto et alors que PH embouche le morceau de monsieur, moi je lui écarte les fesses et entame une feuille de rose sur un oeillet bien serré.
Nous lui faisons suffisamment d'effet pour qu'il soit obligé de prendre appui sur la table centrale.
Paco est le premier à nous lancer plus loin. Il tire de son tablier deux kpotes qu'il nous tend.
J'en prends une pour coiffer mon gland alors que PH déroule la sienne sur la bite ancillaire.
PH se redresse et se plie sur la table en écartant les jambes. Paco ne le laisse pas s'impatienter et juste après l'avoir lubrifié avec sa salive, il pousse sa bite dans le cul de mon mec. Je le laisse s'installer et attends qu'il soit entré jusqu'aux couilles pour l'enculer à mon tour. J'écarte ses fesses de mes deux mains et ajuste mon gland sur sa rondelle. Avec ma préparation et le lubrifiant de la kpote, je glisse sans trop de résistance jusqu'au fond de son anus. J'ai quand même le plaisir de l'entendre apprécier l'enculage.
Je m'écarte jusqu'à n'avoir plus que le gland prisonnier de son anneau, puis cesse tout mouvement. Paco comprend de suite ce qu'on attend de lui et s'anime de plus en plus vite.
Quand il encule PH il se décule de ma bite et inversement. Son anneau serre plus que ce que la première saillie m'avait laissée penser.
Il adopte un bon rythme et nous nous lâchons question expression de nos plaisirs. Du coup, quand Ernesto nous rejoint, il appelle les autres d'un " v'nez voir, ils sont déjà en train de baiser ".
Du coup nous continuons sous des regards intéressés, chauds, lubriques et ... finalement détournés, captés par les augmentations de volumes des bites présentes.
La cuisine se transforme en baisodrome et Marc en profite pour enculer Ernesto pendant que Pablo se fait le petit trou de Javier.
Je fais la remarque que cette année Ernesto garde aussi son cul blanc. Il rigole et me dit que finalement lui aussi a trouvé cela plus " sex ".
Par-dessus l'épaule de Paco, je m'inquiète de PH. Il me dit que Pablo nous a bien choisi son remplaçant et que l'équipement qu'il a en haut des cuisses est très efficace. Du coup j'ai hâte de me le prendre dans le cul.
Je n'y tiens plus et demande à mes partenaires de bouger. Je me fais enculer par Paco et je sodomise PH.
J'entre facile dans PH ne laissant pas le temps à son anneau de se refermer. Il s'emploi aussitôt à serrer sa rondelle jusqu'à ce que je me sente bien les bords du boyau.
Ayant changé de kpote bien que ce ne soit pas nécessaire (entre PH et moi il n'y a pas de barrières en synthétique), Paco se plante dans mon cul. Bien que préparé psychologiquement à me faire saillir par un étalon, je sens bien passer les 23cm et demi de chair raide. Je me détends et profite rapidement des bienfaits que procure un tel engin. Surtout que poussé par un Paco plutôt bien expérimenté, je prends un maximum de plaisir. PH s'en rend compte et me demande si comme lui, je jouis du limage en profondeur de mon anus.
C'est le cas et tous s'en aperçoivent aux gémissements qui sortent de ma bouche.
Je ne peux tenir plus longtemps et je cède aux coups de gland dans ma prostate et éjacule au fond de mon PH. Mon anus en pulse de contractions sur la hampe de Paco réussissant à le bloquer temporairement. Il apprécie les compressions et jute dans sa kpote, bien planté au fond de mon cul, accrochant mes épaules pour me souder à lui.
Nous sommes les premiers à avoir juté. Paco nous sert un rafraichissement alors que nous matons les autres. Ils sont bien partis et leurs " gesticulations " finissent par porter leurs fruits et ils jutent les uns après les autres. Marc explose au fond d'Ernesto (avec Kpote) et ce dernier recouvre la table de cuisine de son sperme !
Pablo se retire juste à temps de Javier pour juter sur son frère alors que le sperme de Javier tombe sur le carrelage.
Nous remercions Pablo pour la sélection de notre nouveau cuisinier. Comme nous avons très faim après cet intermède sexuel, Paco nous concocte une omelette géante augmentée de poivron, tomate et pomme de terre.
Après une période de somnolence due au déjeuner tardif (et surtout à la baise), nous nous installons.
Ernesto ayant prévu nos envies avait déjà déménagé la literie et avec Paco, avait, dans la chambre principale apporté un deuxième grand lit, histoire de pouvoir tous les 4 coucher ensembles comme lors de son passage à la maison.
Marc lui fait savoir son approbation avec une pelle suivie d'une légère tape sur les fesses.
Nous continuons le tour, trois autres chambres constituent la partie nuit. Chacune a sa propre salle de bain avec baignoire et douche. La chambre principale est équipée d'une baignoire géante, plutôt un spa.
Le séjour est immense et ouvre grand sur une terrasse équipée pour le bronzage (grand tapis avec draps de bain) et fauteuils, tables basses... le tout cernant une grande piscine de 10m x 5 avec nage à contre courant.
Sur le coté de la maison, à l'est, la terrasse est équipée de quelques postes de musculation. Un banc de développé couché avec sa barre et ses 120Kg de poids et un combiné permettant de faire les dorsaux, les bi et triceps. Quelques altères finissent l'équipement.
Cela nous permet de voir qu'une pièce supplémentaire donne de ce coté. Curieux nous entrons. C'est la chambre de Paco. Elle donne sur la cuisine directement et est équipé de sa propre salle d'eau avec douche.
Comme l'année passée, Javier nous a trouvé une belle villa.
Nous ne devrions pas avoir besoin de trop descendre en ville sauf pour se faire des connaissances pour les touzes. Car cette année j'ai bien envie de faire nos propres choix avec PH et Ernesto.
Nous fainéantons jusqu'au diner (21h) sur la terrasse. Heureusement que nous avions déjà pris un peu le soleil, mais cela ne nous empêche pas de nous couvrir de crème protectrice (réciproquement c'est meilleur !!).
Comme nous avons presque 4 semaines sur place, nous ne nous rpécipitons pas en ville dès la première soirée.
Nous finissons notre installation et faisons mieux connaissance avec Paco.
Nous apprenons que c'est un copain de formation de Pablo qui, sachant nos besoins et ayant appris que Paco était au chômage, avait vu là un bon deal à faire.
Marc rassure Paco sur ce que nous attendons de lui. Coté cuisine nous ne sommes pas chiants, il nous fait ce qu'il veut dans le cadre d'un budget déjà assez conséquent, à lui de nous faire connaitre les plats espagnols et autres s'il le désire. Il devra aussi préparer des buffets froids quand nous organiserons des touzes. Coté sexe, il lui confirme qu'il n'y a rien d'obligatoire. Il est embauché comme cuisto et le reste est en plus. S'il veut baiser avec nous et les invités qui ne manquerons pas de faire venir à la villa, il est libre.
Paco le remercie pour cette mise au point et nous assure qu'il fera de son mieux et ajoute " coté cuisine comme coté sexe ".
Pablo nous a trouvé un bon plan !!
Le lendemain, après une grasse matinée qui s'est finie plus que coquine et un bon repas, avec Ernesto et PH, nous descendons à la plage histoire de voir ce que nous pourrions ramener à la villa.
Un peu de marche a pieds et nous voila sur la plage gay. Nous faisons un aller complet les pieds dans l'eau à mater les corps en train de bronzer (on va dire ça, c'est plus correct !). Puis retour et installation vers le milieu de la plage.
Notre arrivée n'est pas passée inaperçue. Faut dire que trois mecs, jeunes pas trop mal gaulés avec des maillots de bain à la bosse proéminente, ça ce remarque de suite !
Nous étalons nos serviettes collées les unes aux autres et nous couchons dessus après nous être recouvert de crème. Cette opération s'est bien sur, faite avec tous les regards du coin sur nous. Faut dire que question lascivité nous y avions mis le paquet !
Il faut quand même une heure avant que nous nous fassions abordés et seulement alors que nous étions partis nous rafraichir dans la méditerranée.
En effet, après avoir cuit une demi-heure sur chaque face, nous avons ressenti un besoin de fraicheur. En quelques pas, nous sommes entrés dans l'eau en courant puis avons crawlés vers le large. Petite course entre nous, Ernesto est le meilleur en pleine mer !
Après avoir joués ensemble quelques minutes, nous sommes revenus sur le sable. C'est en sortant de l'eau que nous avons été abordés par deux mecs, plutôt jeunes. Un probablement local très brun mais imberbe, bronzé avec un maillot bien rempli et l'autre blond, imberbe aussi, déjà bronzé bien que partant d'une peau pâle, type allemande maillot idem.
Ils se présentent. L'espagnol se prénomme Gustavo et le hollandais (en fait), Karl-August mais il nous dit de l'appeler KA. Ils ont l'air sympathique et nous nous installons sur nos serviettes pour discuter.
Ce sont d'anciens correspondants qui ont continué à se voir après les échanges et bien sur en vacances. Ils ont 18 ans tous les deux et ils nous disent carrément que s'ils sont bien ensemble, ils cherchent aussi à diversifier leurs expériences. Je les regarde de plus près. Ils sont pas mal eux aussi, sportifs, vu leurs musculatures plus formées que la moyenne et leurs maillots sont bien pleins même si je pense qu'ils ne sont déjà plus au repos complet.
Ils nous disent n'avoir trouvé, avec leur budget, qu'une chambre chez l'habitant et ne peuvent y ramener leurs " rencontres ".
Je jette un oeil à PH et Ernesto, ils ont l'air aussi bien disposés que moi envers eux
Je n'hésite plus et leur propose de venir chez nous pour la soirée. Ils acceptent aussitôt. Je leur précise qu'à la villa il y aura aussi Marc et leur précise que c'est mon mec, cela ne les gêne pas plus que cela.
Comme je commence à en avoir assez de nous faire mater, je propose de lever le camp et de continuer notre conversation sur les bords de la piscine. Ils sourient et acceptent quand je leur dis de nous suivre.
Jardinier