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soumission & Domination 217
Morgan et Simon en duo, outage de PH
J'utilise mes deux Escorts bi en duo chez les couples et sur le père de Jean.
Je les ai rencontré tous les deux avant. Je tenais à ce qu'il fasse connaissance et à les tester en fonctionnement.
Convoqués au blockhaus, ils sont arrivés à l'heure prévue. Je ne leur avais pas dit pourquoi. Du coup, assis tous les deux en face de moi dans mon nouveau bureau, ils se regardaient, intrigués de savoir qui était l'autre.
Je n'ai pas fait durer le suspense et les ai rapidement présenté l'un à l'autre.
Dès que je leur ai dit qu'ils étaient tous les deux Escorts, j'ai vu la nature de leurs regards changer. Après la curiosité c'était plutôt une évaluation en règle.
Je leur ai annoncé que je souhaitais les voir travailler en duo et leur expliquais pourquoi.
Seul Morgan (le plus juste financièrement) m'a demandé si cela aurait une incidence sur son salaire. Je l'ai rassuré, la politique de ma société n'est pas de faire des prix de groupe mais d'augmenter les tarifs de façon exponentiel en cas de réservation multiple.
Je leur ai dis que par contre je devais tester leur compatibilité.
Comme ils s'interrogeaient l'un l'autre du regard, je leur ai dit de se lever de me suivre.
Une des chambres de cet étage est aménagée en salon et justement réservé à cet effet (tests de mecs).
Quand nous y entrons, Jimmy est déjà là à mater un film de cul. C'est lui qui va tester leurs capacités à double sodomiser ensemble.
Les gémissements qui sortent de l'écran attirent nos regards et nous y voyons un beau minet se faire enfiler par une belle teub longue et épaisse.
Il ne faut pas plus pour nous faire tous bander.
Je leur dis d'y aller.
Les trois se mettent à poil, s'aidant même au besoin. Je me mets un peu en retrait, enfoncé dans un gros fauteuil.
Rapidement Jimmy fait sa salope et se retrouve à genoux entre mes deux Escorts à les sucer alternativement avant de le faire simultanément.
Mes deux nouveaux se rapprochent et se roulent patin sur patin.
Je les laisse faire connaissance. Les mains palpent le corps opposé avant de se retrouver sur la tête de Jimmy à la pousser pour faire entrer leurs queues plus profondément.
Ils ont l'air d'être compatibles. Les pelles s'allongent et mon Jimmy se retrouve bien coincé entre les deux bassins.
Je leur rappelle qu'ils ne sont pas là justes pour se faire un nouveau plan mais pour tester leurs capacités à baiser ensemble.
Ils se décollent en riant et attrapent Jimmy pour l'enfiler. (kpotés bien sur).
Ils commencent par le prendre l'un après l'autre. Mais rapidement ils se souviennent qu'ils doivent l'enculer ensemble.
Alors qu'ils s'installent, Jimmy leur donne des conseils. Il les place et réunissant leurs bites, il s'assoit dessus.
Après s'être laissé faire, ils ont vite repris la main et là, Jimmy s'est contenté de subir (pour son plus grand plaisir évidemment).
Comme je bandais à m'en faire mal, j'ai ouvert mon jeans pour me branler.
Bien que bloqués plusieurs fois par Jimmy pour ralentir leurs montées en pression, ils ont jutés rapidement.
Comme je commentais en direct leur prestation, je les ai prévenus qu'il allait falloir qu'ils s'améliorent question endurance.
Ils se sont récriés que c'était parce que c'était la première fois.
Mouai, je veux bien.
Morgan qui ne perds jamais le nord m'a demandé s'ils pourraient s'exercer à nouveau sur, vite rattrapé par un " avec ", Jimmy.
Pour faire accepter leur demande, les deux néophytes se sont jetés sur ma queue toujours bandée.
Quand l'un coiffait mon gland de sa bouche, l'autre me léchait la hampe et inversement.
Dès que j'allais jouir, ils cessaient tout et attendaient avant de reprendre que je me sois " calmé ". Ils m'ont fait subir cela jusqu'à ce que j'accepte.
Petite vengeance, je me suis vidé dans leurs cheveux !
Comme ils faisaient la gueule à l'idée de rester avec ça sur la tête jusque chez eux, j'invitais Jimmy à leur faire les honneurs de ce niveau et à les emmener à la salle de bain.
Jimmy m'a raconté plus tard qu'ils l'avaient enculé à nouveau alors qu'ils se douchaient tous les trois. D'après lui, c'était bon, je pouvais les envoyer ensemble.
Il lui avait semblé en plus qu'entre les deux il pourrait y avoir plus.
Devant mon regard interrogatif, il a précisé que les deux là, ils avaient l'air de s'apprécier plus que professionnellement.
Ok je devrais bientôt, si cela se confirme, définir les limites. Cela ne posera pas de problème tant qu'ils seront dispo aux besoins des clients et qu'ils ne négligeront pas leurs préparations physiques.
D'après les retours que j'ai eus des clients, ils ont fait merveille. Le père de Jean me les a redemandé 15 jours plus tard et les parents d'Ed et Théo m'ont appelé pour me remercier. Au prix où ils payent la prestation, ils n'y sont pas obligés mais ça fait plaisir.
Coté blockhaus les finitions sont quasi finies. Vu les températures extérieures, nous nous contentons de la piscine du second.
La maison de Marc a été mise hors gel et nous y avons tous pris nos quartiers d'hivers. Samir, Ammed et Jimmy se sont logés au premier.
Comme PH s'est installé avec moi, nous avons confié à Maxou les clefs de son appart avec recommandation de ne pas y amener n'importe qui.
Emma nous presse de nous " outer " auprès des parents de PH. S'ils venaient à apprendre la situation par un de leurs " amis " bien intentionné, ce pourrait être catastrophique.
Plusieurs remarques dans ce sens de la part de la mère de PH lui faisait dire que peut être ce serait le bon ou plutôt le moins mauvais moment.
Après quelques jours de discutions à la recherche des arguments les plus susceptibles de convaincre des parents en plus de fils unique (ça rajoute des difficultés supplémentaires), PH a décidé d'aller seul affronter l'orage.
J'ai bien proposé de l'accompagner mais il m'a dit que cela risquait d'engendrer plus de complications qu'autre chose.
Je sens que je ne vivrais plus jusqu'à ce qu'il m'appelle après leur entrevue.
PH a choisi de les voir 3/4 heure avant leur hebdomadaire partie de golf. Il m'a dit que s'ils la sacrifiaient, il saurait s'il compte vraiment pour eux.
Retranscription de la rencontre :
PH est arrivé comme prévu alors que ses parents se préparaient pour aller golfer. Dans le petit salon de leur grande demeure, il leur a tout étalé en quelques minutes.
Qu'il était homosexuel, que c'était vraiment sa nature et que oui, il avait aussi fait l'amour avec des femmes mais que ce n'était pas son truc. Il en a profité pour leur dire qu'il vivait avec moi (pour l'instant ce n'était pas nécessaire de leur dire pour Marc aussi), que nous nous aimions comme des fous et qu'il serait vain de vouloir le faire changer.
Sa mère qui avait été à l'initiative du renvoi du prof de danse, se doutait un peu des orientations de son fils tout en espérant que cela lui avait passé.
Pour son père, ça été plus brutal. Après un accès de fureur contre moi qui avait dévoyé son fils, il a du se rendre à l'évidence. Je pense quand même que je vais attendre un peu avant de me retrouver devant lui !
Comme espéré par PH, ils ont n'ont pas été gofler ce qui, quelque part, lui à fait plaisir.
Ils ont discuté tellement longtemps que je me suis inquiété. Je n'ai pas pu tenir même si Marc présent à ce moment là tentait sans succès de me calmer.
Après deux heures, j'ai appelé PH. Pour rien, il avait coupé son portable.
J'ai du ronger mon frein jusqu'à ce qu'il m'appelle lui.
Quand je l'ai enfin eu au téléphone (3 heures après son départ), il m'a tout de suite rassuré. Il n'a pas été mis à la porte (l'histoire de Maxou nous avait quand même fortement marqués). De là à dire que ses parents sont ravis, peut être pas, mais ils ont accepté que leur fils soit différents d'eux.
Je crois que si je les avais eus devant moi je leur aurais sauté au cou.
La seule chose qu'ils lui ont demandé c'est d'assurer la postérité.
PH a appris à cette occasion que ce genre de comportement n'était pas exceptionnel dans leurs familles mais que jusqu'à présent, les homos se mariaient et avait des enfants quand même.
Là, le père de PH l'a surpris en lui disant qu'avec une mère porteuse, au pire une adoption, il devrait pouvoir satisfaire à la continuation de sa branche familiale.
Il lui a même dit qu'il voterait Hollande pour qu'il puisse avoir cette possibilité un jour.
Quand PH lui a fait remarquer qu'il en paierait surement plus d'impôts, il a balayé l'argument d'un " la république intègre une notion d'entraide et de redistribution qui est absente de la simple démocratie. Il faut le savoir et l'accepter. "
Il l'a scié encore plus quand il lui a dit qu'il aurait tout intérêt à le faire dès que ce sera possible, un retour de la droite pouvant annuler ce genre de disposition.
PH nous est donc revenu avec comme seule obligation celle d'être père un jour. Et si Hollande passe, dans les 5 prochaines années.
Je n'ai retenu qu'une seule chose, c'est que c'était accepté pour nous. C'est Marc, un peu plus tard et la tête un peu plus sur les épaules, qui nous a fait réfléchir à la deuxième partie du marché.
Il a été étonné, non pas de nous voir nous engouffrer dans la solution mère porteuse qui assurait un minimum de 50% de gène familiaux plutôt que l'adoption mais par le fait que nous avions déjà entériné l'idée d'avoir des enfants.
Il y a vu une différence de génération et ça l'a rendu tout morose la fin de la soirée.
Nous avons du PH et moi lui faire l'amour comme jamais pour le décomplexer un peu.
La tête sur l'oreiller, il nous a dit que jusque là, sa vision de sa vie n'incluait pas d'enfant. Il avait laissé cela, comme le mariage, aux hétéros.
Quand je lui ai dit " faut pas t'en faire, Papy, on te le laissera pas trop souvent ", je me suis retrouvé plaqué dos au matelas, les jambes bloquées par son poids et les poignets dans ses mains.
Couché à nos cotés, PH se tordait de rire.
Ça a fini dans un gros câlin général.
Dans la nuit je me suis réveillé pou vérifier la présence de PH. Oui, il était bien là collé contre moi.
Puis j'ai réfléchi à notre situation et à l'incidence qu'aurait l'arrivée d'un enfant dans notre vie.
Moi, personnellement, je n'y suis pas plus attaché que cela. Je serais plus comme Marc.
Notre modèle de vie hors des sentiers battus (amours multiples sans fidélité, bisexualité assumée et vécue, propriétaire d'un société d'Escorts...) et 22 ans, ne m'avait pas encore fait penser à ce genre d'avenir.
Nous avons encore le temps de choisir.
Au réveil, c'est la fête. C'est avec une douce chaleur autour de ma bite que j'ai repris conscience. Le jour inondait la chambre et quand j'ai ouvert les yeux, j'ai vu que PH " honorait " ma virilité triomphante.
Je l'ai laissé faire quelques instants. C'est celle de Marc, qui transformait la couette en chapiteau de cirque, qui m'a attiré à mon tour. Après quelques reptations, j'ai réussi à la prendre en bouche.
J'ai su que Marc était réveillé quand j'ai senti ses mains appuyer sur ma tête pour que je lui en mange plus.
Il nous a vite demandé de nous mettre en 69 et à moi de préparer le cul de PH .
Bientôt la queue de Marc est entrée dans mon champ de vision. Comme je sentais l'impatience de Marc, j'ai salivé un max la rondelle de PH avant qu'il ne la défonce.
Son gémissement a été étouffé par ma bite bien enfoncée dans sa gorge. Il ne me restait plus qu'à bouffer les couilles de Marc. J'ai alterné ça avec le passage de ma langue sur la jonction entre leur deux corps.
A ce que j'entendais, ils avaient l'air d'apprécier l'un comme l'autre.
Puis j'ai repris en 69. La bite de PH coulait bien dans ma gorge et, par de fréquentes déglutitions, je l'ai amené doucement à la jouissance.
J'ai modulé jusqu'à ce que les coups de rein de Marc soient plus secs, annonciateurs de sa jouissance proche.
Puis je me suis lâché. PH, sans plus se retenir, m'a gavé de son bon jus matinal alors que je lui rendais la pareille. J'ai même failli m'étouffer quand Marc dans un dernier coup de rein libérateur de son propre sperme, a enfoncé dans ma gorge le gland de PH et l'a maintenu un temps beaucoup trop long.
Je suis ressorti de sous l'amas de corps rouge comme une pivoine
Jardinier
Suite de l'histoire