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soumission & Domination 205
Gang Bang du père de Jean
Dès le lendemain, j'ai appelé mon banquier pour lui dire ma nouvelle décision. Il est ravi, il trouvait que je gérais mes affaires, pire qu'un rentier frileux du XIXème. Il me donne quelques tuyaux sur les quartiers qui montent. Notamment une zone industrielle pas loin du centre qui devrait bientôt être déplacée en périphérie.
L'idée me plait. Faire d'un bâtiment industriel un grand loft, ce n'est pas original mais ça reste sympa.
Nous discutons quelques instants sur le montant que je peux investir. Je ne pensais pas pouvoir mettre autant !
Mais fourmi comme je suis, je pense déjà à remplir de nouveau mon bas de laine et me souvient que Georges, le père de Jean attend son gang bang.
Je m'atèle à organiser la chose.
Le lieu : mon loueur de gite me donne priorité. Je le paye rubis sur l'ongle et laisse toujours la maison nickel.
Une fois la location faite, je peux contacter les clients. Ils sont toujours partants sur ce genre de plan. Quelques uns tiquent sur l'âge du mec mais je les persuade par sa capacité à prendre grave.
Je finis mon tour et sans problème m'assure la venue de 10 blacks TTTBM et des 30 000 que j'avais prévu.
Je n'ai plus qu'à convoquer George. Un simple coup de fil m'assure qu'il est toujours partant. Il est même plus que cela, impatient d'y passer !
Depuis que nous avons fait " connaissance " avec notre nouveau charcutier traiteur, nous faisons souvent affaire avec ses services... professionnels bien sûr !
Je lui commande donc un buffet froid pour une douzaine de personnes.
Avec Ammed, je prépare tout. La grande salle de séjour reprend sa configuration Gang Bang (table haute repoussée contre un mur comme les canapés, les chaises exilées dans une chambre et la table basse au centre, support des futures turpitudes).
George est le premier à arriver, normal. Je l'assure qu'il sera toujours pris en toute sécurité (kpote obligatoire). Il part se préparer dans une chambre.
Je le rejoins alors que tout est prêt, Ammed sur mes talons.
Je le trouve sur le lit, un gros gode dans le cul et train de feuilleter un dossier. Quand je m'approche je m'aperçois que c'est en fait un recueil de toutes les positons possibles en double sodo. Il révise !!
Comme je bande et qu'il n'est pas encore l'heure, je défais vite ma braguette et lui tend ma bite à sucer. Il se jette dessus. En manque le coco !
En attendant il me suce parfaitement. Mon gland glisse sans soucis au fond de sa gorge sans rencontrer ni ses dents ni de résistance. Il maitrise parfaitement sa respiration et je peux me servir de sa bouche comme d'un cul. je le prends par les oreilles et lui sodomise la gorge. Sa langue ne manque pas de venir tourner autour de mon gland dès que celui ci entre ou sort de sa bouche. de temps en temps je laisse la place à Ammed. Il tête son gros boudin noir comme il faut. Au moins ça habitue George à la couleur car question volume, ce qui l'attend est au moins deux tailles au dessus.
il m'excite au point que je largue la sauce sur son visage. Ammed en fait autant.
Nous finissons un brin de toilette quand j'entends les premières voitures.
J'envoi Ammed ouvrir. Il débarrasse les clients de leurs vestes et je récupère les enveloppes de participation. Comptages rapides ou lecture des montant des chèques et je les laisse entrer dans le séjour.
George est nu, à 4 pattes sur la table basse.
Avant que le 10ème soit arrivé, il se prend déjà des doigts dans la bouche et le cul. Il donne l'impression de les sucer des deux cotés !
Dès que le dernier est là, commence la débauche. George aura pendant plusieurs heures le cul et la bouche continuellement remplis. Je remarque que George s'enfile sans plus de problème des queues deux fois plus grosse que la mienne ! Quelle salope ce mec ! En attendant les clients sont content toutes les bites sont bien gonflées et les glands roses à violets ont leurs fines peaux bien tendues.
Quand il commence à se faire monter, George ne retient plus ses gémissements, cela lui vaut quelques remarques sur son état de salope confirmée.
Mes clients commencent par le saillir un par un puis ils se mettent en couple pour le double sodomiser. George a pris méchamment grave ! Je l'ai vu se prendre les deux plus grosses bites que je connaisse en même temps. Ok ce ne sont pas les plus dure et elles se sont écrasées l'une contre l'autre mais à l'oeil, il s'est quand même mangé un ensemble qui devais faire dans les 28cm de long par une masse ovale de diamètres 8 de large et d'environ 15cm d'épaisseur !
Bravo l'artiste.
A la fin de la séance, il faut qu'il soit soutenu tellement il est fatigué et les derniers se finissent dedans façon " méchoui " un devant et l'autre derrière.
Tous les participants me demandent avant de partir quand je pourrais remettre ça avec ce mec.
Je savais qu'ils kiferaient la partie mais ne pensais pas qu'ils voudraient remettre ça avec un mec de son âge. Je me trompais, ils avaient tous aimé pouvoir enculer sans se retenir de peur de " casser " le jouet contrairement avec Jean ou même Jimmy.
Je du leur promettre d'essayer de refaire ça le mois prochain.
Putain ! si je m'organise bien ça pourrait devenir mensuel. Je ne pense pas avoir de mal à convaincre George.
Quand le dernier part, j'attaque le sujet alors que je l'emmène à la douche.
George me dit être comblé au delà de ce qu'il pensait être possible. Pas étonnant si on compte le nombre de mètre de queue qu'il s'est pris en une soirée ! Je glisse l'air de rien que s'il est partant, certains mecs de la soirée serait prêts à remettre ça dans quelques temps. Quand il me demande lesquels, je suis obligé de lui avoué que c'est tous. Il est ravi d'avoir fait si bonne impression, il avait eu peur que son âge en rebute certains.
Je lui dis que tant qu'il serait aussi bien physiquement (le sport hebdomadaire que j'avais initié chez lui portait bien ses fruits), qu'il ne laisserait pas son anus devenir une chatte trop baveuse, je pourrais lui organiser ce genre de plan.
Pour le vérifier, alors qu'il se rinçait dans la baignoire, je glissais ma main entre ses fesses et lui plantait encore trois doigts bien profond.
Je lui dis qu'il allait devoir muscler son anneau s'il voulait continuer à plaire à mes clients. Comme je lu avait déjà dit ce qu'il fallait faire, il me promit qu'il s'y exercerait pour pouvoir continuer ce genre de plan.
Bon me voila avec une belle rente de 50 000 par mois si je m'arrange bien !
Retour à la maison.
J'explique à Marc les derniers développements, il est mort de rire de l'évolution que cela prend. Il me dit que cela n'arrive qu'à moi ce genre de truc.
Puis dodo, il est déjà 3h passé.
Le lendemain commence par une heure de téléphone avec PH, Merci les forfaits illimités !
Il me manque et c'est réciproque. Je lui propose qu'on se retrouve après ses cours. Je vais commencer ma recherche de loft.
Dès 14h je suis dans les agences immobilières pour trouver la perle rare. Entre les mytho qui essayent de me faire passer un simple garage deux places pour une ancienne usine, je tombe sur deux agences sérieuses dont une spécialisé dans ce genre de bâtiments. Avant de retrouver mon PH, j'ai le temps de visiter deux entrepôts.
Ok, ils sont grand, haut de toiture (y'a pas de plafond !) mais ils manquent d'âme. Je sais je suis difficile !
Je quitte le dernier vendeur (pas moche) avec précipitation pour ne pas être en retard devant la porte de l'université de mon chéri.
Ma Mercedes SLS attire les regards. Faut dire que " discrètement " je me suis garé juste au pied des marches de l'entrée.
PH sort de l'enceinte avec un groupe autour de lui. Que des garçons et je mate. Ils sont tous plus mignons les uns que les autres. Du noir corbeau au blond/blanc, cheveux long à très courts il y en a pour tous les gouts. J'attends patiemment qu'il s'avise de ma présence.
C'est un de ses nouveaux copains qui avise les autres de la caisse qui attend. Je vois mon PH rougir et dire que c'est pour lui. Il se fait bousculer dans les quelques marches à descendre et s'engouffre dans ma caisse.
Dans le trajet pour aller chez lui, il me reproche à moitié d'être venu le chercher. Il me dit qu'il va falloir qu'il trouve un truc, puis me sort qu'il va me présenter comme son frère. Je fais la tête, son frère !!
Je lui dis qu'il ferait mieux d'assumer direct. Le mensonge hormis par omission est un piège dont ne se sort jamais intact. Si un de ses copains tombe amoureux de lui, il voit le tableau ?
En plus, bo-gosse comme il est, de bonne famille, suffisamment musclé pour qu'on ne lui cherche pas de crosses, sans compter sa pratique du karaté, il n'a pas grand chose à craindre d'autant plus que ce genre de chose est en passe d'entrer dans les moeurs.
Nous passons la soirée dans son appart à baiser comme des fous. J'ai du lui manquer un peu !
Je lui fais raconter son groupe de copain. Il commence par me les décrire et s'offusque quand mes questions se précisent. Nous nous battons gentiment et j'ai le dessus il me rend bien 10 Kg et j'en profite. Ça fini par ma bite dans son cul alors que je l'ai immobilisé sous moi. Nous prenons un plaisir décuplé par notre " altercation " et sa mise sous " contraintes ".
Alors que nous somnolons de récupération, il me lance que si je veux je peux l'accompagner aux soirées étudiantes. Après tout je n'ai que 22 ans et n'en parait toujours que 18. Qu'il est mignon mon amour !
Je veux bien, mais il doit savoir que je ne me retiendrais pas de le prendre dans mes bras ce qui rendra officiel notre relation et puis qu'il ne devra pas être jaloux si je me fais un p'tit mec qui m'aura chauffé.
Monomaniaque, je passe les semaines suivantes entre la recherche de mon loft et mon inscription à l'école de commerce locale. Idée de ma chère mère pour assoir ma position de dauphin dans son conseil d'administration.
Mon banquier est ravi lui aussi ! Qu'est ce qu'ils ont tous à me repousser dans les études !!
J'ai plus de mal à trouver mon logement qu'à être accepté dans l'école. Privée, elle privilégie le fric, le nom de ma mère et mon expérience d'entrepreneur (ma société d'Escort-boy) me font accepter sans problème par la direction.
Les premiers cours en amphi me font bizarres. En BTS nous sommes encore dans le style lycée avec salle de cours classique ! Mais je ne suis pas le seul. Tous les autres, à part quelques redoublants, sortent du BAC.
Je me sens vieux à coté d'eux, mes 4 ans de plus me semblent un siècle ! dans les glaces des toilettes, mon reflet dément mes noires pensées.
Il ne me faut que 3 semaines pour trouver mon futur loft. L'agent spécialisé me présente un immeuble de stockage de 6 plateaux (1 sous sol, 1 rez de chaussée et 4 étages) avec toit terrasse, qui domine les autres autour. Le bâtiment fait quand même 200 m² au sol soit un peu plus 1200 m² plus une cour arrière. Tout béton, construit après guerre, il ressemble à un blockhaus. Un vieux monte-charge et un large escalier adossé permettent la liaison entre les niveaux.
Je fais passer Olivier, le mec de Pierre qui est architecte pour qu'il me donne son sentiment. Pour lui la construction est saine. Je signe l'affaire sous réserve d'obtenir le permis de transformer ce bâtiment en habitation. Je serais cerné par des entrepôts, pas de nuisances nocturnes !
Avant même de signer, je développe avec Olivier et Pierre une ébauche d'utilisation des m².
Je voudrais mon lieu de vie au 4ème avec l'accès à la terrasse que je compte végétaliser, je serais au dessus des autres bâtiments et sans vis-à-vis, je pourrais même me balader à poil sur la terrasse.
En dessous (3ème) les chambres avec toutes une salle de bain. Au second une salle de sport, muscu, gym, tatami de lutte ou autre sport de combat et bien sûr avec sanitaires ouverts sur la salle (sauf pour les wc).
Au premier, pour l'instant pas d'utilisation, mais je pense à domicilier ma société d'Escort et il me faudra alors un bureau plus des salles de sélections des employés !
Pour le rez de chaussée, d'évidence un garage pour motos et voitures avec un atelier de maintenance (pour quand je recevrais la visite de Cyril). Quand au sous sol, à part une cave à vin, installation d'un donjon, copie de celui de la maison.
Quand je présente le projet à Marc, il tique un peu que j'ai tout prévu seul. Du coup, il me demande si je me sens chez moi à la maison.
Je réalise que oui et le lui assure. Je lui dis que j'ai prévu une chambre d'exception pour nous deux et plus selon nos envies. L'amour que nous faisons après le rassure sur nos liens.
Je l'aime, il le sait, mais quand il part 15 jours, malgré les présences de Samir, Ammed et Jimmy, je me sens seul. De plus, avec les cours, les temps de trajets vont devenir vite fastidieux et puis PH ne sera qu'à quelques centaines de mètre.
Marc sent tout cela et accepte. Je lui dis qu'il sera chez lui comme je le suis actuellement à la maison. Il aura les clefs et pourra venir à toute heure du jour ou de la nuit, y rester quand il sera en France. J'ajoute que ce sera un lieu neutre où je pourrais recevoir Emma aussi.
Je signe l'achat la semaine suivante. Olivier m'a brossé vite fait une occupation des plateaux originale. Sur la terrasse il implante dans la largeur une piscine de 10m x 5 (ce qui réduit le lieu de vie, pleine hauteur, à 150 m² et me propose coté séjour de vitrer complètement la paroi de la piscine.
Il veut tester chez moi des techniques utilisée dans l'industrie. Ce type de mur de piscine est déjà utilisé dans les bassins à ours blancs des grands zoos. Pour la cuisine totalement ouverte, il m'assure que des panneaux en verres mobiles plus des flux laminaires (air pulsé verticalement à haute vitesse) sauront retenir les odeurs.
Pour ce qui est des ouvertures, le béton coulé qui compose les murs nous permettrons toutes les fantaisies possibles. Il me propose aussi la même piscine dans la salle de muscu, elle empiéterait sur le plateau bureau mais pas sur la hauteur complète. Il resterait toujours 200m² qui suffiront même avec les salles de tests !
Je n'ai plus qu'une envie c'est d'y être. Je lui confie le taf de me mettre tout cela en marche et de voir avec Maçon et Second s'ils peuvent se charger du chantier.
Même en accélérant les choses, il faut quand même un mois pour démarrer les travaux (paiement sans emprunts, plus arrangements avec les anciens proprios).
En attendant je me fais rapidement à la vie étudiante. Je passe, dans mon année, pour un gosse de riche (vu la caisse !) et j'ai un peu de mal à être intégré.
PH de son coté s'en sort mieux, une partie de ses amis de lycée sont dans sa fac. Du coup j'ai plus de facilité à m'intégrer à son groupe.
Si ma présence, au début, a choqué certains, maintenant ils ont acté le fait que PH et moi on est ensemble. Nos boucles d'oreille similaires avaient semé le doute chez certains. Ça et le reste, les petits gestes d'attention entre nous, les bisous que je ne savais retenir, même si je me limitais à ses joues et parfois son cou.
Deux de ses amis les plus proches m'ont même pris à part pour me remercier de leur avoir rendu un PH heureux de vivre. A bien les regarder ils sont mignons ces deux la !
Pour le moment je squatte chez PH. Malgré l'envie qu'on a de faire l'amour dès que nous sommes ensembles, nous arrivons à bosser nos cours... et à faire l'amour aussi !
Même si nous trainons avec les mecs les plus aisés de nos cours (ou plutôt l'inverse), nous le sommes très au dessus encore.
C'est un mec de mon cours qui vient le premier me voir pour me demander comment je fais pour avoir un tel train de vie. Lui, il rame comme un malade entre l'école et un mi-temps chez Mac Do qui lui assure juste une survie en chambre universitaire après avoir payé son année.
Je l'examine de plus près. A part des fringues bon marché il est plutôt pas mal fait. Je le questionne un peu. Sportif ? Footeux, famille ? Père OS et mère secrétaire + deux frères plus jeunes, sexe ? Hétéro, combien de partenaire jusque là ? 2, première fois où il a fait l'amour ? 18 ans.
Ok maintenant les questions plus intimes. T'es monté combien ? Il ne comprend pas et je dois lui préciser, la longueur de ta bite ? 18,5cm, largeur ? Je ne sais pas, grosse boules ? Normales, rasée ? Quoi, mes boules ? Oui ? Non.
T'es poilu ? Pas beaucoup, déjà eu une expérience homosexuelle ? Non, Même pas une branlette dans les vestiaires ? Non plus.
Pourquoi toutes ces questions ? Je lui dis qu'il n'est pas sans savoir que j'ai une boite d'Escort-boys et que s'il veut quitter son taf de cuiseur de steaks, je veux bien l'aider mais il va falloir donner de sa personne.
Là, il comprend le sens de mes questions. Il me demande alors si mes Escort finissent dans le lit des clientes. Je lui dis que c'est plutôt dans le lit des clients.
Il me dit qu'il va y réfléchir et me quitte.
Quand j'en parle le soir à PH, il me dit que certain mecs des son année sont comme lui, à tirer le diable par la queue (quelle belle expression !).
Jardinier