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soumission & Domination 198
PH, Vacances à la maison -14 décisions concernant Ernesto
En attendant il faut que je m'occupe. Le lendemain comme je n'ai toujours pas de réponse d'Espagne ni d'Emma, j'appelle chez Ed et Théo pour savoir comment s'est fini le chantier de la piscine.
Je tombe sur leur mère. Elle me dit être enchantée aussi bien du chantier qui s'est déroulé parfaitement que du service supplémentaire assuré par Second. Elle me dit de passer les voir pour l'apéritif et d'ajouter " aux conditions de la dernières fois ".
J'accepte, ça va me changer les idées.
Quand je rejoins PH et Ernesto au bord de la piscine, PH m'informe qu'il doit rentrer chez lui, des choses à voir avec ses parents. Il nous téléphonera le lendemain pour nous informer de la fin de ses vacances. Mais il doit s'organiser pour sa rentrée universitaire, chose qu'il avait négligé à être bien avec nous.
Ok, je reconduirai PH en fin d'après midi et avec Ernesto nous irons à mon rendez vous, ça remplira son porte-monnaie !
PH fais ses bagages et nous le reconduisons avec la Chrysler. Ernesto est impressionné par le château dans lequel il vit. Nous sommes obligés de descendre de voiture, Madame mère nous attendait sur le perron.
Cris d'orfraie lorsqu'elle aperçoit le pendentif qui se balance à l'oreille de son fils. A mon oreille, ce genre de cailloux n'avait pourtant pas l'air de la gêner !
J'interviens en lui disant que c'était un cadeau que j'avais fait à son fils. Elle s'arrête tout de suite et se confond en excuses me disant que c'était beaucoup trop cher pour son fils etc.
PH coupe court en nous emmenant dans son appartement. Ernesto n'en revient pas, là non plus. La surface dont ils disposent avec son frère à Barcelone ne doit faire que la moitié de la chambre dans laquelle nous entrons.
Nous avons du mal à laisser PH, comme lui a de la peine à nous laisser partir. Il nous promet de revenir dans deux jours, dès qu'il aura tout réglé.
Direction l'apéro qui nous attend. Une demi-heure de route pendant laquelle Ernesto se renseigne de là où l'on va. Je décide de ne rien lui cacher. Ni le fait qu'Ed le fils ainé fait partie de mon écurie d'Escort-boy, ni que j'ai initié son petit frère à l'amour entre homme, tout en précisant qu'il s'était émancipé dans les bras de deux amis jumeaux, pas plus que je ne me suis fait leurs parents.
Du coup il me demande si l'apéritif ne risque pas se transformer en baise.
Je lui confirme que c'est même sûrement ce qui va se passer. Il éclate de rire et me dit que je suis vraiment incroyable. Il pensait être un obsédé du sexe à sauter d'une meuf à une autre puis à apprécier se faire défoncer le cul mais il me dit que je décroche la première place. Même ses copains les plus chauds n'arrivent pas à ma cheville.
Je lui rétorque que la vie est trop courte et que, quand en plus cela rapporte, je n'allais pas me gêner.
Sur ce, nous arrivons. C'est la femme qui nous ouvre. Tenue chic mais sexy, la jupe est trop courte pour être honnête. Le chemisier largement entrebâillé laisse voir qu'elle ne porte pas de soutient gorge. Je présente Ernesto comme étant un ami espagnol qui est en vacances à la maison.
Comme elle se tourne pour nous précéder, je passe ma main sur ses fesses et dès que j'arrive à l'ourlet, je passe ma main sous sa jupe et plante directement un doigt dans sa chatte, elle ne porte pas de culotte !
Mon geste l'a stoppée. Jambes légèrement écartées, elle hâlette déjà sous le travail du deuxième doigt que j'ai glissé dans son intimité.
Je retire ma main. Elle redescend sa jupe et nous précède jusqu'à son mari.
Je demande où sont leurs fils. L'ainé est chez des amis (plutôt au taf !) tout comme Théo.
Quand nous arrivons sur la terrasse, le mari est en peignoir. Nouvelle présentation, il nous demande de l'excuser, il sort de la piscine que je leur ai fait construire. D'ici, elle à l'air réussie (ce dont je n'ai jamais douté). Il nous propose d'en faire le tour.
Comme il fait encore bon, il nous offre de nous baigner. Ernesto fait remarquer que nous n'avons pas nos maillots.
L'homme nous dit que cela n'est pas grave que nous pouvons nous baigner nus.
Je dis ok et commence à me déshabiller. Ernesto fait de même et la femme nous imite. Comme le mari ouvre son peignoir, nous voyons que l'un et l'autre sont bronzés intégralement vu qu'ils sont complètement nus !
Madame et monsieur nous félicitent pour notre plastique dès que nous sommes dans le plus simple appareil. Je vois que madame louche sur la queue d'Ernesto en train de gonfler.
Nous plongeons dans l'eau et ils nous rejoignent. Après avoir apprécié la température de l'eau, nous sortons et ils nous apportent des draps de bain avec lesquels ils nous sèchent. Je bande sous le bouchonnage du mec alors qu'Ernesto arbore fièrement ses 24cm sous les caresses de la femme.
Pas la peine de faire un dessin. Les choses se lancent d'elles même. Madame lâche la serviette sur le sol, s'agenouille dessus et embouche Ernesto. Monsieur fait de même à mes pieds. Comme nous sommes l'un à coté de l'autre, je me penche un peu et roule une pelle à Ernesto. Il me glisse à l'oreille que c'est trop fun.
J'ai soif. J'avise le plateau qui nous attendait. Je repousse mon suceur et me sert un whisky. Ernesto se lâche et me demande de lui en servir un. Je le lui apporte afin qu'il ne quitte pas la bouche de la meuf. En passant, je pousse sa tête et la plante un peu plus sur le pieu d'Ernesto. Moi je reviens devant le mec qui attendait ma bite.
Nous nous laissons sucer alors que nous sirotons notre apéritif.
Quand je m'avise que nos verres sont vides, je dis à Ernesto que nous passons aux choses sérieuses. Je prends deux kpotes dans la coupe où il aurait du y avoir des cacahuètes et en tends une à Ernesto. Le couple a compris. Ils se placent cote à cote, à 4 pattes, culs relevés. Je laisse la meuf à Ernesto et m'occupe à sodomiser le mari.
Je rente sans problème et fait la remarque qu'il ne faudrait pas qu'il devienne un garage à bite. Il me dit que le passage répété de Second et les godages que lui fait sa femme lui à bien distendu l'anneau. Je lui dis que ce n'est pas une raison. Je suis sur que nous pourrons lui faire une double sodo avant de partir !
Je mate ce que fait Ernesto.
Après avoir trempé sa bite dans la chatte, je vois qu'il encule aussi sa partenaire. Il me dit que finalement le cul c'est meilleur. Je ne peux qu'être d'accord !
Il me demande bientôt si nous n'allons pas la prendre à deux comme..., et là je n'ai que le temps de l'arrêter avant qu'il ne dise un nom !
Je lui dis que nous allions essayer un nouveau truc. Il est impatient de savoir quoi.
Je ne le fait pas lanterner et lui explique en deux mots. Entre mes mains, le mec n'est pas trop d'accord. Je lui dis qu'il n'avait qu'à pas avoir une rondelle aussi lâche. Il se tait.
Je me retire et dis à Ernesto de l'enculer à ma place. Je vois que ses 24cm semblent mieux remplir le trou. En attendant je dis à la meuf de me tenir bandé. Elle me suce et je m'enfonce à chaque fois dans sa gorge. Serré derrière son larynx, je suis bien.
Je décide qu'il est temps d'y aller. Comme Ernesto à la plus longue bite, c'est lui qui sera dessous.
Je le fait s'allonger sur un matelas de bronzage puis ordonne au mec de s'asseoir sur lui. Je dois légèrement insister, ça pas l'air de lui plaire, la double sodo. Sa femme par contre est de mon coté et c'est elle qui l'installe sur Ernesto. Elle pousse mêmes sur les épaules de son mari pour qu'il s'en prenne encore plus dans le cul. Quelle salope !
Je m'installe entre les cuisses d'Ernesto et plaque le mec sur son ventre pour dégager son anus. Puis kpoté moi aussi, je plante le mec à mon tour. Le passage brutal de mon gland lui arrache un cri.
Sa femme lui dit de ne pas faire la chochotte, il se tait. J'en profite pour m'enfoncer. J'adore ! Je suis compressé entre l'anneau pas si lâche que cela et la bite d'Ernesto. Je cesse tout mouvement sous peine de jouir trop vite.
Une fois plus calme, je relance la mécanique. Je commence par être le seul à limer son cul. puis, alors que le mec commence à apprécier la double sodo, je le fais bouger sur Ernesto aussi. Nous l'enculons ensemble. Ernesto me dit qu'il n'a jamais rien ressenti d'aussi fort, sauf peut être la fois où c'est Pablo (son frère) qui l'a enculé.
Je me recule et le mec se décolle du torse d'Ernesto. Sa femme nous fait la remarquer que son mari n'a jamais autant bandé. D'après ses cris, il apprécie nos deux queues dans son trou, quel salope lui aussi !
Ernesto et moi n'y tenons plus à frotter nos glands l'un contre l'autre. Je l'averti que je vais jouir. Il me dit qu'il est au même stade.
J'accélère un peu mes coups de rein et m'enfonce une dernière fois pour exploser dans ma kpote. Ernesto ressent ma jouissance et explose à son tour. Bien qu'il baigne dans le sperme, mon gland ressent la pression nouvelle exercée par l'arrivée du sperme espagnol dans sa kpote. Le mari se répand sur le ventre d'Ernesto dans un grand râle et sans se toucher.
Je suis le premier à me décoller. Je jette ma kpote pleine à craquer dans un vide poche puis aide le mec à se relever. Il a les jambes sciées. Je le bascule en arrière et dégage Ernesto. Il se lève et vient me rouler un patin pour me remercier de lui avoir fait connaître cela.
Le mari, beau joueur, admet qu'il à pris un pied d'enfer.
Madame est restée sur sa faim. Nous ne pouvons la laisser ainsi. Comme nous sommes tous les trois " à plat ", c'est avec nos doigts et nos bouches que nous la faisons partir. Elle pose sa chatte sur la bouche de son mari et Ernesto et moi jouons à Romulus et Remus, un sur chaque sein. Vu comme elle était déjà bien excitée, elle a son orgasme rapidement.
Enfoncés dans les fauteuils sur la terrasse, nous prenons le véritable apéritif. Ernesto et moi engloutissons littéralement tous les plats qu'elle amène. Ça creuse la baise.
Le mari s'éclipse quelques instants et revient avec une enveloppe qu'il me tend. J'ai beau faire confiance, j'ouvre quand même et compte rapidement les billets (après tout nous sommes en service non ?). Je lui dis que, au vu de l'extra qu'il a mis dedans, je comprends qu'il a apprécié sa double sodomie. Il rougit (c'est touchant sur un homme de son âge) et me dit qu'effectivement les effets étaient intéressants.
Sa femme, plus directe, lui envoie qu'il peut même dire que ça l'avait fait jouir comme jamais auparavant.
Sous la douche, Ernesto me dit qu'on tient là une véritable mine d'or. Je le calme et l'assure que ce ne sont pas les seuls dans ce cas.
Il me dit qu'il a kiffé grave d'enculer le mec devant sa femme.
Nous rejoignons nos hôtes, enfilons nos vêtements et les quittons.
Sur le chemin du retour, Ernesto compte les billets de l'enveloppe. Il est stupéfait par la somme. Je lui dis que c'est le tarif quand on est bon. Il éclate de rire, me claque un bisou au coin de la bouche et me dit qu'il m'aime bien. Le petit con !
Je suis finalement très " fleur bleue ". Je m'aperçois qu'il suffit que l'on m'aime pour que j'aime aussi !
Faut que je me secoue un peu !!
Quand nous arrivons à la maison, deux mauvaises nouvelles.
1/ Pablo a bien réfléchi mais me dit que ce n'est pas possible, en plus Ernesto est inscrit à la fac de Barcelone et lui a décroché un job de cuisinier sur place.
2/ Emma refuse de prendre Pablo (ce qui maintenant n'importe plus), sa cuisinière refusant de la laisser.
Ernesto à beau me cajoler et me faire des câlins, je déprime toute la soirée.
Marc, à qui je ne peux m'empêcher de téléphoner et à qui je raconte tout, me dit qu'on ne peut pas tout avoir dans la vie.... Je le remercie pour les lieux communs et raccroche encore plus déprimé. En plus en fin de soirée PH appelle pour nous prévenir que c'est plutôt 3 jours dont il a besoin pour s'organiser.
Du coup je vais me coucher sans manger.
Je me réveille dans les bras d'Ernesto. Je ne m'étais même pas aperçu qu'il m'avait rejoint dans la nuit.
Je me tourne, il est réveillé et me roule un patin.
Je saute du lit, le tire avec moi dans la salle de bain et lui dit qu'il va falloir mettre les bouchée double s'il veut repartir avec de quoi être semi indépendant pour l'année qui vient.
Comme je bande et que lui aussi, nous nous soulageons dans un 69 qui nous laisse les couilles vides pour au moins quelques heures (j'espère).
Après le petit déjeuner, je discute avec Ernesto pour savoir ce qu'il est prêt à faire pour de l'argent.
Comme il me dit qu'il ne sait pas, je lui fais des propositions. En premier je suis sûr qu'il kifferait Xavier et sa femme. Le bémol sera, pour lui, de se faire enculer par du XXL. Il y a Emma aussi qui je suis persuadé voudra nous revoir avant son départ. Par contre j'hésite à l'envoyer à mes autres clients. Ils sont tous montés XXL et peu sont en recherche de grosses bites pour se faire démonter le cul. Puis je pense au père de Jean. Lui serais, j'en suis sûr, partant.
On va commencer par ces trois plans.
J'appelle les uns et les autres. Xavier me dit que c'est OK, ils se demandaient, sa femme et lui, justement si nous étions rentrés de vacances. Le père de Jean est intéressé par les dimensions d'Ernesto quand à Emma, il était évident que nous repassions la voir jeudi prochain.
Avec Ernesto je fais le calcul de ce que cela va lui rapporter (comme je l'aime bien, je ne prendrais pas de commission). Il est impressionné par le montant auquel nous parvenons. C'est pas mal, mais ça ne va pas suffire. Alors que je me creuse la cervelle, je reçois un appel des parents d'Ed et Théo. Ils me demandent jusqu'à quand Ernesto est en France. Ils aimeraient si cela était possible nous revoir ou, si je suis trop occupé, le revoir seul ou en duo avec Second.
Ça va le faire finalement. Avec Ernesto devant le calendrier, nous plaçons ses prestations. Il lui reste une huitaine de jours à la maison et nous réussissons à placer 6 rendez vous. Un avec Xavier et sa femme, deux avec le père de Jean, un autre chez Emma et deux chez les parents d'Ed et Théo. Je refais les calculs, le chiffre me plait mieux. Ernesto est fou devant le montant de ce qu'il va engranger.
Je lui dis quand même, qu'à ce tarif là, il va falloir qu'il soit bon et même plus. Il me dit qu'il comprend qu'il en va de la réputation de ma société d'Escort-boy.
C'est sa dernière journée de " libre " avant celle de son départ. Je vais bien le préparer. Passage au stand poil : vérification du moindre recoin de peau, élimination de tout poil disgracieux et rafraichissement du rasage de ses couilles et tonte de son pubis. Au stand forme, poussage de fonte histoire de mettre en valeur sa musculature (même si elle n'est pas aussi proéminente que celle de son frère). Massage à l'huile, un vrai cheval de course (ok il en a déjà la bite, lol, enfin presque).
Nous finissons la journée dans l'eau à crawler quelques kilomètres à contre courant. Le soir je nous ai tellement fatigués que nous nous endormons devant la télé.
Jardinier