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Hétéro incestueux -2
Depuis la fameuse histoire du garage et de mon frère et moi-même franchement excités, je n'arrêtai pas de penser à l'énorme excitation que j'avais eu, là, logé contre le torse puissant de mon frère, sa main sur mon entre cuisse. C'était vraiment troublant, et le lendemain même, j'essayais de me rendre plus " hétéro " en couchant avec une fille rencontrée en boîte. Mais rien à faire, cette sensation, ces images, le son de la voix de mon frère et l'odeur de ce dernier restaient comme à me hanter. Comment avions-nous pu en arriver là ? Nous étions frères, nous nous étions caressés, comme deux homos attirés l'un par l'autre. C'était à la fois excitant, car dès que je repensais à cela, sans que je le veuille, j'avais l'entre cuisse bien dure. Mais aussi très troublant et même dégoutant au fond. Mais rien à faire, mon corps n'était pas moralement logique
Bref, trois mois après, je revis mon frère. Il était toujours aussi musclé, et je le trouvais même, maintenant, attirant.
C'était juste après la rentrée. Je venais d'entrer en 2ème année d'une licence de **** . Autant vous dire que j'étais légèrement débordé par le travail, mais je trouvais encore du temps pour m'entraîner, faire de la natation et surtout du foot. Tous les dimanches, je rejoignais mes potes dans un club, et on faisait des matchs ou on s'entraînait. Ca me détendait, et ça sculptait un peu mon corps surtout. Les filles en raffolaient, et visiblement, les mecs aussi.
Nous étions dimanche donc, je revenais de l'entraînement. Il pleuvait, un vrai temps de rentrée en somme. Evidemment, je n'avais pas de parapluie, et je couru donc les 700 mètres qui me séparaient de chez mes parents. Tous les week end, je rentrais chez eux, pour le foot et la piscine que je pratiquais le samedi quand j'en avais le temps, cette année tout du moins. J'arrivais trempé, avec pas mal de boue sur mon short, mes chaussures et mes jambes. Vu le temps, l'herbe était légèrement glissante et la terre un peu humide, normal donc qu'à chaque fois que je sois tombé, je me sois pris une bonne flaque de boue
Arrivé chez moi, je passais par le garage. Ce fameux garage où j'avais vu pour la première fois le bout de la queue de mon frère. Et devinez quoi, en arrivant, je retrouvais mon frère. Il n'avait pas prévu de son arrivée. Il devait aller voir des amis vers chez nous, et en passant donc, il s'était arrêté chez mes parents. Je n'étais pas au courant, ce fut donc une vraie surprise que de le trouver dans le garage.
Je bloquais sur le moment, et immédiatement, les images à côté du congélateur me revenaient. Mais je me rendis vite compte que j'avais l'air idiot, et je recommençais à avancer, totalement trempé
" Qu'est ce que tu fais là ?? Tu devais venir ? Maman m'a rien dit !
- Non, c'était pas prévu. Mais j'me suis dis que j'allais passer. Mon petit frère me manque.
Ouai ... bon, je vais aller me changer. Tu fais quoi dans le garage ?
- Je viens chercher des glaces ... non je déconne. Enfaite j'voulais réparer un truc dans ma caisse. Mais j'trouve pas les outils de papa, enfin, ses clefs à laine surtout.
T'es pas doué, elles sont dans sa caisse, attend ... "
Avançant, je me rendis compte que lorsque je fus à côté de mon frère que mon coeur s'était accéléré d'un coup. Vu ses sous entendus, je me rendais bien compte que je prenais un " risque " en venant vers lui, mais mon corps ne réagissait plus à ma raison, encore une fois. Je continuais donc de m'avancer, tout en passant une main sur mon visage trempé.
Une fois arrivé vers l'établi de mon père, je me penchais pour saisir sa caisse à outil en dessous, et sentit tout à coup une main sur mon postérieur. Mon coeur faillit lâcher sur le coup. Mon sexe se mit à réagir aussitôt, et totalement décontenancé, je me releva d'un geste et fit un pas en avant.
Je me retournais, en tremblant légèrement tant mon coeur s'était emballé, et je tendis la caisse à mon frère, qui, avec un sourire malicieux, la saisit et la posa à côté
" Les parents sont pas là aufaite, ils sont partis vite fait acheter un truc pour la maison, je sais pas quoi, ils m'en ont parlé vite fait. Tu sais que tu as de la boue sur ton short ? J'voulais te l'enlever.
- Ouai ouai je sais ... c'était boueux le stade. J'voulais prendre une douche en arrivant.
Tu m'étonnes ... quoi que je suis sûr que ça peut exciter pas mal de monde, un mec avec un uniforme de foot, sale ... .
- Si tu le dis. Bon, j'vais aller me doucher quand même ... . "
Je passais alors à côté de mon frère, qui se colla alors d'un coup à moi. Son entre cuisse contre mon fessier galbé par le foot, et surtout, ses mains qui vinrent se poser, comme trois mois avant, sur mes pectoraux. Il pensa doucement mes tétons, et tout à coup, tout ce que je ressentais dans mon imagination depuis la dernière fois me revint. Son odeur, les pulsions de mon coeur, l'excitation. Je me mis même à sourire, comme ravi que ça recommence.
Mais au lieu d'aller caresser son entre cuisse, je me retournais, et vint pincer son téton droit
" Faut vraiment que j'aille prendre ma douche p'tit con. "
Je reculais, me retournait, puis pris les escaliers pour monter jusqu'à chez mes parents. Ils n'étaient pas là, en effet. En arrivant en courant, je n'avais même pas remarqué l'absence de leur voiture, ni la présence de celle de mon frère d'ailleurs.
Heureux d'être au chaud, je me dirigeais vers la douche. Je me déshabillais, retirait mon haut et mon short, quand j'entendis la porte qui menait au garage se refermer. Le coeur battant la chamade, je me penchais pour retirer mes chaussures de foot quand j'entendis quelqu'un ouvrir la porte de la douche.
Je relevais les yeux, et vit mon frère, debout devant moi, si fort, musclé et puissant. Il était tout ce qu'un homme alpha pouvait avoir. Une belle gueule, un regard de dominant, un corps fort, puissant, une aura incroyable et cette putain de bosse qui se voyait sous son jean. Déglutissant légèrement, je me relevais, sans même avoir retiré mes chaussures. J'étais là, sale, en boxeur devant lui
" Faut que je prenne une douche aussi. "
Sur ces mots, il referma la porte de la douche à clef, comme pour me prévenir que désormais, il menait la danse. Et je ne fis rien, absolument rien. Comme tétanisé, je le regardais oté son tee-shirt. Et mon excitation grimpa en flèche. Un torse puissant, des pectoraux carrés, avec de beaux tétons légèrement poilus et noirs tant il était bronzé. Des abdominaux saillants, des obliques dessinés et des biceps franchement gonflés. Comment pouvait-on être si sexy ?
Mon sexe me trahit alors. Mon boxer commença à se tendre sans que je ne contrôle rien. Mon frère le remarqua, évidemment, et baissa lentement son pantalon, pour dévoiler un boxer dont la bosse avait bien augmenté aussi. Et d'ailleurs, bien vite, cet énorme gland qui ressortit au-delà de son élastique
" Tu t'en souviens Yo' ?
- Oui ... . "
Que dire d'autre ? A part qu'il m'excitait et que je ne comprenais rien, sauf que là, je n'y réfléchissais même pas.
Il s'approcha, passa ses mains sur mon corps, ce qui me fit frissonner, puis lentement, descendit mon boxer. Ma queue épaisse frola son boxer quand elle fut libérée. Il se mit à sourire, et la saisit vigoureusement
" T'es bien membré frérot. Mais moi, je le suis plus. Regardes ça ... . "
Il prit alors ma main, et la posa sur l'élastique de son boxer. Et sans qu'il me guide, je le descendis, et libéra une queue énorme, vraiment, qui vint frapper ma propre bite. Déjà supérieure à la moyenne, elle fut pourtant comme assommée par ce mastodonte qui la claqua.
Soupirant de plaisir sans même le vouloir, sur le coup, je sentis alors les mains de mon frère aîné se poser sur mes pectoraux, puis sur mes épaules, et d'un coup, il me poussa vers le bas.
Je ne compris pas immédiatement ce qu'il m'arrivait, jusqu'à ce que je me retrouve avec son sexe contre mon visage. Une putain d'étrange sensation, qui envahit tout mon corps, jusqu'au bout de ma bite, où perla une goute de pré sperme, qui vint se coller au mollet de mon aîné.
Je leva les yeux vers lui, et je sentis sa main puissante se poser dans mes cheveux
" Suces moi Yo'. Comme toutes ces pucelles qui te sucent, fais de même, pour ton frère. "
Et sans qu'il n'ait dit quoi que ce soit de plus, j'ouvris la bouche. J'étais hypnotisé par lui, sa puissance, sa force, sa bite, son aura, son regard, son odeur et l'envie. Et quelle envie ! Je désirais mon frère, totalement. Un homme, moi qui n'avait jamais été attiré par les mecs, me voila avec un gland énorme prêt à me défoncer la gorge.
Et c'est ce qui arriva. Mon frère avança, et lentement, glissa son gland sur mes lèvres. Quel putain de morceau ! Jamais ça n'allait passer. Pourtant, lorsqu'il appuya brutalement sur ma tête, je sentis que tout s'emboitait. Son gland puissant s'enfonça dans ma bouche. Je cru m'étouffer sur le coup. Je saisis d'un geste ses cuisses musclées et légèrement poilues et tenta de le repousser. En vain, il ne fit qu'accentuer sa pression sur mon crâne. J'eus envie de vomir, mais au lieu de ça, je m'imagina simplement à faire de l'apnée, et je me mis à respirer lentement par le nez.
Et doucement, ce gland énorme se mit à coulisser jusque dans ma gorge. Il bloqua un instant, mais sous un coup un peu brutal, trop brutal même car mon frère fut à deux doigts de me déchirer le bord des lèvres, il s'enfonça encore. J'eus une nouvelle fois envie de vomir, je faillis mordre sa queue, mais je ne fis rien, et je sentis juste mon gros gland éjecter un peu plus de pré sperme.
Puis lentement, il se mit à ressortit sa bite épaisse, et commença à aller et venir. Au faite, je ne vous ai pas parlé des dimensions de cette pièce de chair. Je suis monté 20 * 6cm, autant dire que ça sent. Et bien, mon frère avait environ 3 ou 4 centimètres de plus en longueur, et 2 bons centimètres de plus en largeur. Prenez votre règle, votre mètre, et imaginez vous ce que j'avais entre les lèvres maintenant ... .
J'étais impuissant sur le coup. Ma queue bandait très dur, mais j'étais impuissants dans le sens où mon frère m'enlevait toute mon aura de mâle. Je n'étais plus qu'à lui, et je compris ce qu'était être " soumis ".
Je levais les yeux, me délectait de la vision de son torse incroyable, croisa son regard dominateur, et sentit sa bite coulisser entre mes lèvres. Et lentement, il se mit à faire des va et vient. Puis il accentua ses coups de bassin. Ma bite frotta brutalement à ses mollets. Je mouillais tant du gland, et lui aussi d'ailleurs, car le goût de son pré sperme se mit à envahir ma bouche. Surpris sur le coup, j'avala sans même me poser de question.
Puis d'un coup, il sortit sa queue épaisse de ma gorge et la claqua violemment sur mon visage. Je me reçu de la bave, de ma bave, sur les joues. Je fermais les yeux
" Ouvres les yeux ! "
Je les rouvris, aussitôt. Puis il s'enfonça encore en moins et se mit à aller et venir comme si il était dans une chatte, ou plutôt dans un cul vu son orientation sexuelle, dans ma bouche.
Je me prenais cette pièce énorme de chair difficilement, très difficilement. Je respirais par le nez, mais c'était dur. En tout cas, je ne donnais pas mon reste pour donner des coups de langue sur cette pine énorme. Et ma main vint se glisser jusqu'à ses couilles.
Tout à coup, nous entendîmes un bruit de porte de voiture. Surpris, je compris aussitôt que c'était nos parents qui rentraient. Il faut dire que Mat' (Mathéo, mon frère) me baisait la bouche depuis près de vingt minutes. Et je lui caressais toujours les burnes, je mouillais contre son mollet, encore et encore, et surtout, je ne cessais de lui lancer un regard soumis que je contrôlais pas
" Merde, ils sont là ... bon tant pis. Profites frérot ! Profites de ma queue. "
Il me dit cela d'un ton ferme, cru, comme si j'étais sa soumise et que c'était normal. Et puis d'un coup, il se planta violemment en moi. Il râla de plaisir. Il gémissait pour la première fois depuis que sa queue avait passé mes lèvres. Et c'était bestial, viril, sauvage. Je fus impressionné. Un frisson me parcouru, et d'un coup, j'éjacula sur son mollet, alors que son énorme queue me remplissait la gorge, et que je me retrouvais le nez dans ses poils pubiens bruns et qui sentait le mâle dominant.
Je me surpris à jouir, je voulu gémir, mais en vain, et ne fit que me vider sur son pied et son mollet.
Et aussitôt, il se retira, donna deux coups de poignets sur sa queue, et je sentis aussitôt ce que la fille avec qui j'avais baisé trois jours avant avait ressenti. Je lui avais donné une éjaculation faciale, et maintenant, je m'en recevais une.
Un jet de foutre vint me couvrir les cheveux. Puis un autre le visage. Surpris, je fermais les yeux, et je me retrouvais à avoir les lèvres et les joues pleines de sperme. Du foutre très chaud, brulant, et épais, qui glissa lentement sur ma peau.
Je rouvris lentement les yeux, et vit mon frère en train de se rhabiller en vitesse. Il ouvrit la porte de la salle de bain, en même temps que j'entendis la porte d'entrée de la maison s'ouvrir, et se retourna pour me lancer, en remettant son tee-shirt
" Bonne suceuse ! "
Il sourit malicieusement, referma la porte, et me laissa le visage couvert de sperme. Il y'en avait aussi sur le sol, vu que j'avais jouis, et surtout, je bandais toujours. Et je me sentais bien. Ni sale, ni soumis, ni moins viril. Non, je me sentais bien. Car ce n'était pas n'importe quel homme qui avait jouit sur moi, qui m'avait dépucelé la bouche. Non, c'était mon grand frère, et à partir de ce moment, je su que pour moi, ce mec était comme un Dieu, et qu'il pouvait me demander ce qu'il voulait
Est-ce que ça allait se finir là ? Et bien oui.
Pour quelques mois en tout cas. La suite est arrivée il y'a à peine un mois. Je vous raconterai tout ça bientôt. En espérant que ça vous excite autant que moi lorsque ça m'est arrivé
N'hésitez pas à m'envoyer vos impressions à : optit-nb@hotmail.fr
Yohan