Épisode précédent
HARD 5
Dédicace perso Jérome^^.
Midi quinze...Jérome est dans le local d'entretien, au milieu de son foutoir, avachi dans un fauteuil de récup tout défoncé dos à la porte, et je vois que l'arrière de sa tête, coiffée d'écouteurs. Il a étendu ses jambes sur l'établi encombré de saloperies et s'amuse à envoyer vers le plafond, des anneaux de fumée, qui chargent déjà la pièce d'une odeur acre de dope. J'entends depuis la porte le martèlement de sa zique, putain ! il va devenir sourdingue le gus !
............On s'est rencontré ce matin aux chiottes, lui accroupi sous une vasque une clé à la main en train de déboucher le conduit, moi debout devant un pissoir la queue à la main en train de me l'égoutter. C'est le silence soudain qui m'a mis en alarme radar, ya plus aucun bruit d'outil ! Le mec s'était redressé et a genoux, me mate dans la glace, pas plus gêné que ça !un sourire salace collé à la gueule, et une main trainant vers son entrejambe ; gonflé quand même ! Il est pourtant connu dans la boite comme queutard de meufs, on le surnomme aussi le démonte-pneu, tout un programme. Ma teub a pris instantanément de l'ampleur et je me suis senti tout à coup à l'étroit dans mon costard de merde. J'ai continué à me la secouer en attendant la suite. Le larron matait toujours, ça commençait à devenir sacrément chaud. Je ne pouvais quand même pas rester là toute la matinée collé à la porcelaine, fallait que je trouve le truc pour ferrer le mécano. Je me suis reculé d'un pas en exhibant mon manche complètement bandé et, tourné vers lui je l'ai remis dans mon boxer non sans difficultés. J'ai refermé ma braguette, direction les lavabos, les yeux plantés dans ceux du mec, duel rétinien de reptiles. Je me suis lavé les pognes, l'autre toujours agenouillé à côté dans sa salopette bleue crade ; on aurait presque dit une icône biblique ! Quand j'ai mis en marche le séchoir, j'ai entendu à travers son vrombissement sa putain de voix de mâle lâcher " A la pause de midi, dans mon local ! " et c'était plutôt un ordre. Je suis sorti des chiottes des scénars plein la tronche, le bruit d'outil avait repris.......
..........Midi quinze, m'y voilà, j'ose pas avancer, je referme doucement la porte dans mon dos, et j'attends...." Viens ici salope " ça claque, dur comme un coup de fouet. Je m'approche, hypnotisé par cette voix rauque hyper virile. Il fait chaud tout d'un coup, j'aurais dû laisser ma veste à l'étage. Je suis à 1 mètre quand il balance brusquement ses jambes sur le lino fatigué, jette ses écouteurs sur l'établi et fait pivoter son fauteuil pour me faire face. J'avais jamais eu trop le temps de le reluquer, un vrai mâle !Le cheveux court et noir en pétard, l'oeil sombre, la bouche gourmande entrouverte sur des ratiches bien alignées, un menton bleui par trois jours sans rasoir. " Approche " Il me choppe par la cravate et m'attire à lui. Je plie et me penche vers sa gueule, nos têtes se mettent en orbite, et nos bouches se télescopent. Nos langues se trouvent et s'enroulent illico. On goût âcre de Nicot me fouette les papilles. Il tire vers le bas et m'oblige à me mettre à genoux entre ses énormes cuisses. Son regard est aussi chaud qu'un bac à glaçons, je flippe un peu...Tout en me nettoyant la cavité buccale, le mec descend lentement a fermeture éclair de son bleu jusqu'à l'élastique de son slibard au risque de se coincer les poils dans le mécanisme. Il écarte les deux pants de sa salopette en exhibant une moquette sombre frisée, percée de deux tétons aux larges aréoles foncées. Notre bave commence à humecter sérieusement ses pecs . Il rejette la gueule en arrière pour aboyer. " bouffe moi les tétines mec, et mollo.... compris ? " Trop content de me faire diriger je descends vers ses pointes bien travaillées, et commence à mâchouiller la marchandise. Le mec kiffe, il feule. Il apprécie le service d'étage. Je commence à avoir la tige qui se sent à l'étroit dans mon alpaga. Putain que c'est bon de téter comme un lardon au milieu de tout ce crin odorant. Je me laisse un peu trop aller quand le mec me fait redescendre brutalement sur terre en m'envoyant deux baffes aller-retour " doucement j'ai dit, t'as pigé ? " Curieusement, les tournioles me galvanisent et ma bite se durcit d'un coup. Je continue de téter un téton en triturant l'autre entre le pouce et l'index. J'ai bien envie de serrer à nouveau pour me chopper une nouvelle valse, mais une petite voix m'en dissuade, faut pas décourager le client. Je me suis attrapé la teub à travers le false et la caresse lentement en m'attardant sur les burnes alourdies de foutre.
Il me prend la tronche par les oreilles, et se lève de son fauteuil en se rebranchant à ma gueule. Il fait bien une tête de plus que moi. " attends, on va s "éclater " qu'il me susurre en me repoussant durement. Je me recule. Il se retourne vers l'établi, y pose un pied, délace sa godasse de sécu en faisant saillir un cul d'enfer, répète l'opération avec l'autre pied.
" ferme à clé qu'on soit tranquille ma poule " qu'il m'ordonne en se retournant et en balançant ses godillots sur le sol, le regard toujours aussi noir vrillé au mien. J'ose à peine bouger tellement ce mec dégage une force brute, animale... impressionnant ! Je me retourne vers la lourde, tourne la clé d'une main et en profite pour remettre de l'ordre dans mon service trois pièces. Je jette au passage un oeil sur ma braguette surdimensionnée et décorée d'une belle tache de mouille; j'ai l'air con là ! Je me retourne juste pour voir ce salaud se dépouiller de son bleu, l'enjamber et se laisser tomber dans le fauteuil, le paquet en avant bien gainé par le tissus de son slibard noir, jambes en équerre. Une barre énorme déforme le devant du sous-vêt . Il me foudroie de la rétine en pointant l'index sur son bas-ventre. " viens me bouffer le hot dog poufiasse ". Il devient hargneux et lyrique avec çà ! Je m'effeuille de ma veste et reprend derechef ma position d'apôtre entre ses guibolles poilues. Je sais pas par où commencer le pique-nique. Je lèche la torpille sur toute sa longueur en mordillant le gland au passage. Le tissu chargé de bave dessine bien les contours de l'engin. J'ai replongé vers ma braguette et sors mon zob tendu comme une bretelle d'obèse. Je modifie mon circuit de suce et descends vers les boules qui me semblent bien lourdes. Des poils dépassent des entrejambes du slip, fleurissent le nombril et remontent vers le poitrail à l'assaut des tétons, pour finir sous le menton en forêt bien taillée . On sent curieusement le mec soigneux de sa personne. J'ouvre ma ceinture, dégrafe mon futal , passe une main impatiente dans l'ouverture du calbut et reprends ma branlette.perso, en caressant du bout de l'ongle mon oeillet qui pulse derrière les balloches. Je lisse en même temps le tissu de son moule boulles de bas en haut avec ma langue de bovin. J'en peux plus, il me faut ma récompense, maintenant ! Je tire sur l'élastoche du Diesel et met à jour " the monster " une putain de tige bandée à fond aux veines apparentes. Un gland hyper développé coiffe l'engin de son champignon violacé. Tout ça émerge d'une broussaille de poils. En dessous reposent deux balloches énormes, ovales, à la peau granuleuse, bien pendantes. Je vais me goinfrer ! Je commence par téter le champignon en mouillant bien le chapeau ; j'insiste sur le " col roulé " et titille le méat du bout de la langue. Jérome hennit sous l'assaut et décolle son cul du fauteuil en se cabrant. Ma main caresse mon braquemard , bien enfoncée dans ma braguette.. De l'autre je lui étire les valseuses et m'enfourne son zob en entier dans la gueule, en le lustrant de ma salive d'alliéné.
Je le pompe tellement profond que des larmes ruissellent sur mes joues. Il me remonte avec la cravate et tout en me forçant les lèvres, saisit les deux pans de ma chemise et les déchire sans ménagement en envoyant valser les boutons. Je me retrouve dépoitraillé la queue bandée un max sortie de mon pantalon, le gland ourlé d'un filet de mouille. Jérome a posé ses deux pieds sur les accoudoirs et les jambes écartées, a dégagé sa rosette. Je lui soulève les joyeuses, étire ma pelle à tarte un max et lui fouraille dans les poils du cul à la recherche de son anneau. Bordel, il est bien ouvert et ma langue force son muscle à merde et lui investit les boyaux. Faut qu'on se calme, sinon il va se casser la tronche à jouer l'équilibriste. Il me repousse en descendant de son perchoir, m'attrape à bras le corps, et me dépose à genoux sur son établi dont il a déblayé la surface d'un revers de bras. Je lui tourne maintenant le dos, cul cambré et queue plaquée au nombril, hors de la braguette. Il dit rien, je l'entends souffler fort. Il me malaxe le fessier. J'entends un craquement sec quand il fait péter les coutures de mon futal. Il en écarte les deux parties et me détruit idem le calbut sans difficultés. Je me retrouve en haillons, le trou de balle offert a ce taureau en rut. " allé, on va pas perdre de temps, ma poule, écarte bien les miches " Je me retrouve le trou investi par sa langue qui me fouille patiemment le fondement. J'y tourne le dos mais du coin de l'oeil je le vois attraper une burette d'huile et je sens simultanément un liquide qui me .coule sur le fion. Ce sale con est en train de me graisser le conduit. J'ai pas trop le temps de penser à mon avenir que déjà sa bite pousse son museau dans mes intestins. Il m'attrape par les hanches et m'empale d'une seule poussée sur son ogive nucléaire en grognant. J'ai l'impression de me faire travailler le cul par un tisonnier chauffé à blanc. Je hurle de douleur, puis rapidement j'apprécie la saillie. Il pistonne mon arrière-train avec application en tirant sur ma cravate comme sur des rênes. Je me suis saisi la tige et me branle frénétiquement en me reculant le plus possible pour bien le sentir en moi. Il tire comme un malade sur cette laisse improvisée en me mordant le nuque. A chaque poussée, mes genoux décollent de l'établi. Il lâche a cravate m'attrape la tête et la tord méchamment en me crachant à la face. Je lèche ses coulures de bave et lui restitue ses glaviots. Il décule, me retourne et me couche sur sa table de travail, cuisses grandes ouvertes. Je lui fais maintenant face. Il me domine de toute sa masse. Son regard cherche le mien et s'y plante sans concession. Il vise mon oeillet et replonge illico. Il récupère sur ma joue une trainée de salive. Il se lèche les doigts et me les fourrent direct dans la bouche en me branlant les ratiches. Il turbine de plus en plus fort en m'insultant grave. Son poitrail est complètement détrempé et des rigoles de sueur sillonnent ses flans. Il dégage un vrai fumet de mâle et j'ai envie de me perdre dans ses odeurs. Il retire sa main de ma gueule, reprends la cravate et me plie vers lui en continuant à me mitrailler la prostate. Je plonge mes lèvres dans sa fourrure. Il saisit mon zob et l'astique au même rythme que ses coups de boutoir. Ses insultes deviennent de moins en moins cohérentes. Je sais qu'on va venir en même temps et j'ai le foutre qui rapplique de mes valseuses. Il émet une litanie qui monte en puissance, il ulule littéralement en me repoussant sur l'établi pour bien me dominer du regard, et il nous libère enfin en sortant de mon cul avec un bruit mouillé et en envoyant des trainées de foutre jusqu'à ma tronche. Je jute en même temps et nos semences se éclaboussent mon ventre...............
................Midi vingt ! Fin du film........Il est toujours de dos, les décibels à fond, et ne m'a pas entendu. Il n'a pas bougé. Je recule d'un pas, trouve à tâtons la poignée de la lourde et ressort lentement dans le couloir en refermant sans bruit. J'ai une putain d'érection de malade !.................
Venin69
crotale52@gmail.com
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