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HARD -3
Je suis plus entamé que la soirée. J'ai la tête aussi vidée que mes burnes et je me sens con, affalé à genoux dans ces chiottes déguelasses. J'ai le mal au crane qui remonte en volume. Je me remets debout avec peine et me dirige vers les lavabos pour me décrasser la devanture. J'ai super soif, ma gorge est ensablée! L'image que me renvoie le miroir piqué de rouille ferait reculer une charge de hussards. Mes yeux sont enfoncés dans leurs orbites et les cernes qui les soulignent me transforment en wanted..... le reste de mon marcel est un vrai torchon mon futal est nase et mon blouson plein de trainées de foutre. Je passe mes pognes sous un filet d'eau glacée et m'asperge la tronche. Je me masse la nuque au passage, histoire de me réveiller les neurones et me penche pour téter le robinet.
L'eau a un goût de rouille, mais c'est assez pour ma pépie galopante. La porte s'ouvre et quand je relève la tête de l'abreuvoir, deux mecs passent derrière moi un sourire tordu aux lèvres et le regard enfiévré de visions d'apocalypse. Ils me matent dans la glace et stoppent devant la porte d'un chiotte en se roulant une pelle profonde. Tous les deux s'agrippent en se ventousant et en continuant à loucher de mon côté. Le plus Jules des deux a une salopette noire à moitié ouverte sur un large poitrail tatoué et un anneau transperce son téton gauche. L'autre à l'allure plus fiotte est en ensemble jeans dont il a dû enfiler le bénard au chausse-pieds, le haut ouvert sur une poitrine étroite de gamin impubère. En se refilant leur salive ils oscillent sur leur base, et c'est dans l'angle du mur d'une cabine qu'ils se calent en laissant la porte ouverte. Mon angle de vision me permet de reluquer leur lutte lubrique.
La fiotte coincée dans l'angle du chiotte remonte ses jambes autour de la taille de l'autre sans décoller sa gueule de celle de son jules. Ils grognent comme des porcs à qui on essayerai de piquer la pâtée. J'ai la rétine hypnotisée par leur danse nuptiale et ma queue que je croyais définitivement out se réveille insidieusement. Les deux salopes ont remarqué mon intérêt pour leur prestation, et salopette tourne la tête vers moi par miroir interposé en me renvoyant sa tronche luisante de salive. Je me retourne doucement vers eux en me triturant le paquet. Je m'adosse au lavabo et sort mon paquet de tiges. J'en allume une et continue à mater les acrobates. La fiotte a décroisé ses guibolles et s'est hissée sur le rabat de la cuvette, la braguette déformée à hauteur de la gueule de son compère.
Ce dernier descend rapidement le zip de la bragouse, trifouille dans le calcif et en extirpe une bite encore flasque d'une longueur hallucinante, au prépuce développé. L'acrobate pousse son partenaire sur le côté afin que je puisse mater la bête. Putain c'est du beau, j'en salive. Je louche sur le morceau de choix que commence à emboucher " salopette ". Ma main repart vers mon vestige de braguette et plonge dans les poils engluées de ma teub afin de l'extirper du futal. Elle commence à reprendre vie et mon gland congestionné réagit.
C'est pas croyable, j'ai une bite à tête chercheuse ! Et merde ! j'ai fini ma Marlboro et je suis en train de téter le filtre allumé, ça pue ; ces deux salauds me piratent le disque dur. Ils se décalent de biais pour que j'en perde pas une goutte. Salopette à fait glisser le bénard de l'acrobate et le caleçon sur ses cuisses et s'empiffre de sa gaulle comme un affamé en massant ses couilles entièrement rasées. Il descend en même temps la fermeture éclair de son protège cambouis et sort une bite bandée très large au gland hyper gonflé qu'il commence à branler lentement. Toujours adossé au lavabos je crache dans ma main, m'empoigne le manche et commence une stube rythmée sur le tempo de " salopette " La fiotte s'est appuyée à la cloison et avance son bassin vers la gueule de l'autre qu'il baise littéralement. Sa bite entièrement bandée entre et sort du gosier du suceur gainée de trainées de bave. C'est du travail d'artiste ; le suceur réussit à engloutir cette bite à rallonge jusqu'aux burnes. Quant il recrache le morceau dans un gargouillis de salive, on se croirait dans un numéro de Majax, c'est proprement incroyable.
Ma teub est maintenant déployée et l'envie de m'inviter dans leurs ébats me décolle de la faïence. Je m'avance mollo vers la piste de danse, la bite en étendard, j'aime pas me prendre des râteaux. Les deux salopes continuent leur numéro de oufs en gardant un oeil faussement détaché sur mon avance millimétrée. La fiotte poignarde les lèvres de l'autre sans ménagement, un sourire mauvais accroché à sa face d'ange. Salopette se débranche du mandrin en toussant, le temps de dégager ses épaules du vêtement en le laissant glisser à terre.
La bite délaissée claque contre le ventre du donneur toute luisante de salive le gland encore recouvert de sa couronne de peau. Salopette replonge vers son jouet en écartant les parois du prépuce avec ses doigts, pour titiller du bout de la langue l'oeil du gland qui commence à délivrer des coulées de mouille. L'oeil de la fiotte, lui, surveille ma reptation prudente un sourire tordu toujours accroché à sa tronche. Je sais qu'ils n'attendent que ça et cette acceptation muette m'excite drôlement. Ma céphalée rempile et le dernier mouvement du boléro de Ravel se déclenche dans les méandres de mon cerveau en poussant vers mes lèvres une hoquet de gerbe. Ma main coulisse bien sur mon chibre, et je me retrouve contre le dos nu de salopette qui a repris son polissage. Je pose gentiment ma main gauche sur son épaule pour qu'il sache que je suis là, juste à côté d'un tatouage s'exhibant d'une clavicule à l'autre et représentant une esquisse de voilier soulignée par cette inscription ...ET A VAPEUR.
Marrant le mec il est reverse ? . Il reçoit mon effleurement avec un tressaillement imperceptible de l'épaule et continue à pomper. La fiotte me fait un clin d'oeil en se baladant le bout de la langue sur la commissure des lèvres, une vraie salope celui-là. Je suis accepté dans le clan, je peux me lâcher ! ma main droite continue sa branle, la gauche descend doucement dans le dos de salopette en effleurant sa colonne vertébrale, pour atteindre le fente de son cul salement poilu. Je descends entre les fesses que la sueur a détrempées et tâtonne vers l'oeillet. Il grogne en écartant imperceptiblement les cuisses. Putain, je vais pouvoir le doigter. Je me mouille bien le majeur et repars en exploration. La fiotte qui a suivi le mouvement pilonne le gosier de salopette en accéléré en lui agrippant les tifs. J'ai réussi à trouver son trou de balle que j'investis brutalement. Le téteur s'acharne sur le morcif de barbaque qu'il décape rageusement en se reculant pour que je puisse le pointer plus profond.
Mon doigt est entré complètement dans sa gaine et suis le rythme de ses aspirations baveuses. Je me branle en mesure, pendant que le Boléro se déchaine et désintègre mon cerveau. La fiotte accélère encore, la main agrippée à la tignasse du suceur qui accompagne mon intrusion d'un mouvement saccadé du bassin. La tension monte, l'image se fige un millième de seconde quand la fiotte atteint son point de non retour et explose dans la gueule de salopette en lui coinçant la tronche contre son bas ventre, et en couinant des blasphèmes de postes de garde . Ma main lâche ma teub qui n'est pas prête à la décharge et s'empare de celle de salopette qui essaie d'avaler les flots de purée qui giclent dans son gosier.
Je m'accroupis rapidos le fait pivoter vers moi et enfourne son bazooka : à croire qu'il n'attendait que ça pour cracher lui aussi. Je reçois sur les amygdales une décharge de foutre à faire travailler la banque du sperme pendant des mois ; mon doigt lui sonde la prostate. Il ne peut pas gueuler, la bouche envahie par ce déluge de sperme, mais on sent qu'il s'éclate. Il me redresse en m'empoignant par le colbac, et me roule une pelle vitaminée où nous mêlons nos semences. La fiotte se courbe de son perchoir et vient lécher les coulures qui maculent nos mentons. Nos trois langues s'emmêlent bientôt dans une partouze de foutre.
La fiotte descend enfin de son piédestal en manquant de de s'éclater la tête avec son falzar descendu aux chevilles, et en me regardant droit dans les yeux avec son sourire de pute, descend au niveau de mon zob. Sans quitter mon regard, il enfourne ma bite qui s'est dégonflée de fatigue et commence une fellation quatre étoiles. Mon mal de bugne m'envoie des éclairs fulgurants derrière les yeux t. La fiotte s'applique de sa langue de velours sur mon manche malmené. Salopette qui a noué les manches de sa tenue autour de la taille, me fait rouler les boulles dans une de ses pognes, pendant que de l'autre il me malmène les tétons. Je sens que ma matraque se remet à la fête et que ma bite retrouve un ultime sursaut. La fiotte me fixe tout en s'acharnant sur mon zob qui se gorge de sang .
Ce petit salaud connaît la musique et déglutit bruyamment tout en cherchant ma pastille à travers les poils de mon cul, qu'il visite d'une main fureteuse. Je m'ouvre comme une moule et accueille son doigt avec reconnaissance. Il me traie avec ardeur et me défonce le trou de balle pendant que l'autre salope me détruit les nichons. Je sens que je vais lui remplir la gorge de mon lait et je lui maintiens le nez dans ma toison, le temps de décharger mon purin. L'envol est soudain et pendant un instant, je ne sens plus mon corps qui s'élance vers l'enfer. Dans un cri ininterrompu j'ouvre mon conduit à foutre.....
La fiotte attend les yeux crochetés aux miens et la langue tirée que je lui balance la sauce....... Rien ne sort de la tubulure, j'ai trop donné dans la soirée. Il retire son doigt de mon cul , remonte son jeans rapidement en se redressant et en me bousculant, sort de l'ère de jeu suivi de salopette qui n'a rien compris, en me traitant au passage de " putain de fiotte, impuissant "....c'est un comble.... (A SUIVRE)
Venin69
crotale52@gmail.com
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