Guide au château
Il est 18h00 les derniers visiteurs franchissent la grille du parc du château de Montmirail. Je ferme à clef derrière eu suivant ainsi les consignes de la châtelaine pour qui je travail cet été. Je vais faire les comptes de la journée dans la petite salle qui sert d'accueil. 20 visiteurs aujourd'hui une petite journée même pour ce petit château de Sarthe... Les compte fini j'entame le tour traditionnel pour fermer le château, le grand salon, le petit salon, la salle à mangé, je décent au sous sol, la salle des gardes... j'emprunte le petit escalier à vis pour vérifier qu'il ne reste personne au cachot. 1er cachot personne, 2 ème cachot personne 3e cachot personne, ayant la flemme de descendre les escaliers amenant au 4ème cachot (le plus profond je lance simplement un y a quelqu'un ? pas de réponse. J'éteins donc la lumière et commence à remonter. Un dernier regard en arrière et là ... une sorte de lumière bleue verte dans le 4ème cachot. Un enfant y aurait-il oublié quelque chose ? Je rallume la lumière me dirige vers le cachot, au milieu de l'escalier la lumière s'éteint.
- Et merde !
Panne de courant. Je fais demi tour et cherche à tâtons l'interrupteur quand soudain quelqu'un me saisi les mains me tord les bras violemment dans le dos. Il me maintien les 2 poignets d'une seule main puissante de l'autre il plaque un mouchoir sur mon nez. Une odeur m'agresse les narines, un mal de tête fulgurant me prend dans les tempes. Et c'est le trou noir...
- Et bien on se réveille enfin petit ? dit une voix d'homme.
Je commence toujours à me réveiller, je n'arrive pas à ouvrir mes yeux, ou alors il fait noir ? Non ca y 'est je comprends, j'ai quelque chose sur les yeux qui m'empêche de voir. D'ailleurs je suis attaché ! Et nu !
- Ou suis-je ?demande-je ?
- Ta gueule petite pute. Oui je t'ai vu torde du cul pendant toute la visite je sais bien que tu es une petite pute ! voilà les règles. Si tu veux que tout ce passe bien tu ne parles que quand je te l'autorise et tu fais tout ce que je dit ! compris ?
- Non mais ca va pas la tête ? rétorque-je .
Une grande baf me fais tourner violemment la tête.
- Compris ? ca main m'enserre les couilles les larmes me montent aux yeux.
- Oui... dis-je dans un sanglot
Une nouvelle baf me fais bourdonner l'oreille.
- Oui qui ???
- Oui maitre ? essaye-je
- C'est ça petite merde tu as compris.
Comment expliquer alors, je suis dans un de mes fantasmes les plus fous et pourtant je ne peux m'empêcher de paniquer, que puis je faire ? je suis complètement à la merci d'un inconnu, nu enfermer dans une pièce au mur de 7m d'épaisseur... d'ailleurs qui est cet homme ? sur les 10 derniers visiteur 2 grand mères, 2 couple dont un avec 2 enfants, deux femmes avec un homme agé les accompagnant ce qui laisse... l'homme au lunettes noir ! en effet je l'ai pas vu sortir. Un homme d'environ 40 45ans, un petit ventre mais pas trop, des bras musclés, des avant bras et des mains énorme ! tu m'étonne que je n'ai pas pu résister. C'est pas avec mes 65kg pour 1m85 que je vais faire le poids face à cette montagne de muscle.
Je suis couché sur le dos les bras et jambes écarté accroché par des cordes, l'homme s'installe sur ma poitrine. Une odeur forte me parvient et je sent le bout de son gland sur mes lèvres
- Suce petite merde.
J'ouvre la bouche et commence à lécher se gland, il me parrait énorme, je le prend entièrement en bouche et fait tourner ma langue au tour. L'homme fait un mouvement de bassin et m'enfonce la totalité de sa bite au fond de ma gorge, j'ai une série de haut le coeur, il manque de m'étouffer. Cela semble durer une éternité et enfin il me libère.
- ca t'a plus ?
- oui maitre, me force-je a répondre, et d'ailleurs ce n'est pas tout à fait faux je commence à bander...
- qui t'a autorisé à bander salope ?
- personne, pardon, excusez moi !
Une nouvelle baffe
- excusez moi qui ? tu vas comprendre ce que c'est de ne pas m'appeler maitre !
Toujours assis sur mon ventre, l'homme me tord violemment les tétons, et les tires vers le haut. Je hurle de douleur. Puis il se retourne et saisi quelque chose. Je le sent passer un lacet autour de mes couilles et de ma bite, il sert de plus en plus. Il commence a me tailler une pipe, c'est vraiment trop bon, je sens ses lèvres très humide aspirer mon gland, le décalotter puis le recalotter, je me mets véritablement à bander et les liens qui m'enserre les couilles rentre dans ma chaire.
- Tu voulais bander et bien tu vas bander ! tu vas rester comme ca jusqu'à ce que je t'autorise à te finir...
L'homme se lève et va chercher quelque chose dans un coin de la pièce, il revient je le sens au dessus de moi debout. Soudain un brulure sur mon ventre, un liquide chaud me glisse partout du nombril au tétons. C'est de la cire fondu ! je hurle de douleur...
- Tu vas te taire salope ?
Je ne peux m'empêcher de continuer de crier
- Tu n'aimes pas ça très bien, j'arrête si tu me le demande gentiment.
- Par pitié maitre arrêtez s'il vous plait !
- Ca ira pour cette fois, la prochaine fois je veux une demande encore plus suppliante ! c'est clair ?
- Oui maitre !
- Bien allez je te donne juste une motivation pour être plus suppliant la prochaine fois !
D'un seul coup je sens trois pichnettes sur mes couilles toujours enserrées dans le lacet. J'hurle c'est comme un décharge électrique dans tout le corps.
- Tu vas maintenant assouvir ton maitre espèce de trous à jus
L'homme me soulève les jambes, me crache sur l'anus et sans aucune autre préparation me pénètre de tout son long.
- Ahhhhhh !
Je ne saurais même pas vous dire si j'ai alors prononcé un cri de douleur ou de pure extase. J'avais l'impression que sa queue n'en finissait pas de rentrer. Il commença alors ces mouvement de vas et viens me défonçant l'anus mais me procurant un plaisir fous. Il se bloqua d'un coup au plus profond de moi et je senti un liquide chaud me remplir de l'intérieur. Il resta en moi 3 bonnes minutes puis me murmura à l'oreille
- Je reviens esclave...
15 min après je réentends un pas dans l'escalier je bande toujours, le lacet retenant le sang dans ma bite elle ne dégonfle pas. Il me détache les couilles, la douleur est presque plus forte une fois le lacet enlevé, il me dit :
- Je viens de tout filmer, tu fais quoique ce soi de travers et ta vie est fini ! la caméra est en sécurité tu ne la trouveras pas. Voilà ce que tu vas faire, je vais te détacher, tu vas me lécher les pieds et te masturber. Interdiction formel d'enlever ton bandeau compris ?
- Oui maitre...
Il me détache, je me mets à 4 pattes et me rapproche de ses pieds nus, je les lèches avec soin tout en me masturbant.
-maintenant jute salope !
J'accélère la cadence et je sens le liquide monter dans ma queue et je fini par tout cracher sur le sol.
-très bien petite merde, tu sais ce qu'il te reste à faire ?
- non maitre ! Dis-je
-lèche le sol il ne doit rien rester !
J'ai toujours eu du mal à boire du sperme après avoir juté, mais n'étant pas en position de force je m'exécute.
- Très bien salope. Maintenant voilà la consigne, tout les jours ou tu sera guide au château tu ne portera plus de sous vêtement, seulement des jeans sans rien en dessous. Je reviendrai vérifier, gars à toi si tu m'as désobéit. Tu pourras enlever se bandeau dans 5 min. a très vite ma petite chienne.
La suite si cela vous a plus...
roméosoumis
moisoumis@gmail.com