fabienlonely
Je vais vous raconter un petite histoire qui m'est arrivé il y a 2 mois.
Je m'appelle Fabien, j'ai 36ans. J'étais en couple depuis 4ans, et très bien intégré dans mon ex-belle famille. Avec presque, sauf son débile de frère (il lira jamais ça!)
Nous partions souvent en vacance avec sa soeur et son mari, car nous nous entendions vraiment bien.
Nous arrivions à parler de tout, sans tabou, et avec une liberté totale. Ce n'était jamais hard ni cru avec sa soeur, mais elle aimé bien parler de Q. Mon ex n'était pas gêner, ça m'a toujours paru e bizarre que tous les 2 parlent aussi librement de leur histoire de fesse. J'y ai prit goût, j'avoue.
Avec le beau frère (Hervé), nous faisons souvent du sport ensemble (surtout du vélo) et lors des pauses, on parlé souvent de Q. Des histoires passées, de Louisa (la soeur) et Étienne (mon ex). Ça allé quand même loin, jusqu'à se raconter les positions faites la veille. Mais cela n'a jamais été plus loin que parle, que de se frotter la bite en se disant "même en y pensant, j'ai la trique" :). Je n'ai jamais eu la moindre arrière pensé, aussi étrange que cela puisse paraître.
En résumé, on adoré se faire fantasmer l'un l'autre, afin de donner ou recevoir le soir même :) :)
En novembre, Étienne me largue... J'avoue avoir mal digéré la situation, mais bon, c'est la vie, pas le paradis ! Noël passé, j'ai envoyé des textos à mon ex belle famille, je voulais garder contact (fausse bonne idée !).
Il y a 2 mois, Hervé m'appelle, et me dit : "ça te dit d'aller boire un verre en ville ?"
Moi : "désolé, je peux pas, je travaille. Mais passe en fin d'après midi"
Rendez-vous prit, il sonne à la porte vers 18h. J'étais tellement heureux de le revoir, que je l'enlace, et je me mets même pleurer (madeleine, c'est moi !).
Émotion parti, nous commençons à parler de tout et de rien, des ex-beau parents, de Louisa, d'Étienne, j'étais content d'avoir des news.
Et Hervé me dit : "Bon, je te le dis, nos histoires de Q, ça me manque... On ne parle plus comme ça avec Louisa et Étienne. Ça me manque".
Moi : "Moi aussi ça me manque, tu crois quoi ?", et j'enchaîne (et croyez moi, sans aucune arrière pensée) "Ça fait 4 mois que j'ai pas baisé, pas vue de queue, j'en ai marre de me taper des pornos et me gicler su le ventre !"
L'effet a été immédiat : on a commencé à rire, et il m'a raconté ces dernières histoires. Autour de verre de vin et de fumette, il m'a raconté qu'il a même vue la bite d'Étienne (il n'avait pas fermer la porte de la douche) et me dit "Il n'est pas grand (1,70), mais il a un belle bite quand même. Je m'imaginais pas. Tu ne devais pas t'ennuyer :) :)". Tu parles qu'il avait une belle bite, je l'ai vue sur toute les coutures !!!
Moi je lui montrai mes qq films de Q homo que j'avais téléchargé, mais il m'a dit que c'était pas son trip. Il préféré quand je lui racontais mes soirées branles.
Et il me sors son dernier plan q avec Louisa, c'était la veille :
"Hier soir, j'ai baisé Louisa sévère. J'ai pas voulu lui juter dans sa chatte, je lui ai cracher dessus. Après, j'ai voulu me coucher, et elle a voulu me sucer. Ça a mit du temps, mais j'ai réussi à bander, je lui ai craché dans la bouche. Elle m'a embrassé après, j'ai pas aimé le goût du foutre, j'ai abrégé".
Putain, je bandais comme un âne, et je lui ai répondu
"T"aimes pas le foutre car ces le tiens. Il faudrait que tu en goûtes d'autre pour faire ton avis".
Hervé : "pourquoi pas..." suivi d'un long silence...
Je ne savais plus quoi dire, alors je lui dit "avec tes conneries, je bande sec. Je vais avoir mal aux couilles si ça continue".
Et là il enchaîne sur d'autre histoires, et je l'arrête.
"Hervé, j'ai trop de respect pour notre relation, mais là c'est trop. J'ai trop envie de baiser, je vais pas pouvoir m'empêcher de te demander de te sucer"
Et là, à a grande surprise, il me dit "viens me sucer".
Il descend son jean au cheville, je vois pour la première fois Hervé, en boxer DIM blanc. Le bout du caleçon trempé de mouille.
Une belle bosse, c'est la 1ere fois que je le vois comme cela. Je commence a lui mordiller la bite a travers le caleçon, à lui toucher les cuisses, les reins... Je le sens bouger, il aime.
Je retire son boxer, et là, une queue raide, raide, raide. La veine qui va exploser. Une bite généreuse, 16cm je dirais, de bonne couille, et a ma surprise, il s'entretient. Pas de touffes massives, juste une pilosité légère. Je gobe sa bite entière, d'un coup. Je l'entend râler de plaisir. Que c'est bon je me dis. Je commence a lui caresser le cul, et je tente un doigt..
"Non, arrête, pas tout ce soir".
Je ne veux surtout pas arrêter mon seul plan Q semestriel, donc j'insiste pas !
Je lui demande : "tu veux pas me sucer ?"
Lui : "je sais pas si je vais y arriver, j'ai jamais fait, c'est la première fois".
Moi : "Essaye, si tu n'y arrives pas, c 'est pas grave, mais essaye quand même".
Je me redresse, a mon tour d'enlever mon jean, mon shorty. Il s'accroupit, s'approche, et me dit
"Whaou, c'est la 1ere fois que je vois une bite bandais de si près, c'est étrange".
Je ne suis pas Cyrillo non plus ! Ma bite est modeste 15cm. Je suis très entretenue (une légère toison), et je me rase le Q. Je suis imberbe, donc c'est vite fait.
Moi : "vas-y, ouvre la bouche"
Dans un premier temps, il me décalotte, et essuie avec sa main ma mouille. Je mouille beaucoup. Il a voulu s'essuyer par terre :
"Non, donne le moi". Je lèche ses doigts de ma mouille, et je lui redemande "Allez, ouvre la bouche"
Et là, je sens une chaleur sur ma bite qui m'envahit. Il me suce. Hervé me sucé !!!Mais quel pied. Avec ses maladresses (les dents de ces hétéros !!), mais c'était sublime... Il a prit les choses en main, et commencé a son tour a me caresser, jusqu'à arriver à mon trou. Je me suis pas fait prier, je le laisse travailler ma rondelle, et là, je sentais le connaisseur...
Moi : "Hervé, prend moi, là, prend moi stp"
Hervé : "Là ? maintenant"
Je l'ai prit pas la main, pour l'emmener dans ma chambre. Je le déshabille complètement : il est bien foutu en plus. Je me dessape aussi, et je sors mon tube de gel, je m'enduis le Q, lui crache sur sa bite, et lui mets aussi du gel. Je me mets à pattes, le Q bien bombé, j'attendais que ça rentre.
Il arrive, et commence a mettre le gland. Putain que ça fait mal. J'ai plus l'habitude, mais ça va vite revenir.
Il n'ose pas trop m'enculer, peur que j'ai mal, donc c'est moi qui me suis empaler d'un coup sec. Cris de douleur, on attend qq seconde.
J'ai réussi a me faire la bonne bite d'Étienne. Une bien large, assez longue, à coté de la queue d'Étienne, Hervé est un joueur d'un niveau inférieur.
La douleur passe avec ces va et vient lent. Et il commence a me limer le fion de plus en plus vite et fort. Plusieurs positions, mais il voulait toujours maîtriser la saccade. Je vous passe les 4 pattes, la levrette, le missionnaires et autres positions. On a remit plusieurs fois du gel.
C'est vraiment un bon baiseur.
Pendant tout ce temps, je bandais comme un enculé.
Je sentais qu'il allait venir mais je voulais lui bouffer son jus.
Il se retire, je lui lave la bite, et me remet à le sucer. On passe au 69 : moi dessus, et je lui pine la bouche. Je vos ses pieds se raidir, ses jambes gesticulés, c'est bon, il va jouir : " Attention Fabien, je jute "
Je me prend des rasades de foutre bien liquide. J'en gade en bouche, et je m'en mets sur la gueule, il gicle toujours. Il a du faire 6 bonnes doses au moins, le tout dans un râle mémorable
A mon tour de lui remplir a bouche, c'était excellent.
Il n'a pas voulu avaler, je lui ai alors demandé de crache sur sa bite. J'ai récupéré mon foutre, qui a conserver son bel aspect épais. Je le suce en mélangeant son foutre et le mien : c'était une pure merveille.
Pour finir, je m'approche de sa bouche et je l'embrasse.. Il se laisse faire, puis me pousse ...
J'ai pas comprit initialement, mais il me dit : "Tu vois, je t'avais dit que je n'aimais pas le sperme" !
Et nous revoilà partir d'un fou rire, comme avant.
En partant, il me dit : "j'espère que Louisa ce soir sera fatigué. En tout cas c'était sympa, mais je ne veux pas que ce soit une habitude. On l'a fait, on le refera sûrement jamais"
Je lui répond qu'il n'y a pas de soucis, et que je comprenais.
Depuis, on s'est revue avec et sans Louisa. Mais nous n'avons jamais remit le couvert, même si parfois je m'imagine qu'on pourrait l'envisager... Mais promit, je vous raconterai.
fabienlonely
fabienlonely@gmail.com