Chris et Loic -1
Mon histoire se situe à Paris, un soir d'été ensoleillé. Il fait encore très chaud malgré l'heure tardive. Je dine avec des potes, en ville. Après le resto, je suis rentré à mon appart, bien décidé à ne pas rester enfermé chez moi et à profiter un peu de ce weekend qui commençait, d'autant plus qu'à la télé....rien d'intéressant à mater, comme d'hab !! Je me suis dis que vu la chaleur, il vaut mieux s'habiller légèrement. Un débardeur blanc et un jeans slim bleu clair, un peu délavé, feront l'affaire.
Mais, une fois sortit dans la rue, vint la question fatidique....quoi faire? Mes potes sont partit en weekend en province...chez leurs parents. J'ai appelé une copine....pas libre. Ciné, bar, boite de nuit? Pas trop motivé pour ça. Je me suis donc mis à flâner au hasard des rues du Marais jusqu'au moment où mon regard s'est arrêté sur la devantures alléchantes d'un club gay ou je vais parfois pour boire simplement un verre ou rencontrer des beaux gosses bien chauds. Après quelques secondes d'hésitation, je me décide. Je commence à bander dès l'entrée. Devant moi, tournés vers le bar, une belle brochette de jolis garçons discutent, pour certains, déjà torse nu. Aussitôt, je me dirige moi aussi vers le bar, commande illico une boisson et commence, plus ou moins discrètement, à mater les mecs. J'adore les hommes bien montés, avec un minimum de charme et au torse plutôt musclé....là, je suis servi !!
Après quelques minutes, je m'aperçois qu'un des mecs me regarde avec une certaine insistance : un mec plutôt bronzé, juste musclé là où il faut, avec beaucoup de charme et des fesses vraiment appétissantes.
- Salut. T'est venu t'amuser avec nous?
- Salut. Oui, si on veut.
- Tu viens souvent ici? Moi, je suis venu trois fois. J'aime bien l'endroit et y a une clientèle pas trop mal.
Il s'assoit en face de moi, accoudé au comptoir.
- C'est sûr que par rapport à certains endroit du quartier...
- Moi, c'est Loïc.
- Joli prénom... bien de ma Bretagne natale. Moi c'est Chris.
- Oki. Enchanté.
Comme, il constate que j'ai fini mon premier cocktail, il m'en propose un autre et on continue ainsi à faire connaissance un bon moment. Il voyait bien que j'étais intéressé à ma manière de le regarder. Mais, comme j'hésitais à faire quoi que ce soit, c'est lui qui m'a pris la main pour la mettre sur ces pecs. Aussitôt ragaillardit, j'en ai profité pour descendre ma main le long de son torse et à lui palper l'énorme paquet coincé dans son jeans. Le tout sous l'oeil attentif du patron.
- Huumm !!
- Alors? Je t'intéresse?
- Oh oui. T'est quand même super bien gaulé.
- je trouve que t'est pas mal non plus. t'as beaucoup de charme.
Puis, il me murmure à l'oreille.
- T'as l'air super chaud....si ça te dis que je mette mes 21cm de virilité entre les fesses....
En entendant ça, j'ai bien cru m'étouffer avec mon mojito. Au moins, ça avait le mérite d'être clair. Je crois que j'ai du lui faire un signe de tête en guise de réponse.
- Ca te dis qu'on aille dans la backroom?
Je me suis levé et il m'a gentiment pris par la main et entrainé illico vers l'arrière-boutique où il se trouvait la backroom. Je me rappelle encore avoir traversé un couloir obscur où on pouvait entendre des mecs en train de se faire défoncer le cul en hurlant de plaisir. Dans le couloir même, des mecs se trémoussaient au son de la musique techno, se caressaient ou se masturbaient. D'autres même, se faisait enculer par plusieurs mecs en public....
- Au moins, ça met dans l'ambiance.
- On va en cabine?
- Si on en trouve une, oui.
On arrive au fond du couloir. Loïc ouvre fébrilement une porte entrebâillée et entre dans une de ces "piaules à baiser". Je le suis en fermant la porte derrière moi. Là, comme il reste dos à moi, je m'approche, me colle à lui en foutant mon paquet bien raide entre ses fesses. Tandis qu'une de mes mains le tiens par la hanche, l'autre parcours son magnifique torse en descendant vers le pubis, palpant ses pectoraux, caressant ces abdos bien dessinés, ses cuisses puissantes pour atteindre son entrejambe. Je sens son sexe grossir à travers le jeans. Je le palpe bien pour le faire bander bien dur. Puis, je lui déboutonne la braguette et y fourre ma main pour attraper ses couilles. Je glisse ensuite son jean. et admire ses belles fesses bien rondes et bien fermes coincées dans un jocks trap blanc. Je m'agenouille dernière lui, caresse, pétri, embrasse, lèche ses fesses.
Comme il se retourne vers moi, son sexe se retrouve exactement sous mon nez. A travers le jocks, j'embrasse, lèche sa queue épaisse et titille ses grosses couilles avec le bout de la langue. Son gland dépasse l'élastique du slip.
Je me relève. Il m'embrasse dans le cou. Me lèche le cou même, je devrais dire....c'était à tomber à la renverse...j'adore ça. En même temps, il passe sa main sous mon débardeur et me pince les tétons. J'enlève aussitôt le débardeur. Il me caresse le torse, puis avec une main sur mes fesses, il me plaque contre lui pour me rouler un patin magistral. Je sentis d'abord, ses lèvres douces, puis sa langue qui pénétrait dans ma bouche, cherchant, puis s'enroulant sur la mienne avec fougue tandis que sa main restée libre m'a pris par l'arrière du crâne pour me coller encore plus à lui.
Il entreprend, ensuite, de me déshabiller et n'y va pas par quatre chemins. Il délace ma ceinture, défait un à un les boutons de ma braguette. Une fois que c'est fait, il fout sa main dans mon cale-butte, me masse délicieusement les couilles, les serre dans sa main, tire dessus. très vite, je me retrouve avec le pantalon et le slip aux chevilles. De mon côté, après lui avoir bien pétri ses belles fesses, je le fout complètement à poil. Après s'être désapé, je lui ai lancé :
- Vas-y mec...pompe-moi la queue. Je veux sentir ta belle langue me sucer le gland.
Je n'ai eu aucune réponse. Mais, un joli sourire approbateur. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il commence par me lécher le cou, la poitrine, me sucer les tétons, les mordiller, avant de laisser trainer sa langue le long de mon torse jusqu'au pubis. A genoux devant moi, Loïc empoigne vigoureusement ma queue bandée, comme pour une branlette, joue avec mes couille imberbes, les lèche, les gobe. C'est trop bon. Après les avoir sucer quelques instants comme des bonbons, il positionne mon pénis devant sa bouche. Me regarde en souriant. Décalotte doucement le prépuce avec deux doigts pour découvrir un gros gland avec un belle goutte de mouille au sommet. Il enroule sa langue sur le gland, lèche mon pieu dans le sens de la longueur comme s'il s'agissait d'un cornet de glace pour enfin le prendre jusqu'à la racine et à commencer à aller et venir dessus comme un maître. Ma tige glissait en lui sans aucun problème.
- Elle est bonne ma queue, hein?....Putain, c'est trop bon comment tu suces mec. T'aimes ça sucer les mecs...putain !! vas-y. Pompes !!
Je n'ai pas eu d'autre réponse qu'un "hum" étouffé par une bite épaisse. J'ai de plus en plus de mal à reprendre mon souffle. Mais, au bout de quelques temps, Loïc arrête de sucer, me pousse sur une espèce de banquette en cuir synthétique et m'emballe de plus belle. Puis, il se met dos à moi pour me présenter son cul à hauteur de visage. Alors, je prend ces deux lobes musculeux et les écartes pour bien dégager son trou. Je commence à lui lécher la raie puis je titille gentiment son anus avec le bout de ma langue, le lèche. Puis, par petite pression de la langue sur sa rondelle, je commence doucement à m'introduire en lui. J'arrive même à lui lécher la zone du périnée jusque sous ses couilles pendant qu'il se branle doucement en gémissant. Je reviens travailler son trou avec ma langue. D'un seul coup, il se penche en avant et prend un petit sachet qu'il me tend aussitôt en me disant :
- Mes tes doigts dans mon cul !
Sans répondre, j'enduis mes doigts de lubrifiant, le fait se pencher en avant, caresse doucement son anus avec mes doigts lubrifiés en faisant des ronds autour de la rosette. Puis, avec le pouce, tout doucement, je fais une légère pression sur l'anus, puis une pression de plus en plus forte jusqu'à ce que mon doigt pénètre. Là, mon pouce continue des mouvements en rond pour dilater son sphincter qui n'y résiste pas. Je sors ensuite le pouce pour introduire l'index et commencer un mouvement de va et viens dans son cul, ce qui lui arrache des gémissements de plus en plus forts. On essaie à deux puis à trois doigts. Plus je le pénètre et plus il se cambre pour prendre mes doigts. Doucement, je lui masse la prostate avec une main et le périnée de l'autre.
Bientôt au bord du point de non retour, il se retire et se retourne vers moi pour m'embrasser. Ce qui a l'avantage de faire un peu retomber la pression et de faire duré le plaisir.
- J'ai trop envie de ton p'ti cul, putain !
Il me caresse la queue avec du lubrifiant. C'est à mourir !! J'en peux plus.
Il se redresse, se met perpendiculaire à moi au niveau de mon bassin, prend mon pieu fermement entre ces mains, le fait glisser entre ses fesses, le positionne droit sur son anus et, doucement s'assoit dessus. Mon gland passe sans problème. Mon excitation est telle que je ne peux pas m'empêcher de donner un bon coup de rein pour que ma queue aille bien buter au fond de son cul. Avec l'excitation, lui et moi devenons vite incontrôlable.
Un moment, Loïc s'allonge, le dos sur moi. Je lui caresse le torse, lui malaxe les pecs, le lèche dans le cou tout en continuant à pilonner de plus belle sa petite chatte. La bite empalée bien profondément dans le cul, je le fais soudain basculer sur le ventre, le met à quatre pattes devant moi, lui écarte les cuisses avec mes genoux pour le prendre en levrette. Je continue à le labourer vigoureusement et visiblement, il aime beaucoup mes coup de reins. Dès que je m'arrête pour reprendre mon souffle, je le vois s'empaler complètement sur mon pieu et continuer les vas-et-viens. Mes coups de reins sont de plus en plus violents. Loïc ne gémit plus. Il crie carrément. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme là. Aussi, une petite pause ne serait pas de refus...au bord de l'orgasme. Puis, quatre violents coups de reins dans le cul qui le font bien gueuler.
- Tiens....prends-ça !!
- Haa, han, hooo....putain, c'est bon.
Je lui coince bien ma bite au fond de son cul et là, je lui lâche mon foutre bien chaud. Après quelques secondes d'arrêt, je me retire doucement.
Il se retourne, sans doute pour m'embrasser. Mais, je ne lui en laisse pas le temps et je me précipite, en grand gourmand que je suis, sur sa grosse queue. Je lui écarte les cuisses et lui lèche doucement les couilles avant de prendre sa queue dans la bouche et de doigté généreusement son p'ti cul. Sa queue a déjà un bon goût de foutre. je fais de bon vas-et-viens sur toute la longueur de sa queue. Au bout d'un moment, il me prend la tête entre ses mains pour la tenir pendant qu'il me baise la gueule à grands coups de reins. Loïc ne se sent plus et rugit littéralement de plaisir en me remplissant. Me laissant à peine le temps de lui avaler la bite deux fois bien à fond, son gros gland me défonçant la gorge, à deux doigts d'éjaculer, il me maintien bien en face de sa pine avec ses deux mains.
- Putain !! Prends ça, p'tite salope. ....Je te félicite. T'es vraiment une bonne suceuse. Je vais te féconder....ouai...suces-bien.
Soudain, dans un râle très mâle, il m'enfonce sa queue au fond de la bouche et bloque ma tête contre son pubis. Je sens alors son sperme jaillir par saccade et couler directement dans mon gosier. Après quelques instants, où j'ai cru étouffer, il se retire de ma bouche. Suite à ce traitement viril, je suis tellement excité que je ne parviens même pas à débander. D'ailleurs, Loïc non plus. Malgré tout, il s'allonge près de moi....oufff, c'est fini !!
On se fait des bisous. On se roule des patins langoureux. Loïc me tend à nouveau un sachet de lubrifiant, me signifiant ainsi son envie de me monter. Je me fous immédiatement à quatre pattes, pensant qu'il me prendrait en levrette. Je l'ouvre et me caresse doucement le fion avec mes doigts lubrifiés. Il prend le relais en m'insérant un, puis deux doigts avec une bonne dose de lubrifiant.
- T'as voulus me foutre ta main dans le cul tout à l'heure....avoue ! C'est moi qui vais te fister. Tu vas voir. Tu vas aimer.
Doucement, il m'insère ses doigts tout en m'astiquant la queue. Je sens mon cul se dilater de plus en plus et s'ouvrir à lui. C'est trop bon de sentir sa main, à la fois tourné et imprimer progressivement une pression plus forte sur mon sphincter pour parvenir à insérer son poignet dans mon cul. Je sens mes muscles se détendre et sa main me pénétrer de plus en plus profondément.
- Han..putain. c'est bon ça. J'adore. Continue mec.
Encore un petit effort et on y ai.
Mon réflexe est de me cambrer et de m'empaler sur son poing, tandis qu'il le tourne dans mon rectum, massant vigoureusement ma prostate. Son poing entre, sort, tourne à l'intérieur ....trop bon. Je sens l'orgasme venir de plus en plus sans avoir besoin d'une branlette.
- Arrête.
- Pourquoi? T'aime pas?
- Si. Mais, j'ai très envie de sentir ta grosse queue me saillir comme une bête.
A mon tour, je me mes à cheval sur lui, face à lui, et me laisse pénétrer par ce bel étalon. Je sens maintenant son gourdin glisser entre mes fesses et chercher le trou. Je lui prend la queue à pleine main pour le guider entre mes fesses. Je dresse son gland contre ma rondelle. Et, je me glisse le pénis dans le cul d'un coup, sans difficulté jusqu'à la garde, malgré le fist,. Ces 21cm de virilité me pilonne vigoureusement pendant que je lui masse les testicules pour stimuler encore plus son excitation.
- Putain....han...défonce-moi, mec !! ouai....trop bon, ta queue.
J'ai le cul en feu mais, je ne débande toujours pas. Il me prend par les hanches et m'empale complètement sur ce pieu vigoureux.
- Tu veux que je t'astique?
- oh ouiiii. Putain.
Encore le pieu enfoncé jusqu'à la garde, il commence à me caresser les testicules avant de m'astiquer vigoureusement le gland avec la paume de la main mouillé de salive, ce qui a pour résultat de me mettre au bord de l'asphyxie. Loïc reprend les coups de reins en moi, de plus en plus violent, tout en continuant à m'astiquer le gland. Je hurle à chaque coup de rein jusqu'à atteindre le point de non-retour.
- hhhhh !!
- Putain ! prends-ça, salope!
- Je vais jouir...ooohhh. La vache...baise-moi. hhhhhhhhh......!!
A l'instant même, quatre jets de foutre giclent sur la belle gueule de mon chevaucheur. Chaque jet ayant pour résultat se contracter le sphincter sur son pénis et de le mener vers l'orgasme. Son visage se crispe. Je me suis alors dis qu'il était en train de jouir. Il le cale alors au fond de mon cul, je le serre bien à l'intérieur, et là, je sens sa queue parcourue de spasme et son sperme chaud qui se répand en moi.
- Putain !! J'adore sentir le foutre couler au fond de mon cul. C'est trop bon.
Aussitôt, il se retire.
- Tu m'as tué?
- tu peux parler. (rire)
- oufff...et ben ça fait longtemps que j'ai fait un plan aussi torride.
- Moi non plus.
Après quelques petits bisous, nous nous rhabillons et sortons de la cabine. Quelques instants plus tard, nous voilà dans la rue.
- Tu fais quoi là?
- Je ne sais pas trop. Je pense que je vais rentrer. Tu veux venir boire un verre à la maison?
- Ben, écoute...pourquoi pas? C'est loin?
- A 5 minutes.
Chemin faisant, nous continuons à faire connaissance, plus en profondeur...Arrivé à l'appart, je lui ai proposé de boire un verre comme convenu, tranquillement assis dans le canapé. Il m'a raconté qu'il bossait dans un magasin de fringues, rue de Rivoli. On s'est trouvé quelques points communs, hormis le sexe : le goût pour les arts et la musique en particulier. Il a une soeur plus jeune que lui (il a 29 ans) qui vit chez ses parents à Montpellier. Ca fait 5 ans qu'il est sur Paris...
On a un peu mater la télé, discuté de choses et d'autres sans voir l'heure passée.
- Oh putain !! déjà?
- Quoi?
- Il est 2 heures du matin.
- Et?
- Et ben...faut que je rentre.
- t'emmerdes pas. Tu dors ici, avec moi. Ca me changera.
- Je veux pas te déranger.
- Au contraire.
- oki. C'est cool.
Quelques minutes plus tard, extinction des feux. On s'est couché tous les deux dans mon lit bien douillet, blottit l'un contre l'autre jusqu'au lendemain, bien assommé par notre partie de sport.
Au petit matin, je suis descendu prendre quelques croissants à la boulangerie, en bas de chez moi et nous avons déjeuner ensemble.
- Ca te dirait qu'on se revoit?
- aahh oui. Beaucoup.
- oki. cool.
- Tu fais quoi samedi prochain?
- rien de spécial. comme d'hab. Mes potes sont tous en provinces le weekend. Donc suis libre. Tu proposes quoi?
- Ben, j'ai quelques amis gays qui viennent à la maison. Si tu veux venir. On se fait une petite bouffe et après on verra.
Nous nous sommes séparés après avoir échangé nos numéros de portable. J'avoue que j'avais bien hâte à ce nouveau weekend torride qui s'annonçait. Mais, pour le moment, il fallait se dépêché d'aller travailler. Encore une longue journée en perspective.
Chris