Ce matin même.
Je m'appelle Vincent, j'ai 25 ans, gay, célibataire. 1m78, 68kg, plutôt bien foutu, corps dessiné par le sport, belle queue, beau cul, châtain cheveux très courts, yeux bleus.
J'étais chez moi à faire la grasse mat et là me vient une grosse érection, suivie d'une grosse envie de faire ma salope. J'attrape mon ordi en me disant " là t'es tellement chaud, trouve-toi un bon actif macho et vas te faire sauter ". Rares sont les fois où je me laisse aller à penser ça car je suis généralement actif mais bon, parfois je bouillonne trop alors... Je me connecte sur un site et je commence à recevoir des messages. Parmi eux, un message d'un rebeu qui cherche un plan. Il a 35 ans, bi, en couple avec une fille, 1m80, 75kg. On échange quelques messages et photos. Il a l'air beau gosse, je lui plais aussi. Il dit qu'il est chaud, uniquement actif et que son trip ce matin serait de se taper un bon cul de mec. Il m'affirme qu'il est sain, bien monté, viril et me dit qu'il est un brin macho. Il s'appelle Hafik.
Il me file son tel et me demande de l'appeler aussitôt. Sa voix est masculine, il a un peu l'accent du beur de cité et cela commence à m'exciter sévère. Il me dit : " Ma meuf est au taf. J'ai besoin d'un bon ptit pd pour me vider, t'as de la chance c'est tombé sur toi. Et rien qu'à ta voix j'entends que t'es une bonne tepu, alors rapplique et tu vas voir comment moi je baise les pds comme toi ! "
Un peu surpris par ses propos, je me retrouve à hésiter, je bafouille et je me dis que cela craint peut-être un peu. Il ajoute : " Bon, tu fous quoi là ? tu rappliques oui ou merde ? Sinon j'attends pas, moi des taffioles comme toi j'en baise 4 par jours si je veux. " Je finis par accepter.
Je tremble de partout. J'ai un peu peur et en même temps je trouve cela terriblement excitant. Il m'envoie son adresse et codes, etc par sms et me dit de me grouiller.
Je saute du lit, prends une bonne douche et file direct en métro. Il est à Stalingrad, à 25 min de chez moi. Arrivé chez lui, la porte est entrouverte, j'entends sa voix grave au loin qui dit " allez viens, rentre, je suis là ".
Là je ne suis pas déçu. C'est un beau rebeu, grand, viril, carré comme je kiffe. Il approche sans même me sourire, me contourne pour claquer la porte et se colle à moi direct. Il est pied nu, en jogging qui laisse apparaitre une bonne grosse bosse. Il me pelote et me fait sentir sa queue en se frottant contre moi et il dit :
" tes pics ne te mettent vraiment pas en valeur, tu es bien plus mignonne en vrai. Et t'as l'air d'avoir un sacré bon boule de pétasse. " et il enfile sa main dans mon calebut, me caresse les fesses, et direct va vers ma rondelle pour me titiller. " Ca c'est de la bonne chatte dis-moi, t'as l'air d'avoir bien envie de bite toi en plus, hein ? "
Je suis droit comme un pic, saisi par le sans gêne de ce mec qui me féminise et qui me traite comme une pute. Je commence à flipper et en même temps je me dis que j'avais prévu de me faire baiser comme une lope alors maintenant que je suis ici, je ne vais pas jouer les prudes. Je lui dis que je suis bien chaud et que l'on va bien s'amuser. Il répond :
" Alors voilà comment ça marche avec moi. Pour les câlins, la parlote et les têtes à têtes j'ai déjà ma meuf et ça me va très bien. Pour les petites lopes comme toi, ce que j'aime, c'est qu'elles obéissent, qu'elles ne me refusent rien et qu'elles me considèrent comme un boss. Tu as compris ma chienne ? "
- Oui
- Oui qui ?
- ... heu
- C'est oui Boss ok ?
- oui Boss.
- dessape-toi là et tu me rejoins quand je te siffle.
J'hallucine de voir comment ce mec me traite mais j'ai terriblement envie de lui. La situation est tellement excitante, que j'obéis, je me fous à poil dans son entrée et j'attends son signal. Cela ne tarde pas d'ailleurs. Il me dit de venir le rejoindre dans la chambre. J'avance au bout du couloir et rentre dans la chambre où il fait assez sombre car il vient de tirer les rideaux. Il m'attrape la tête, me roule un gros patin et me colle direct la main au cul en écartant mes fesses pour toucher ma rondelle. Il me place devant un grand miroir et me scrute de haut en bas. En me donnant une fessée, il dit :
" Allez, mets-toi à quatre pattes sur le lit pour que je mate ton boule de lope ! " Il me pousse sur le lit et commence à mouiller ses doigts pour me tâter. Il rentre 1 doigt puis aussitôt le 2ème. " Hmmm, t'as l'air bien serrée en plus ma belle ". Là il ouvre sa braguette, baisse un peu son froc et m'ordonne de me retourner, il se redresse debout devant moi, attrape ma tête avec une force énorme et me plaque la tête en avant sur son entrejambe. Je sens l'odeur de sa bite et je sens qu'il bande déjà. Sa queue à l'air énorme. Il glisse une main dans son calebut et la sort juste sous mon nez. " Allez gobe-moi ça ma belle " et me pousse sur la tête pour m'obliger à descendre direct jusqu'au bout de sa queue. Je tente de résister car j'ai failli déglutir et là il me retire la tête par les cheveux et me mets face à lui en m'agrippant, il dit " mais tu m'obéis ou pas sale pute, je te dis de gober cette queue sale meuf alors tu exécutes ok ? Ouvre grand ta gueule ! " et me mollarde dans la gueule avant de me ré-empaler sur son pieu un grand coup.
Sa queue est énorme avec un gland bien large, il y a une bonne odeur de bite qui s'en dégage, elle est large et légèrement arquée. Il m'incline donc la tête sur le côté et me dit. " Allez on va pas y passer la nuit, fais-moi la place que je te lime la gorge sale tepu ! " Et là, tenant ma tête à l'arrière d'une main et mon menton de l'autre il se met à me limer la tronche en s'enfonçant de plus en plus profond " Moi je n'arrive presque plus à respirer et je commence à avoir les larmes aux yeux quand il me retire un coup sec la tête en arrière. Un flot de bile éclabousse tout à coup les draps. Je reprends mon souffle et il reprend " C'est bien ma belle, je vois que t'as du mal avec les gros calibres mais tu t'appliques, allez tête-moi le gland comme un bébé maintenant ". Il en profite pour récupérer un peu de ma bave avec ses doigts et commencer à me doigter.
" Maintenant que tu m'as bien fait bander chérie, je vais te prendre la chatte, retourne-toi et présente-moi ton cul, jolie ! "
Je me retourne et commence à me dire que si il me prend le cul aussi sec que la bouche j'ai intérêt à m'y préparer car ça va faire mal. Il se dessape, enfile une capote, sors un peu de gel et tape sa queue sur mon cul. " Allez fais bien ta femelle là, cambre-moi bien ce petit cul. Il est tellement extra ton cul, j'ai hate d'y gouter " et commence à forcer sur ma rondelle. Je serre les draps et essaie de m'exciter encore plus dans ma tête pour me dilater car il commence à m'écarteler le cul et la douleur est horrible. " Je dis " Vas-y molo stp, t'as un bon membre " et il répond furax en poussant encore plus fort. " Tais-toi connasse. Tu vas pas me prendre la tête comme toutes les meufs qui se plaignent quand on les baise hard. T'es une grosse pédale et nous les rebeus on les baise comme ça les pds dans ton genre, c'est pour ça qu'on vous appelle. " Et là je sens son énorme queue qui me traverse l'anus centimètre par centimètre. Heureusement, le gel et la salive aide à faire passer le morceau. Il pousse et s'enfonce sans s'arrêter jusqu'à écraser ses couilles sur mon cul. Il se vautre sur moi, me choppe les hanches et commence à me bourriner le cul comme à une vieille pute habituée. " Sale pute, je savais bien que ton cul était bon, putain ma salope t'es bien serrée, je sens bien que ça te travaille le vagin ça ! "
" Je vais tellement te baiser tu vas voir ma chienne que je vais te faire des triplés. Je vais te féconder le boule ma jolie !, etc. "
Moi je pousse des râles et j'essaie de me mettre en position pour ne pas trop avoir mal car il me défonce et m'écrase de tout son poids. Son torse est massif, il a de gros bras et de larges épaules. Je sens vraiment sa supériorité par rapport à moi. Il est hyper musclé et viril et je me sens une vraie femelle pendant qu'il me baise.
Après un bon limage, il se retire et me dit de me retourner. Il attrape mes deux jambes, les passent par-dessus ses épaules et se plaque sur moi de tout son poids. Il me pénètre un grand coup jusqu'au fond. La sensation d'être baisé si brutalement par ce mec macho me rend dingue. Je commence à ressentir des frissons de partout. Il m'écrase littéralement et se met à me rouler des gros patins baveux. Il me bouffe la bouche et m'enfonce sa langue. " Y a pas à dire, vous les pds vous êtes des vraies salopes au pieu. Et vous kiffez vous faire défoncer comme des vieilles putes ! Hein pétasse ? ". je ne réponds pas. Il répète :
" Dis-le pétasse que t'aimes te faire défoncer comme une tepu ! "
" Oui j'aime ça. "
" Oui qui conasse ? "
" Oui Boss ! "
" Tu kiffes ça te faire humilier et baiser comme ça par un vrai mec, bah viens par-là morue ! "
Il me relève et me dit de m'approcher de la fenêtre. Il écarte le rideau qui était fermé et me colle contre la baie vitrée. Je vois les gens qui passent en bas dans la rue. On est au troisième étage, donc inutile de vous dire qu'ils peuvent me voir aussi. Lui reste un peu caché derrière le rideau. Il me dit de placer mes mains sur la vitre, m'écrase la tête contre la vitre et me demande de cambrer. Je me retrouve à la vue de tous les passants, en position d'humiliation complète. Il me tient la tête d'une main et de l'autre me tient les hanches et se met à me baiser super rapidement. Ses va et viens sont comme des énormes coups dans mon cul. Je me retrouve secoué comme un bout de viande.
" Là on voit vraiment que t'es une grosse pute. T'assumes de te faire loper à la vue de tout le monde, c'est bien ce que je pensais. Les pds sont toutes des salopes ! Heureusement qu'il y a des rebeux pour vous baiser comme des vrais mecs. "
Là il me remet à quatre pattes sur le bord du lit. Me demande de toujours bien cambrer ma croupe. Il se positionne derrière moi et me renfile d'un coup. Il s'agrippe à mes hanches une nouvelle fois et me lime super profond.
" Je vais te juter au fond de ta chatte puisque c'est ça que tu veux. Ouvre-moi bien tes entrailles que je te colle la sauce bien au fond. "
Il me fout des fessées et me dit :
" Allez cambre. Cambre mieux que ça. Voilà, tu fais bien bander là ma jolie. " Je sens son corps vibrer, sa queue se tendre. Moi je suis en transe. Il finit par pousser des cris de jouissance et je sens ses giclées arrivées dans mon cul malheureusement retenues par le plastic de la capote. Il me traite de salope et s'affale sur moi. Son corps est plein de sueur. Je tâte son entrejambe qui est toute moite. Ses poils se mêlent à la sueur et à la mouille de mon cul. Je grimpe sur lui et l'enfourche pour venir l'embrasser. Je place ma bouche sur la sienne et je sens son souffle chaud sur mon visage. Je l'embrasse et me blottit sur son torse légèrement velu et musclé. Et tandis que j'imagine que la scène est terminée, il me dit en retirant la capote avec une main et en appuyant sur ma tête de l'autre. " J'aime quand la lope me nettoie bien tout ça après, ça me détend. Allez fais-moi plaisir ma jolie. "
Je descends ma tête sur ses couilles et lui lèche toute l'entrejambe. C'est chaud, moite, plein d'odeurs, il s'amuse à me serrer la tête par moment avec ses grosses cuisses. J'en ai plein le visage. Il dit des choses en arabe que je ne comprends pas ?
Ensuite au moment de nous relever je tente de l'embrasser une nouvelle fois et il me repousse brutalement. " Ah non, va te laver maintenant sale pute ! " Je file prendre une douche. En sortant de la salle de bain, il est assez froid. Il me dit que je suis une bonne lope et qu'il me rappellera. Puis il m'ouvre la porte et me fout dehors.
N'hésitez pas à me contacter si mon histoire vous plait.
Vincent
zibilou@yahoo.fr