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jeux et soumission -3
La dernière fois que j'ai rencontré le maître, il m'a donné un ultimatum, ou j'accepte une soumission totale ou c'est terminé !!!
Cela fait déjà trois jours, trois jours ou je ne pense qu'à ça....
J'ai aimé être à la merci de cet homme, ma première expérience de double pénétration, bien que douloureuse au départ, m'a laissé dans un brouillard si intense et si agréable que j'ai eu un mal fou, chez mon client, a travailler correctement.
je sentais le sperme de ces deux hommes essayé de se faire un chemin à travers de ma rondelle distendu et c'est avec difficulté que j'ai pu rentrer chez moi. Accroupi sur un miroir que j'avais poser sur le sol, j'ai pu enfin ouvrir ma grotte et admirer le doux liquide se répandre. Je n'ai pas résisté et me suis soulagé, un orgasme comme jamais je n'avais vécu me fit tombé sur le sol. Les images de ma soumission et le souvenir de ce moment me mettais dans tous mes états.
Une chose est sur, je suis une salope et j'aime çà
L'enjeu est tout de même de taille, le maître, avant de me jeter dehors, m'a dit que mon acceptation aurait des conséquences sur ma vie, mon travail, que je devrai être disponible 24 heures sur 24
Au bout de huit jours, j'ai décidé de décliner cette proposition car j'adore mon travail et ne veux pas le mettre en péril
J'ai continué mon train train quotidien dans une certaine tristesse, il me fallait me rendre à l'évidence que ces deux expériences n'auraient pas de suite.
Il me fallait trouver un nouveau maître avec toute les difficultés que cela impliquait
Au bout de quelques jours, ma colère de devoir faire un choix qui ne me convenait pas se dissipant, je me suis connecté sur la toile afin de reprendre la recherche du maître qui ferait la salope soumise que je voulais devenir
vendredi soir, je venais de rentrer chez moi après une semaine très difficile. Mon patron et ami, nous travaillons ensemble depuis 15 ans, m'a pris à part et m'a passé un savon car il s'est rendu compte que je n'étais pas à mon travail
Après avoir refermé la porte, décidé à me cloîtrer tout le week-end, le téléphone se met à sonner ..
"Alors, petite pute, as tu réfléchi à ma proposition ?"
C'est lui, sa voix si dure m'électrise immédiatement, je dégluti et dans un deuxième état lui réponds que ... OUI ...
"- Tu as bien compris que ta décision allait remettre en cause absolument toute ta vie ?
- oui...
- alors ? quel est ta réponse ?
- ....
- accouche, je ne suis pas à ta disposition...."
Mentalement, je reprends dans ma tête tous les arguments qui m'ont fait décidé que je ne continuerai pas et je m'entends répondre, comme si ma voix avait pris sa liberté que "oui, j'accepte !!!"
"Bien, tu es une bonne salope, tu ne le regrettera pas... Les premiers temps seront difficile mais tu vas vivre les moment les plus intense de ta vie de merde....
Je t'ordonne de te rendre immédiatement chez notre avocat, Maître ... qui vas te remettre toutes les instructions pour ton nouveau statut de sous homme. Tu as 30 mn."
Il as raccroché !!! ....
Je n'ai pas eu le temps de me reprendre et de lui dire que ce n'était pas ce que j'avais décidé, que j'étais impressionné et que j'avais répondu sans réfléchir.
Qu'est ce qui m'arrive, j'ai l'impression que ma volonté disparaît dès que je l'entends, mon cerveau ne réponds plus. Je ne pense qu'à répondre à ses ordres
Je ne peux plus réfléchir, la promesse d'une nouvelle humiliation me fait déjà bander, mes sens sont en émoi et je me vois, comme dans un film, prendre mes clefs et me diriger vers mon destin dont je ne connais pas encore la suite... si prometteuse
Arrivé au cabinet de l'avocat, je sonne, je suis à l'heure
Une femme de mon âge vient ouvrir, je lui annonce que j'ai rendez-vous avec Maître X... Elle me toise de son regard et me dit d'un ton peu sympathique :
"Ta gueule, sous merde, je ne veux pas t'entendre, attends dans le couloir qu'on te permette de bouger !"
La vulgarité de son langage détonne avec sa mise classe de secrétaire d'un avocat et je rentre sans rien ajouté, j'attends debout dans le couloir.
Au bout de 10 mn, elle revient et me donne l'ordre de la suivre, nous allons jusqu'au bout de couloir et elle ouvre une porte, me pousse dans le bureau et referme la porte. La pièce est grande, un bureau au fond, un homme y est assis et lis un document, sans lever les yeux vers moi. Ne sachant pas que faire, je reste au milieu de la pièce sans rien dire.
Les 5 mn qui s'écoule me paraissent très longue, enfin il lève la tête et me regarde l'air contrarié....
"Comment se fait-il que tu sois devant moi et que tu ne te soit pas défringué, serais tu un rebelle ?"
Je me déshabille rapidement, sachant que je risque des représailles pour avoir oublié ce principe établi depuis le début.
Au moment d'enlever mon slip, il m'ordonne d'arrêter, se lève et vient précipitamment vers moi :
"Espèce de cafard, tu te permet de porter un slip ! "
Une baffe magistrale me déstabilise, une douleur me coupe le souffle.
une créature de ton espèce n'a pas l'autorisation de porter ce genre de vêtement, c'est réservé aux vrai hommes que tu n'ai plus.
il agrippe l'élastique d'une force décuplée par sa colère et me l'arrache avec violence, me frappe sur tout le corps avec.
sa force me fait tomber à genoux, je reçois des baffes et des coups de pied.
La douleur est intense et je sens les pleurs qui m'arrive.
Mon tortionnaire se calme un peu, m'ordonne de me lever, il m'observe et sourit en voyant les larmes sur mes joues.
"Très bien ! j'espère que tu as compris la leçon....en plus c'est une chochotte..."
Il se rassoit derrière son bureau, prends le téléphone :
" Michelle, apportez moi le dossier de cette chose qui se trouve dans mon bureau ..."
Peu de temps après, la secrétaire arrive, va vers le bureau et pose une chemise.
"Michelle, que pensez-vous de cette lope ?
Elle se rapproche de moi et m'observe....
"Manifestement, il est pas gâté par la nature, vous avez vu ses couilles, elles sont ridiculement petites... et puis il y a du boulot pour rendre son corps à peu prêt bandant... il a du gras autour de la taille.
- C'est bien ce que je pense aussi... je ne sais pas pourquoi il a été choisi.... Enfin bon"
Toujours avec un sourire, elle quitte la pièce.
Maître X me dit :
"Pendant que je vais te lire le contrat que j'ai préparé, tu vas venir à quatre pattes sous le bureau et tu vas t'occuper de mon attirail, tu verra ce qu'un vrai homme possède."
Je me met en position et viens vers le bureau, je me glisse dessous et approche de son entre jambe, il attrape mes oreilles et me fait venir encore plus près avec vigueur.
Je défais sa ceinture, le bouton et descends la fermeture éclaire, j'aperçois effectivement un gros paquet encore emballé et un membre déjà bien dure.
il baisse son boxer et libère l'objet que je dois honorer, minimum 20 cm, je salive déjà à l'idée de devoir l'enfourner et ne résiste pas à le gober.
Pendant que je m'active, il commence la lecture du pré-contrat que je devrais signer.
"Pendant la durée de ce contrat, d'une durée d'un an, tu sera à notre disposition 24 heures sur 24.
Pour ce faire, tu devra prendre un congé sans solde d'un an renouvelable. En dédommagement, dans notre magnanimité, nous prendrons en charge tes frais.
Avant cela, tu passera une visite médicale dans une clinique que je t'indiquerai.
Tu habitera dans un lieu que nous avons préparé pour toi.
Tu n'aura pas de contacts avec ta famille et ton environnement.
Tu devra être constamment épilé, tu portera les vêtements qui te seront dévolus, sans slip bien évidement.
Es-tu d'accord avec se contrat ?
-Oui Maître, je suis d'accord.
- Bon, sort de dessous le bureau et viens signer."
Je quitte à regret ce bel engin que j'ai réussis à tendre au maximum.
je me lève, il me donne un stylo et me montre l'endroit ou je doit signer.
je m'exécute....
"Bon, maintenant que c'est fait, passons à d'autre choses, tu m'a mis en appétit, tu n'est pas très bien gaulé mais tu es une bonne pipeuse, j'ai envie d'essayer l'autre trou. Met toi le torse sur le bureau, écarte bien les jambes."
Il se lève et vient derrière moi, m'écarte les fesse sans douceur...
Je l'entends mouiller ses doigts et me cambre lorsqu'il m'enfonce sans ménagement au moins deux en même temps.
"Très serré tout ça.... Tu as besoin d'être travailler...."
Il s'active à tourner ses doigts dans le fond de mon cul, une douleur me transperce le corps, je ferme les yeux et serre les dents pour ne pas hurler, je suis sur que sinon, il va me frapper.
Une fois que mon trou est bien ouvert, je sens son gland sur ma rondelle, je n'ai pas le temps de me préparer à ce qu'il va se passer qu'il est déjà au fond de moi....
Je n'ai pas pu réprimer un cri de douleur, il commence alors à me fesser avec le plat des main, je ne suis que douleurs, l'anus tyrannisé et les fesses chaudes...
"Ta gueule, je ne veux pas t'entendre !!!!"
Au bout d'un moment qui me paru long, je commence à m'habituer à son chibre, c'est alors qu'il commence à me pilonner avec vigueur...
Il entre et fait ressortir son engins, une vague de plaisir à remplacé la douleur, je sent son gland me caresser la prostate, j'ai du mal à ne pas hurler de joie.
Trois coup sont frappé à la porte, mon assaillant crie "entrez"
je ne vois rien j'ai le dos tourné à la porte, j'entends seulement quelqu'un qui vient vers nous, mon maître continuant à me pilonner.
"Excusez moi de vous déranger, j'ai besoin d'une signature"
C'est une voix d'homme, qui ne semble pas du tout étonné par la scène.
Sans déculer, mon maître prends un stylo et signe le document.
" C'est le nouveau dont je vous ai parlé, je l'essaye, c'est une bonne pipeuse mais il a besoin d'être travailler du cul.
L'homme fait le tour du bureau et vient me mater...
- il a l'air d'avoir une bonne bouche en effet.
-Vous voulez essayer, il peut vous pomper pendant que je le ramone.
-Avec plaisir !"
Il revient de l'autre coté du bureau et me positionne de façon à m'occuper de lui, je pose les mains sur ses jambes et embouche son pénis qu'il m'a mis devant la bouche.
D'un coté je suis embroché, de l'autre j'astique un membre moins volumineux mais malgré tout très agréable.
Au bout de 10 mn, je sent que mon enculeur ne va pas tarder, il me pilonne de plus en plus sauvagement....
Un râle de plaisir envahi la pièce, je sent son foutre me tapisser le fondement, son collègue ne résiste pas et me rempli la bouche d'une grande quantité de sperme bien chaud.
Je continue à sucer la bite du jeune homme et l'a lui rends propre, mon maître se décule et me pose sa bite encore un peu dure devant les lèvres.
"Nettoie la bien maintenant."
Je m'exécute, pendant ce temps, l'autre mec passe derrière moi et fouille mon cul.
"Pour le coup, il est bien ouvert....
-Oui, et ce n'est qu'un début, j'ai des collègues plus costaud que moi....
Une fois que j'ai bien nettoyé la bite, le collègue me dit de continuer ses doigts car il as plein de foutre dessus.
Une fois terminé, mon maître me dit :
"C'est bon pour aujourd'hui, voilà un document qui reprend toute les informations dont tu a besoin.
Maintenant, tu te casse, tu te rhabille dans le couloir, je t'ai assez vu."
Je prends mes fringues et sort de la pièce, arrivé dans le couloir, je vois l'assistante qui me regarde avec un sourire narquois.
"La lope, tu te dépêche et tu te tire."
Je me fringue en vitesse, je n'ai pas complètement fini que je passe la porte et me retrouve dans l'escalier.
Une fois de plus, je me sent bien.... j'ai le cul cassé, je suis fatigué, mais un bien être m'envahi. Je descends les escaliers rapidement, il me tarde d'être chez moi pour me branler en pensant à ce moment.
La suite risque de me combler et j'ai hâte d'être recontacté
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Adam