De retour à ParisArnault et Sandrine habitait Montreal depuis quelques années. Il avaient pris la décision de retourner vivre à Paris et quittait le Quebec dans quelques jours. Arnault m'a toujours fait bander. Dès la première fois que je l'ai vu, j'en suis devenu fou!!! 185cm, assez mince, cheveux ébouriffés, sourire craquant, démarche sexy, petit cul exquis dans ses jeans. Je me suis toujours demandé ce qu'il avait dans son boxer! Quand ils habitaient à Montréal, j'ai eu la chance lors d'une fin de semaine dans les Laurentides de passer au vestiaire de la piscine avec lui. Il s'est mis dos à moi et a enlevé son maillot. J'ai alors eu une vue imprenable sur ses fesses, ses longues jambes minces et son cul musclé et imberbe. Il s'est alors penché vers l'avant pour enlever son maillot et j'ai vu ses grosses couilles pendantes toutes rasées. C'est alors que ma bite se dressa tranquillement. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son cul. Je devais aussi dissimuler mon érection qui paraissait au travers de mon maillot. Sa rondelle toute blanche me fit encore plus bander et je l'aurais enculé sur le champ. Je me voyais lui licher le cul, lui bouffer le cul et lui rentrer ma bite si fort qu'il en gémirait. Ce que ça aurait été bon. Par la suite, je me suis changé en prenant soin de lui laisser entrevoir ma bite semi-bandé. Ce n'eut pas l'effet escompté, mais bon.
Nous sommes retournés à notre appartement que nous avions loué et Sandrine nous laissa savoir qu'elle irait passer l'après-midi au Spa. Je me dis que ce serait un bon moment pour tenter ma chance. Peu après que Sandrine ait quitté, j'enlevai mon short et mon t-shift me laissant pour seul vêtement mes boxers moulant blancs. Arnault me regarda stupéfait et me demanda ce que je faisais. Je lui dit qu'il faisait chaud et que j'étais mieux comme cela. À force de le regarder, ma bite commençait à durcir et c'était maintenant évident que j'étais bandé. Arnault me dit: "Wow, t'es bien foutu". Je lui demanda s'il était bien foutu lui aussi. Il me dit que oui. "Montre-la moi que je juge par moi-même." Il paru surpris par ma demande, mais s'exécuta. Il enleva donc ses shorts et je vis qu'il commençait à être bandé au travers son slip. Je lui dit alors: "Laisse-moi t'aider". J'entrepris de lui frotter avec une main sa bite à travers son sous-vêtement. À ma grande surprise, il se laissa faire et émis même quelques soupirs! Je mis donc ma main à l'intérieur de son slip et lui pris la bite en le masturbant doucement. En quelques secondes, je lui mangeai les tétons, et descendit ma langue sur son torse et ses abdos. J'arrivai à son nombril où je pris soin de licher sa transpiration. Il sentait foutument bon. Je sentis alors l'odeur de sa bite et j'eue aussitôt le goût de me la fourrer dans la bouche. Je lichai donc sa bite à travers son slip et descenda vers ses couilles. Il enleva lui-même son slip et me dit: "C'est la première fois qu'un mec me suce. Fais en sorte que j'aime ça." Je lichai sa bite de tout son long avec engouement. Elle était parfaite: rosé, environ 16 cm de long et 6cm de circonférence, dur comme du béton et son goût était exquis! Je commençais à mouiller tellement il était jouissif. Je mis donc sa bite dans ma bouche et le suçai avec beaucoup d'excitation. Ma langue qui lui frottait le gland faisant qu'il avait peine à se tenir debout tellement ses genoux lâchaient à chaque coup de langue. Je le suça! "Est-ce que tu veux me fourrer ta bite dans le cul?" lui demandais-je "Laisse-moi te baiser comme tu ne l'as jamais été!" D'un geste brusque, il me tourna et se colla dans mon dos en m'embrassant dans le cou. Il collait sa bite à mon cul et faisait des mouvement d'avant-arrière tout en me masturbant. Il entrepris de descendre tranquillement sa langue tout au long de ma colonne vertébrale, ce qui ne manqua pas de me faire frisonner. Il poussa le haut de mon dos vers l'avant pour que je m'appuie sur la table. Il écarta mes fesses et se mît à licher mon cul de bas en haut. La sensation était trop bonne. Il me masturbait en même temps et je mouillais sur ses mains. Après m'avoir liché le trou, il prit sa main qui me masturbait pour lubrifier mon anus avec ma mouille. Il inséra un doigt et j'adorais l'idée que ce soit mon jus qui me lubrifie. il inséra un deuxième doigt qui me donna presque un orgasme. Ses doigts avaient massé ma prostate et j'eue presqu'une éjaculation. Il poussa un troisième doigt en prenant soin de me cracher sur le trou pour aider le tout à passer. Il faisait des va-et-vient qui me brulait l'anus, mais qui était tellement jouissant. J'en étais presqu'à crier tellement c'était bon. Il se releva et enfila un condom. J'étais impatient de sentir Arnault en moi. Je sentis son gland me pousser la rondelle. Il enfila finalement son gland et j'étais déjà à pousser mon bassin vers l'arrière pour qu'il me pénètre plus loin. Il me pris par les hanches et il donna un coup de hanche qui me fit prendre la moitié de sa bite. La douleur s'éclipsa tellement c'était bon! Il commença des va-et vient et je poussais toujours plus pour qu'il m'enfile toute sa bite! En redonnant un autre coup sec, il rentra toute sa bite dans mon cul. Il commença à me labourer le cul en tirant sur mes hanches dans des mouvements très brusques. Je sentais ses couilles me taper sur le cul et j'en demandais toujours plus. Il mît son pied droit sur une chaise et allait de plus en plus fort. C'était très douloureux, mais j'adorais me faire enfiler par Arnault. L'odeur du sexe était omni-présente. Il continua pendant quinze à me fourrer comme une salope et je sentis des spasmes dans mon cul et les jets de sperme dans mes entrailles. Aussitôt retiré de mon trou, il se mis à genoux et me suça la bite. En quelques secondes, je lui jetai de bonnes giclée dans la bouche. Arnault n'étant pas capable de tout garder en laissait échapper sur les coins de sa bouche. Quand j'eut fini, il se leva et je lui lichai le visage pour bouffer mon sperme. C'était chaud et bon. Il m'embrassa et nous avons échangé des flots de sperme. Malheureusement, Arnault et Sandrine retournait en France dans quelques jours et je ne pu prendre le temps de baiser Arnault de nouveau. Je gardai un tas d'images en tête et je me masturbai à plusieurs reprises pendant longtemps avec ces souvenirs. L'odeur de son sexe me revient quand je me masturbe. J'ai déjà hâte à mon prochain voyage à Paris. SthivSuite de l'histoireRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |