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Ma conversion 12
En arrivant dans notre chambre, je fis part à Amou de ma surprise devant le comportement à la fois si compréhensif de son père, et leur attitude générale envers son ex-collègue, Khaled. Il m'expliqua alors rapidement que son père et son frère avaient été mis au courant de notre situation dès le début, d'autant qu'il les avait déjà "briefés" à propose de l'attirance qu'il avait toujours éprouvée à mon égard. Il me confessa alors, un peu penaud, que le premier traquenard qui avait abouti à ma découverte sexuelle avait été initié par lui-même au départ. Il me confia ensuite que, si Farid et lui s'étaient toujours bien entendus, il n'en était pas de même avec Khaled, que tous deux avaient toujours considéré comme peu digne de confiance, d'où sa mise à l'écarte manifeste lors de la passation officielle des pouvoirs au garage. Ses préférences physiques n'avaient jamais été un problème pour son pote, et l'attitude de Farid au départ n'était qu'une mise en scène pour provoquer chez moi le choc initial qui devait permettre de me "révéler", alors que Khaled avait des vues beaucoup plus violentes. Il ne pensait toutefois pas qu'il les concrétiserait ainsi, alors que nous étions un couple avoué, et s'excusa auprès de moi d'avoir ainsi mis en danger mon intégrité physique, m'avouant qu'il avait eu très peur quand il nous avait trouvé en rentrant de l'aéroport.
A mon tour je lui dis qu'il n'avait pas à s'en faire à notre sujet, j'acceptais bien volontiers notre relation dans son état et aux "conditions" qu'il avait posées, mais que, s'il voulait se considérer comme mon homme, il se devait de m'honorer souvent et longtemps. Et, joignant le geste à la parole, je m'emparais de son manche et me mis en devoir de le faire grossir dans ma bouche et ma gorge.
Après m'avoir laissé jouer un temps avec, il me souleva dans ses bras, m'enserrant dans leur étau pour fouiller ma bouche avec sa langue experte tout en me descendant doucement sur son pylône dressé. J'enserrais sa taille de mes jambes et, solidement arrimé par les bras autour de son cou, j'entrepris de le faire coulisser en moi jusqu'à me retrouver complètement emboîté, ses couilles venant frapper mes fesses. Il m'empoigna alors solidement les deux globes et se mit à me faire monter et descendre sur lui, ce qui m'arracha des couinements qui se muèrent bientôt en cris de plaisir. Je n'arrivais plus à me retenir, il provoquait maintenant en moi une jouissance de tout mon être chaque fois qu'il me possédait, j'avais l'impression que chacune des cellules de mon corps explosait de plaisir dès qu'il me touchait et me pénétrait.
Cependant nous dûmes bientôt mettre fin à notre chevauchée, épuisés que nous étions après cette journée et les évènements qui l'avaient jalonnée. Après m'avoir fait jouir deux fois, il explosa en moi en beuglant son plaisir, et nous nous couchâmes, ainsi embrochés autant qu'englués, dans les bras l'un de l'autre.
Lorsque j'ouvris un oeil le lendemain matin, le soleil était déjà haut et je sentis un mouvement près de moi. Je sursautai en découvrant Malik qui était rentré tout doucement dans notre chambre, porteur d'un énorme plateau avec un plantureux petit déjeuner, et qui nous secouait légèrement pour nous réveiller en douceur. Nous nous extrayâmes des bras l'un de l'autre et nous assîmes dans le lit pour profiter du festin. Il nous informa alors rapidement qu'il s'était réveillé il y a un bon moment, qu'il en avait profité pour préparer d'abord un petit déjeuner pour son père, puis était allé le réveiller pour lui apporter. En rentrant dans sa chambre, il l'avait trouvée vide, et s'était donc mis à explorer la maison pour le rechercher. Au bout d'un moment, pensant qu'il était sorti faire un petit tour, il était descendu à la cave pour voir comment se portait notre "prisonnier"; c'est là qu'il avait trouvé son père, en train de se faire pomper par Khaled. Et selon ses dires, il semblait que cette activité durait depuis un moment. Nous résolûmes donc de profiter du festin de Malik avant d'aller voir ce qui se passait là en bas.
C'est donc vers midi que nous sommes descendus pour voir ce qui passait, et là, malgré ce que nous en avait dit Malik, le spectacle nous laissa cloués sur place. Khaled était couché sur le sol, le visage maculé de traînées de sperme, sur le dos, les jambes relevées et qu'il tenait lui-même largement écartées de ses mains passées sous ses genoux. En nous voyant arriver, Achour nous décocha un large sourire en nous souhaitant le bonjour. Il avait deux doigts engagés jusqu'à la troisième phalange dans le cul de Khaled qui, les yeux exorbités, gémissait doucement. Il nous expliqua alors que des bruits d'accouplement durant la nuit l'avaient réveillé, et comme il avait eu besoin de se soulager, était venu rendre visite à notre "invité".
Achour (s'adressant alors à Khaled): - C'est bien toi qui voulait me pomper hier soir, non?
Kh: - (....)
Ach (assénant une énorme claque sur les fesses de Khaled, avant de réenfourner violemment ses doigts):
- Explique-nous ce que tu as fait!
- hhh!
- EXPLIQUE!
- Monsieur Achour est venu me voir cette nuit, et j'ai dû le pomper
- Et c'est tout?
- Non, il m'a obligé à me branler pendant ce temps
- Et...?
- Et comme j'ai joui au moment où lui m'a joui dans la bouche, j'ai dû lécher mon sperme sur le sol.
- Et...?
- Et ça m'a fait rebander, alors Monsieur Achour a joué avec mes seins pendant qu'il m'obligeait à me branler encore, mais il m'a interdit de jouir de nouveau.
- Et pourquoi as-tu rebandé?
- (...)
Là, Achour asséna une grosse claque sur les couilles du pauvre Khaled, qui poussa un hurlement, et nous expliqua alors d'un débit haché qu'il avait compris à quel point il était en fait excité par sa nouvelle situation, qu'il s'appliquerait toujours à bien nous servir, qu'il promettait d'être obéissant, qu'il ferait ce que nous voulons, qu'il se considérait comme notre esclave, que cette position était la seule qui convenait à une salope comme lui. Cette dernière phrase fut murmurée dans un souffle, mais Achour l'obligea à la répéter à haute voix, plusieurs fois.
Amou prit alors la parole et, d'une voix calme, lui annonça alors que, puisqu'il venait de confesser ses envies, qu'il s'était comporté comme un bon serviteur en soulageant son père, et que nous étions tout disposés à lui faire plaisir pour le récompenser, nous allions aujourd'hui le faire accéder au statut de "salope officielle de la maison". Pour cela il ne manquait plus qu'une étape à franchir, et qui allait consister à le marquer comme tel.
Comprenant alors ce qui l'attendait, Khaled se mit à genoux et, sanglotant, implora la pitié d'Amou en le suppliant de ne pas faire cela; il s'engagea à nous pomper tous tant que nous le voudrions, il ferait tout ce qu'on exigerait de lui, mais d'épargner la dernière virginité qui lui restait.
Après avoir copieusement imploré, supplié, juré, prié Amou l'arrêta d'un geste en lui disant que, de toutes façons, il ferait tout ce qu'on lui demanderait, et que pour l'instant ce qu'on attendait de lui était qu'il nous offrît cette virginité. Donc qu'il arrête de bredouiller lamentablement comme un bébé, et essaie de se comporter comme un homme, du moins dans les derniers instants où il pourrait encore se considérer comme tel.
Xmale06
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