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Ma conversion 11
En entrant je distinguais dans la pénombre Khaled recroquevillé sur le sol, nu, et la cheville enchaînée à un gros anneau fiché dans le sol. Il avait un énorme coquard à l'oeil gauche et de sa lèvre avait coulé un peu de sang, qui avait séché, ainsi que de son nez qui visiblement avait subi un choc assez violent. Quand Amou alluma la lumière, la vive clarté qui en résulta fit qu'il se protégea les yeux d'une main tout en commença à proférer une litanie d'insultes à l'adresse du maître des lieux. Personnellement et vu sa situation actuelle, je trouvai qu'il ne s'agissait pas de la manière la plus subtile de s'extraire du bourbier dans lequel il s'était fourré lui-même.
"Ta gueule, espèce de connard débile vicieux et lâche!" Celui qui venait de tonner ces mots d'une voix de stentor, donnant l'impression de faire résonner les murs de la pièce, n'était pas Amou, mais à notre grande surprise à tous, son père! Et, comme pour renforcer ses paroles, il s'avança et lui décocha un aller-et-retour magistral, qui laissa Khaled complètement sonné, et, je dois l'avouer, nous médusa tous les trois en nous clouant sur place.
Il profita alors de son effet de surprise pour prendre la parole, et nous expliqua avec force détails qu'il avait parfaitement compris la situation entre Amou et moi-même, qu'il la respectait car il nous jugeait "dignes de respect", et qu'il se sentait offensé par l'intermédiaire de son fils, de la traîtrise de cet "infâme connard" qui n'hésitait pas à s'attaquer à plus faible que lui alors qu'il se trouvait sous le toit même de son hôte.
Il finit son discours en disant: "Tu voulais du sexe, tu vas en avoir, mais peut-être pas dans le sens où tu l'entendais...".
Alors que Khaled, qui n'en croyait pas ses oreilles, commençait à protester en disant qu'il ne voulait pas, qu'il n'était pas pd, que jamais il ne ferait "ça", de nouveau Achour (le père d'Amou) l'interrompit en lui signifiant qu'il avait le choix: soit on appelait la police et il aurait à en subir les conséquences le restant de ses jours, soit il passait ses vacances à "expier sa faute", et à l'issue de cette période, on statuerait tous ensemble pour savoir si le dommage avait été réparé.
Khaled, qui s'était remis debout, recommença à se rebiffer, ce qui eut pour immédiate conséquence qu'Amou lui envoya son poing dans le ventre, l'obligeant à s'agenouiller, plié en deux par la douleur. Sans plus attendre, mon chéri l'empoigna par les cheveux et lui plaqua rudement le visage sur son entrejambe tout en lui expliquant d'une voix sourdement menaçante qu'il n'avait pas intérêt à faire le malin, mais plutôt à suivre les instructions qu'il lui donnerait, et à la lettre.
Il fallut encore le rudoyer pendant près d'une heure avant que ses résistances ne commençassent à faiblir, mais en fin de compte il finit par se rendre à l'évidence et peu à peu consentit à ce qu'on exigeait de lui. Il allait donc passer ses congés à nous servir, à tous les sens du terme, sans jamais rechigner à la tâche ni refuser quoi que ce soit, à qui que ce soit de nous trois. En échange on s'occuperait de lui, sans attenter à son intégrité physique (détail du contrat dont le sous-entendu sembla le terrifier), il serait nourri et logerait là dans le sous-sol sans possibilité d'en sortir. Bien sûr le fait de toujours rester à l'intérieur de la maison faisait qu'il n'aurait besoin d'aucun vêtement pour cette période.
Pour sceller cet accord, il dut tout consigner par écrit, puis signer et dater le papier. Enfin, comme il se faisait vraiment tard, Achour demanda de quelle manière on pourrait concrétiser ce nouvel ordre des choses. Amou expliqua alors que le premier offensé étant moi, il serait logique que ce soit moi qui choisisse cette première punition. En voyant Khaled ainsi à genoux devant nous tous, brisé et vaincu, j'eus envie de lui faire goûter à sa propre médecine.
M: - Tu vas commencer ta carrière de serviteur en me pompant à fond, et tu avaleras tout!
K: - NON jamHHHHHHH!
Un grand coup de pied dans ses couilles eut raison de ses dernières réticences. Avec des larmes dans les yeux il approcha timidement sa langue de ma queue que j'avais sortie; au moment où elle toucha ses lèvres, il ferma les yeux avec une mine de dégoût. Amou intervint alors, il m'écarta et l'empoigna par les cheveux, lui secouant la tête dans tous les sens en lui assénant quelques baffes bien senties. Pendant ce traitement correctif, il lui expliqua d'une voix d'autant plus menaçante qu'elle était calme qu'il devait s'acquitter de TOUTES ses tâches avec empressement, qu'il n'avait JAMAIS le droit de refuser quoi que ce soit, et qu'à la fin de chacune d'elles il DEVAIT remercier celui qui l'avait initiée. De plus, chaque soir, il devrait rendre compte devant tous les habitants de la maison de ce qu'il avait accompli pendant la journée, et expliquer comment les travaux réalisés l'avaient aidé à s'améliorer, puis remercier chacun de nous pour notre aide dans cette "progression".
Cet intermède sembla le décider, car c'est avec une toute nouvelle vigueur qu'il s'attaqua à ma queue; ma petite taille ne lui posa guère de problème et quand je lui jouis dans la bouche, Malik, le frère d'Amou, lui maintint solidement la tête plaquée contre mon entrejambe pour qu'il avalât tout sans rien recracher.
Il eut à peine le temps de respirer qu'Amou se présenta devant lui, l'entrejambe bien gonflée anticipant le plaisir qu'il allait prendre. Pour prolonger l'humiliation, il l'obligea à ouvrir lui-même sa braguette pour en extraire une bite déjà toute raide, et dont la taille vue de si près le fit frémir. Mais une légère tape derrière la tête le dissuada de faire le difficile, et il s'attaqua à ce morceau que je connaissais si bien. Au début hésitant, il ne parvenait qu'à en enfourner que la moitié. Au bout d'un moment, Amou en eut assez de le voir "faire sa pucelle", selon son expression; aussi il s'empara de la tête du pauvre Khaled et, la maintenant solidement entre ses deux puissantes pognes, la força à engloutir de plus en plus de son morceau. Notre malheureux pompeur faisait des bruits de gorge et de déglutition qui me faisaient presque pitié, mais Amou tenait bon. Il lui expliqua, à un certain moment, qu'il n'avait pas intérêt à lui vomir dessus, il lui ferait tout ré-ingurgiter, par la force si besoin était....
La menace fit son effet, Khaled s'arrangea pour se décontracter et progressivement on vit la progression du membre qui pénétra la gorge. Enfin dans un rugissement de triomphe, Amou embrocha complètement la tête de son soumis sur toute la longueur de sa queue, lui enfouissant le nez dans ses poils. Il le laissa respirer un instant son odeur, lui expliquant que c'était une odeur à laquelle il devait s'habituer, car il allait aimer se servir de cette bonne "bouche à pipes". Avant que Khaled ne s'évanouit, il se retira jusqu'à ne laisser que le bout de son gland dans sa bouche, puis se réenfonça complètement en lui. Il semblait prendre plaisir à dominer ainsi son ancien collègue devenu esclave, et lui fit subir ses assauts pendant vingt bonnes minutes, avant d'accélérer le rythme pour finalement lui décharger sa sauce en poussant un rugissement de fauve en colère. Les premiers jets durent arriver directement dans l'estomac de Khaled, mais il lui laissa goûter aux trois derniers, lui ordonnant de tout garder sur sa langue, puis d'ouvrir grand la bouche en lui montrant bien la jute qui y était restée. Ce n'est qu'alors qu'il lui ordonna de tout avaler, en continuant de l'insulter et de l'humilier copieusement.
C'était au tour de Malik, qui en fait se comporta avec Khaled comme l'avait fait son frère; à ce stade il semblait que celui-ci avait abdiqué toute velléité de révolte, et se laissait faire sans esquisser de protestation. A l'issue de cette troisième pipe, il me sembla même qu'il y prenait quelque plaisir, sa queue paraissant commencer à prendre du volume. Il avala la copieuse rasade qui lui était servie, et sans s'en rendre vraiment compte se lécha les lèvres pour en enlever les quelques gouttes qui y étaient restées. Ceci ne passa inaperçu de personne, et tous se déchaînèrent pour se moquer de lui en lui faisant bien sentir que sa vraie nature commençait à prendre le dessus.
Enfin il se tourna tout naturellement vers Achour pour le soulager lui aussi, mais celui-ci déclina les lèvres offertes, arguant du fait qu'il se faisait réellement tard; mais il ajouta aussitôt "Ne t'en fais pas ma jolie, demain je serai en pleine forme et on s'amusera bien tous les deux!", assorti d'un clin d'oeil qui en disait long sur ses intentions.
On abandonna donc Khaled dans sa nouvelle demeure, en lui enjoignant fermement de bien dormir et surtout de ne pas se branler même s'il en avait envie après "tout le plaisir qu'on lui avait donné", sinon il aurait à en souffrir les conséquences. Il dut toutefois nous remercier tous individuellement, ainsi qu'il allait devoir le faire dorénavant.
Nous remontâmes alors tous pour aller prendre un bon repos, chacun rêvant à ce qu'il allait pouvoir faire faire à notre nouvel hôte...
Xmale06
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