WiterabiteC'était une après-midi à la fac vers la fin de l'année. Je suis en train de pisser aux chiottes tranquillement après un cours et en me reboutonnant je m'aperçois que j'ai un lacet défait. Par commodité je m'assois sur la cuvette et me penche pour refaire le lacet. En relevant la tête je remarque un petit trou où la lumière passe avec des variations d'intensité comme s'il y avait du mouvement devant. Je plaque mon oeil devant et là je vois une bite raide et des doigts qui s'agitent dessus. Le trou est petit, ce n'est pas un glory hole, je ne peux pas distinguer le reste du corps, juste la bite qui est à hauteur du trou. Je savais qu'il devait s'en passer de belles dans les chiottes de la fac. J'avais déjà remarqué des trous dans des cloisons, des graffitis donnant RDV, des emballages de capotes... Mais je n'avais jamais eu d'occasion qui se présente... J'avais juste déjà jeté des coups d'oeil par des trous où j'avais aperçu des bites demi-molles en train de pisser. C'est au moment où je m'y attendais le moins qu'il se passe quelque chose. Il y avait dans la cabine d'à côté un mec qui matait et qui se branlait. Evidemment je me mets automatiquement à bander tout en regardant la branlette frénétique du mec. Au bout d'un moment il arrête de s'astiquer et il doit approcher sa tête du trou car je ne vois plus rien. Je me lève, je défouraille et je commence à m'astiquer lentement devant le trou.Au bout d'un moment je me rassois et c'est lui qui se remet à se branler pendant que je matte... Au bout d'un moment il m'en faut plus, par chance personne d'autre dans les chiottes alors je dis à voix haute VIENS, JE TE SUCE. Pas de réponse mais j'entends des bruits de tissu qui suggèrent qu'il remballe le matos pour sortir de la cabine. Il sort donc, quelques pas et j'entends qu'il est posté ;devant ma porte. J'ouvre, il entre. Tout en étant assis sur ma cuvette pantalon sur les chevilles je le détaille. Il est plutôt mignon, blond yeux bleus, expression du visage mi-ange mi-salope. Chemisette blanche, pantalon de toile, souliers, sacoche. Il doit être venu pour les oraux de concours qui se déroulaient deux couloirs plus loin et là il était en train de se déstresser dans les chiottes. Je lui pelote l'entre-jambe, il se déboutonne et sort sa queue, je le prend en bouche aussitôt et le suce goulument tout en me branlant. Il se met rapidement à gémir. Au bout d'un moment je lâche ma bite pour commencer à le caresser tout en continuant à le sucer. D'abord les couilles qui débordent de son shorty. Puis je passe mes mains derrières et je baisse son pantalon et son shorty pour lui caresser les fesses. L'intensité des gémissements augmente. Puis je me lève, je le dépasse d'une tête ce qui me rend un peu dominateur je lui prend les lèvres et lui roule une pelle tout en l'astiquant. Je sens qu'il prend ma queue dans sa main. Long roulage de pelle tout en s'astiquant mutuellement. Je lui déboutonne sa chemisette et commence à lui lécher un téton. Apparemment il aime ça. Et puis je me rappelle que j'ai une capote sur moi et j'ai bien envie de me faire son cul... D'abord je me rassois pour le sucer tout en lui doigtant le fion. Je sens qu'il écarte un peu les fesses donc il doit aimer. Je le fait se retourner pour avoir son cul en face de moi et je le doigte de plus belle en lui disant de se branler. Il se cambre de plus en plus, je me dis qu'il est bien mûr alors je me relève, enfile la capote et commence à le pénétrer très doucement. Un fois dedans j'attends un peu tout en le caressant et en l'embrassant dans le cou. Puis je commence quelques aller-retour doucement. Je sens que pour l'instant c'est un peu pénible pour lui mais je m'y sens bien dans son petit cul serré alors je continue tout en le caressant. Je sens qu'il commence à se détendre alors je passe la seconde puis la troisième encouragé par ses halètements. Et quand il dit oh oui j'y vais à fond, heureusement que les chiottes étaient vides parce qu'on était plus discrets du tout! Moi en train de le pilonner contre la porte et lui en train de gémir... Je sentais mes couilles claquer contre son petit cul, d'une main je lui astiquais sa queue dur comme du bois et de l'autre je lui titillais un téton. On a joui presque en même temps, je ne sais pas lequel des deux a gueulé le plus fort! Le temps de reprendre notre souffle on s'est rhabillé sans un mot. Il est sorti le premier et est parti. Je me rappelle avoir bloqué sur la grosse giclée de sperme qu'il a laissé sur la porte. Je me suis dirigé vers la sortie de la fac sur un nuage, au détour d'un couloir je l'ai vu qui attendais devant une porte pour son oral et qui discutait l'air innocent avec d'autres étudiants. En le croisant on a échangé un petit regard furtif et un sourire... Je ne l'ai bien sûr jamais revu mais ça fait partie de ces moments de baise qu'on se rappelle parfois même longtemps après quand on se branle tout seul. WiterabiteSuite de l'histoireRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES Pour plus d'info : www.sida-info-service.org |