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La tournante 1
Il y a quelques années, je venais d'avoir 18 ans, et avec mes parents nous avons aménagé dans un lotissement de villa. Au lycée, je me liais d'amitié avec José, un jeune Portugais de 18 ans qui vivait à la cité, distante de 100 mètre de ma maison, avec ses parents et son demi-frère Karim de 2ans son aîné. José et moi nous avions la même passion: Le Foot!
Moi j'étais ni bon ni mauvais, José lui, il était un artiste du drible. Il m'invita à jouer comme remplaçant dans l'équipe de la cité. Je fis la connaissance des garçons de la cité, qui jouaient dans l'équipe dont le capitaine était le frère de José. Il menait toute la bande de la cité et tous lui obéissaient. Il ne travaillait pas et traînait toute la journée avec ses potes.
Il mesurait 1.78, il avait des grands yeux marron, des cheveux très bruns bouclés, un torse fin mais musclé, des jambes longues et puissantes. Très rapide, nerveux, bagarreur et railleur, il en imposait.
Moi, je suis petit (1.70 m), yeux vert, blond, pas très musclé, imberbe. Au vestiaire, après les matchs, je n'osais pas me foutre à poil de peur que l'on se moque de moi. Mon sexe mesure à peine 15 cm, il est fin et courbe. Mes testicules ressemblent à des cerises perdues dans des bourses trop grandes, entourées de poils blonds peu nombreux et presque invisibles.
Je prenais la douche le dernier et je gardais un maillot de bain pour éviter que quelqu'un le voit.
Je regardais les autres et matais leurs sexes pour comparer avec le mien. Celui de Karim était long 23 cm, assez larges 4.5 cm, et sous la douche, il se caressait sans hésiter en criant : Putain que c'est bon. Personne ne veut me sucer, ni me donner son cul !!
Un dimanche où je remplaçais un joueur et grâce à moi, on a gagné. Karim hurla : C'est le blondinet qui a marqué. On va lui faire sa fête.
A peine dans le vestiaire que Karim m'attrape et avec ses copains me foutent à poil. Ils me poussent sous la douche en riant et en criant : On va te faire ta fête !!! Je me débattais comme un fou et Karim dit : C'est une blague !!! José rigolait suivant son frère
J'ai eu très peur et en même temps j'ai ressenti un émoi qui me fit trembler quand Karim me tenait dans ses bras. Fin d'année, mes parents partent pour 15 jours au ski, moi je reste à la villa seul.
La journée j'allais chercher José pour déambuler dans la cité ou en ville . Karim dans les caves bricolait des 'mobs' pour se faire un peu d'argent et bien d'autres choses. Il fumait. Ce samedi, quelques jours avant Noël, je monte à la cité pour chercher José quand je tombe nez à nez avec un copain de Karim qui me dit : José est avec son frère dans la cave du fond. Va les voir . c'est tout droit et au fond tu prends à gauche, tu verras la lumière . ils sont là. J'arrive devant la cave à demie fermée, j'entre. Karim est seul penché sur une mob.
- Salut. José n'est pas là.
- Non il vient de partir. Tu tombes bien c'est mon anniversaire et j'ai envie de me faire sucer et de prendre le cul d'un bourge !
- T'es fou. lui dis-je en reculant. Je me retourne pour foutre le camp quand je vois ses trois copains bouchant la sortie.
Je me sens attrapé par Karim, qui me retourne, me colle au mur et me bloque la tête, se penche pour me rouler une pèle. Je me débats et les autres m'immobilisent, les lèvres de Karim écrasent les miennes, sa langue force ma bouche. Elle est chaude, dure. Je ne résiste plus et il en profite pour me rouler une pèle qui dure, qui dure jusqu'à me faire perdre la respiration, me mordillant au passage les lèvres jusqu'au sang. Je ressens un émoi, une envie folle qui fait gonfler mon sexe. Il lâche ma bouche, tâte à travers mon survêt mon sexe. Voyant ma réaction, il me dit :
" Je pense que tu aimes ça . Tu vas faire la meuf pendant ces vacances pour moi et mes potes ! . "
Ses copains m'attrapent et m'amènent dans l'autre cave.
En entrant je vis un lit, recouvert d'un duvet, un jerrican d'eau et une cuvette. Le goal de l'équipe me dit : A poil. ou on te déshabille. Sans réaction de ma part, ils m'arrachent mes vêtements. tâtant mes fesses, mon anus, Pierre dit : Il est puceau, Karim va pas s'emmerder !
Ils prirent mes vêtements, sortirent en fermant la porte à clé.
Seul dans le noir, je tremblais de froid et de peur. je m'allonge sur le lit et me recouvre du duvet.
Je fus réveillé par le grincement de la porte. La lumière s'allume et je vois Karim et les autres se diriger vers moi.
- Il est déjà prêt pour nous recevoir.
- Ouais ! dit Karim. Je passe le premier. Il s'assoit sur le bord du lit, me retourne et bloque ma tête bouche contre le matelas.
Je sens sa main qui touche mes fesses, des mains qui attrapent mes chevilles m'obligeant à écarter les jambes, offrant mon cul à leurs envies. Tout en tâtant mon trou, il se penche vers moi et me dit :
" tu es puceau. Tu vas te laisser faire où on te pénètre à sec méchamment. " Je hurle de douleur quand il m'enfonce ses deux doigts dans mon anus brutalement sans préparation ni lubrifiant . Il s'arrête
- " Tu vois, ce que ça fait . Imagines nos chibres . Laisses toi faire et nous irons doucement"
- Tu nous branleras, tu nous suceras tu avaleras tout ce que l'on crache me dit Pierre en me montrant son sexe en érection.
- Tu seras notre salope me crie Joe ... en me mettant une claque sur la tête pour que je le regarde en train de se branler.
A la hauteur de mes yeux, je vois un sexe énorme (27 sur6.5), une bourse gonflée contenant des boules comme des oufs, un gland violacé qui me crache sur le visage un sperme épais en plusieurs jets. Je suis aveuglé par ce liquide qui coule le long de ma figure..
Grand éclat de rire général.
- Sort ta langue, récupère ce qui coule et nettoie- moi, me dit Joe en me mettant son gland entre mes lèvres.
J'hésite.
Karim se met à labourer mon intimité avec ses doigts pour me forcer à obéir. J'ai mal et en même temps, j'ai envie qu'il continue. Je me mets à lécher le gland de Joe et son sexe de haut en bas.
- Salope, me crie Karim, va jusqu'à ses boules. Après tu te frotteras le visage avec ta main et tu la lécheras.
La nuit ne faisait que commencer
Marcel
sastre.yves@wanadoo.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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