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Je suis la pute de Djamel
Voilà moi c'est Nico 32a brun frisé, j'ai les yeux bleus 175 assez musclé. J'ai eu longtemps ue copine qui m'a quitté quand elle a découvert que j'étais bi. Depuis je vis seul et je multiplie les aventures. J'aime faire des ;rencontres sur internet. L'autre jour je dialoguais sur internet quand un petit rebeu est venu me parler. Il m'a dit qu'il avait 19 ans et jamais fait ça avec un mec. Comme je suis actif, j'ai eu envie de me faire ce rebeu vierge, je lui ai donc dit que je voulais voir sa photo et je lui envoie la mienne. Il était vraiment mignon, grand et bien foutu. Il m'a dit qu'il me trouvait beau et qu'il aimerait faire l'amour avec moi.
On se fixe rencart dans un jardin public. Quand je suis arrive, immédiatement je le trouvai vraiment super mignon
- Moi c'est Nico, et toi ?
- Djamel
- Alors comme ça c'est la première fois ?
Il prend un air macho
- La première fois avec un mec, je baise les filles depuis longtemps
- Les filles ?
- Oui, enfin pas souvent. Les filles arabes elles sont surveillées, et les françaises souvent elles veulent pas des arabes.
Il me plaît beaucoup mais je ne veux pas avoir l'air trop rapide :
- Bon, je ne sais pas, tu es bien jeune...
Il prend un air mi-déconfit, mi-irrité
- Oh, ste plaît, t'es trop beau, allez, je serai gentil avec toi
- Comment ça, gentil ?
Et là j'ai la surprise de ma vie il me répond d'un air candide :
- J'irai doucement
- Quoi ?
- Oui, pour te niquer, j'ai une grosse teub, tu sais
Et là il se prend le fut, dedans ça faisait une grosse bosse. J'en crois pas mes oreilles. Ce gamin veut me baiser, moi !
Je réponds d'un air un peu sévère
- Je suis actif, tu sais, je cherche un jeune passif
Toujours aussi candide et sûr de lui il dit :
- Mais vous les céfran, vous êtes toutes des lopsa pour nous les arabes, t'as un super cul j'ai envie
Et là dessus il tend la main et me caresse les fesses !
Putain, raciste et insultant, en plus ! Je me fâche :
- J'suis pas une "lopsa" comme tu dis, casse-toi
Il me regarde d'un air soudain beaucoup moins gentil, serre les poings. Tout à coup je prends conscience qu'il est plus grand que moi d'au moins dix centimètres, et bien baraqué. Il est capable de me casser la gueule ! Je suis un peu effrayé et bizarrement ça m'excite. J'ai un mouvement de recul, il renifle d'un air méprisant :
- C'est toi qui va te casser, pédale
Un peu fort pour le voisinage... Je ne veux pas d'un esclandre, je tourne les talons. Je rentre chez moi, mais au moment de traverser la rue je le vois à côté de moi.
- T'as la trouille, salope
- Arrête maintenant
Soudain il bondit et m'attrape le bras
- T'es qu'une...
Je suis paniqué, il s'en aperçoit et soudain se met à rire
- T'as peur... (avec un petit rire méprisant) et je suis sûr que ça t'excite
Là dessus je vois que son jogg est nettement tendu, il a pas menti, il est bien monté ce petit con.
Putain, il faudrait qu'il arrête, je vais avoir une drôle de réputation dans mon quartier. J'essaie de crâner :
- Moi, peur, tu rêves, bon lâche moi là, va jouer au game boy
Il blêmit et sa main serre plus fort mon bras
- Mon game boy c'est toi, salope de céfran
Les passants s'écartent prudemment, mais un homme de 40 ans environ intervient
- Qu'est-ce qui se passe ? Cet arabe vous emmerde, Monsieur ?
Bon, le raciste de service ! J'ai soudain très chaud, je le regarde et je dis
- Non, c'est une dispute entre amis, rien qui vous concerne
Djamel m'a lâché et me regarde d'un air un peu étonné. Le raciste dit ''Ah bon'' et s'en va, je l'entends murmurer ''pédales''.
On reste trente secondes comme ça, plantés sur le trottoir. Soudain Djamel me prend à nouveau le bras, mais cette fois plus gentiment
- Merci
- C'est rien, allez, va-t'en maintenant
Mais il ne me lâche pas et murmure, si bas que j'ai du mal à entendre
- Putain, j'ai trop envie de ton cul
J'ai à nouveau une bouffée de chaleur et d'excitation, je me rends compte que je bande. Djamel me dit :
- Je veux te niquer, là maintenant, tout de suite
J'ai la tête qui tourne. Il me dit
- T'es seul chez toi ? C'est loin ?
Comme dans un rêve je m'entends répondre
- Non, c'est tout près
- Alors viens, fais-moi monter, je te paierai si tu veux
Je rêve il me parle comme à une pute ! Je suis tellement excité que je me laisse faire, on arrive dans mon immeuble, pendant qu'on attend l'ascenseur il me pelote
- Putain t'as un super bocul salope, tu as voir, je vais te fourrer profond
Heureusement qu'il n'y a personne ! L'ascenseur arrive, j'appuie sur le bouton de l'étage, il me plaque contre la paroi et frotte sa grosse bite contre mon cul, je suis tellement excité, je me débats faiblement mais ça ne fait que l'exciter encore plus
- Oui, remue tes fesses, salope, tu vas voir je vais te niquer profond
Ce mot ''profond'' me fout des frissons partout. Arrivés sur mon palier, j'ouvre pendant qu'il me caresse les fesses. Dès qu'on est entrés il referme la porte et me colle au mur, et m'embrasse goulûment. Putain qu'il est chaud, putain que sa tige est dure...
Enfin il me lâche et dit
- Toute nue, tout de suite
Je suis choqué par la féminisation, mais je suis trop excité, je me désape il me pelote partout. Il enlève son t-shirt, putain il a de beaux muscles pour 18 ans
- T'es drôlement baraqué ! Tu fais du sport ?
- Oui, de la boxe, alors tu vois, t'as intérêt à être bien gentille
Encore le féminin. Ca m'agace - mais je me rends compte que ça m'excite aussi. Je caresse mon sexe, il me dit sèchement
- Laisse ton ptit clito, c'est ton cul que je veux
Ptit clito ? J'ai tout de même 18 cm bien épais, j'en suis assez fier.
Mais pas le temps de réagir, déjà il baisse son jogg, et là sans mentir j 'aperçois un membre de 22 , 23 cm facile et vraiment très large , je dirai 6 ou 7 cm de diamètre , avec des boules très grosses. Woouu la bête ! Puis je frémis : il veut vraiment me foutre ce monstre dans le cul ? J'ai été baisé qu'une fois, ça m'a fait très mal, et je suis très serré - c'est pour ça que je préfère être actif.
- Alors, tu suces ?
Il appuie sur mes épaules, je tombe à genoux. Aussitôt le mandrin frotte sur mes lèvres
- Suce, le céfran, allez, sois gentille
Sucer, je sais faire, bien même, et ce monstre est très tentant. Je calcule que c'est un puceau, il est excité, il va juter vite si je le suce bien, et comme ça je ne vais pas avoir à lutter pour sauver mon cul. ;Je déploie toute ma science : petits coups de langue sur le gland, puis léchage des couilles, ensuite je lui gobe la boule gauche, puis la boule droite, puis j'avale le gland. Il pousse un soupir de plaisir
- Oui, comme ça, c'est bon, oui, salope, oui suce mon gros zob
Je m'applique mais je ne peux pas avaler son sexe en entier il est trop gros et trop long. Il s'impatiente, prends ma tête et me lime la gueule
- Ouais, ouais, c'est bon, ouais suce mon zob
Il me domine totalement et me pilonne la gueule, jamais je ne me suis senti un objet sexuel comme ça. Soudain il se raidit
- PUTAIN E VAIS JUTER... OUIII
Ma bouche se remplit, les jets de foutre se succèdent, mais il appuie toujours sur ma tête
- Avale salope, oui, AVALE
Il frissonne pendant qu'il se vide. Puis il me lâche
- Putain, trop top, t'es sacrément bonne toi
Il 'embrasse rapidement :
- Où sont les chiottes ?
Je lui montre, il va pisser. Moi je me lave les dents.
Djamel me sourit
- Je peux prendre une douche ?
- OK, vas-y
- Viens avec moi, t'es toute couverte de foutre
Là, je vois le piège. Il va me niquer dans la douche, ce con ! Je fais non de la tête, mais déjà il n'est plus aussi gentil
- Viens, je te dis, salope, tout de suite
Il me pousse dans la douche et commence à me savonner. Il me demande de faire pareil, je le fais. Le toucher m'excite, son corps est superbe, je rebande à mort. Et lui... waou j'avais oublié qu'à 19 ans on recharge vite ! Il est déjà super dur. Il me regarde dans les yeux d'un petit air très macho
- T'as aimé, hein, t'es toute chaude là hein ? Tu veux te faire enculer, hein ?
- Non, Djamel, je suis actif...
- Ouais, tourne-toi, montre ton cul
Il me caresse et soupire.
- Putain, quel bo p'tit cul
Il commence à me doigter brutalement
- Non ! Arrête !
Il me coince d'un air méchant
- Toi, arrête de faire ta pucelle, t'as envie de mon gros zob, et je vais te le mettre bien profond
Encore ce mot ''profond'' qui m'excite, je cède et je le laisse faire
- C'est bien, t'es une salope de céfran qui aimes les zobs d'arabes hein ? Une tepu, hein ?
Ses doigts me fouillent, je me cambre en effet comme une pute
- Les blanches comme toi ça se fait sauter par les arabes, tu sais ça ? Toutes des chiennes pour nos gros zobs. Allez, penche-toi, pétasse
Il m'oblige à me pencher, cassé en deux dans la douche, lui va derrière moi. Il met beaucoup de savon puis je sens son gland. Je pousse un petit gémissement, ça l'excite
- Ouais, pétasse, tu la veux hein, tu vas l'avoir profond, mais je vais doucement
en effet il pousse doucement, ma rondelle cède, je crie de douleur, j'essaie de le repousser
- AIIIE non, arrête ça fait mal, t'es trop gros
- Oui, il est gros on zob, t'inquiète, tu vas aimer, tu vas en redemander
Il me tient fermement, je n'arrive pas à le faire sortir, mais il ne bouge plus. Quand je finis par me calmer, il reprend très doucement. Son chibre s'enfonce cm par cm, je crie mais il me tient. Mes cris diminuent, la douleur devient moins forte, mais je souffle comme un boeuf.
- Ca va mieux ? Allez, t'as presque la moitié, là
Même pas la moitié ? J'avais l'impression d'avoir un poteau électrique dans le cul. Je le supplie
- Arrête, ste plaît, arrête, non, j'ai trop mal
Il se retire et fait quelques va et vient, je serre les dents en soufflant, il commence à me niquer comme un barbare en mettant vraiment des très gros coup de reins, et moi je hurle de douleur et de de plaisir, puis soudain il accélère, il me pistonne de plus en plus profond, il respire très fort puis
- HH JE JUTE JE TE FECONDE PETASSE
Ca fait pas dix minutes et déjà je me fais remplir pour la 2e fois. Il est secoué de longs frissons, il prend manifestement un pied terrible.
Il me lâche, je m'écroule, il tombe sur moi. On reste comme a deux ou trois minutes sous la douche, puis je commence à étouffer
- Djamel, relève toi, je peux pas respirer
Il se relève et m'aide à sortir de la douche. Soudain il est très doux, très gentil. Il me caresse presque timidement
- Ca va ?
- Putain, j'ai mal partout, j'ai le cul en feu
Il sourit d'un air coquin.
- Elle est grosse hein ? T'as aimé ça
Je ne réponds rien. Son regard devient plus dur
- Alors ? T'as aimé ? Réponds
Je murmure ''Oui'' et il sourit à nouveau, soudain il m'embrasse tendrement. Il murmure
- T'es bonne tu sais, je veux que tu sois ma meuf.
Je me dis ''putain qu'est-ce que c'est que ce trip ?''
Il est parti, mais il est revenu dès le lendemain avec toutes ses affaires. Il s'est installé d'autorité chez moi. Dès le premier soir il m'a expliqué qu'il aimait les mecs, que dans sa famille et dans son milieu c'était pas possible, alors il cherchait une ''meuf céfran'', comme il disait. Il disait que tous ses cousins lui avaient dit que les céfran étaient des chiennes dociles quand elles avaient gouté à leurs zobs, et que lui aussi voulait une meuf docile.
- Toi t'es super beau et bien chaude, je vais bien te casser le cul et après tu pourras plus t'en passer
J'hallucinais mais bon il a fallu que j'obéisse. Il m'a sauté trois fois ce jour-là. La première fois c'était cinq minutes après être entré dans mon appart (il m'a carrément sauté dessus). Ensuite il m'a ordonné de lui faire à manger et m'a expliqué que je serais sa femme et qu'une femme doit obéir à son mari. Quel petit con ! Mais si sexy, j'étais toute excitée (merde je me mets au féminin, moi aussi) et j'ai obéi. Après il a dit
- Toute nue et au lit
Et il 'a baisé à fond pendant une bonne demi-heure. Je gémissais comme une pute et j'ai joui sans me toucher. Il l'a senti et s'est écrié
- Oui, mon gros zob te fais jouir, hein, tu l'aimes hein
Et il s'est mis à juter dans mon cul
- Je te féconde, je te marque, le céfran
Puis il m'a câliné et s'est endormi. Vers trois heures du matin, pas habitué à avoir quelqu'un dans mon lit, je me suis réveillé. Il dormait contre moi. Son corps superbe, sa petite gueule d'ange... Je me suis mis à le caresser. Il s'est réveillé et tout de suite m'a allongé sur le ventre et m'a grimpé. Sa bite très dure a trouvé on fion bien ouvert et bien lubrifié. Il m'a pénétré complètement à fond, j'ai senti les poils de son pubis contre mes fesses pour la première fois. Il avait réussi à me planter ! Il ne disait rien il m'a limé lentement et tendrement comme ça pendant près d'une heure, en mordillant mon oreille.
Je me suis tout à coup rendu compte que j'étais comme une fille que son petit ami contente la nuit. Ca m'a terriblement excité et soudain j'ai eu un orgasme du cul, j'ai couiné très fort, ça l'a fait rire et il a dit d'une vois très virile à mon oreille
- Tu jouis, hein, salope, tu sens mon gros zob
- Oui, oh oui, je le sens, c'est énooorme, ohh
Il continuait de rire et mes gémissements se faisaient de plus en plus aigus, il s'est activé d plus en plus vite et profond
- Ah, tu en veux, ah tu aimes la queue, tiens, prends ça - et ça - et ça...
A chaque ''ça'' il me donnait un coup de boutoir j'étais en extase, il s'est mis alors à accélérer puis, presque calme, il s'est vidé. J'ai senti au moins six jets en moi. Il a murmuré
- Tu sens ? Je t'engrosse, je te fais un bébé
Et là deuxième orgasme, je le croyais pas, je couinais si aigu que j'ai eu honte, d'autant qu'on a entendu des coups sourds. Les voisins !!! Merde !
Effectivement je suis devenu sa meuf, mes voisins immédiats me traitent avec un peu de mépris, car chaque nuit mes cris ne leur laissent aucun doute sur mon rôle dans notre couple !
nicojo
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org
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