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Mon professeur d'histoire
Ceci est une fiction : toute ressemblance à des personnages réels n'est pas intentionnelle.
;Aujourd'hui, je sors de cours après une longue journée de travail ininterrompu. Je ne sais pas pourquoi mais je suis particulièrement excité je me dirige naturellement vers ma voiture alors qu'une bosse commence à se former dans mon pantalon. J'arrive à ma voiture légèrement gêné puisque mon prof' d'histoire arrive au même moment, je m'empresse de grimper dans ma voiture flambant neuve et démarre.
Je le vois qui se glisse dans son véhicule à son tour et démarre. J'ai la curieuse impression qu'il me suit. J'arrive devant la maison de mes parents j'ouvre le portail électrique, entre et avance un peu sur l'allée de gravier pour arriver à hauteur de la bâtisse et je coupe enfin le moteur. Je me retourne et ne voit rien, ma conscience m'avait surement jouée un tour. Je décide, pour calmer mes ardeurs, d'aller piquer une tête dans la piscine je monte dans ma chambre chope une serviette propre et me dirige vers le bassin. Arrivé au bord de l'eau je me dévêtis et plonge nu dans la piscine. J'entends que l'on sonne à la porte, je sais que Myriam(la servante) va aller ouvrir. Et là, mon coeur fait un bond, je reconnais la voix de mon professeur d'histoire, je ne comprends pas ce qu'il dit mais je trouve que cela fait déjà un moment qu'il discute avec Myriam. Enfin, elle m'appelle. Elle me dit :
- Un homme souhaiterais vous parler, voulez-vous le recevoir dans le salon ou bien dans la salle de réception?
- Dans le salon, ça ira très bien, merci. Ah! et apportez nous de quoi nous rafraîchir, lui répondis-je gentiment, dîtes lui que je m'habille et que je le rejoins.
- Très bien, Monsieur, s'empresse-t-elle de me répliquer
Je me dépêche de monter, je rentre dans ma chambre, prend un boxer blanc, enfile un jean et un tee-shirt et je chausse mes mocassins. Je me parfume un peu et me dépêche de descendre les escaliers pour ne pas faire attendre mon invité. Celui-ci est assit dans un fauteuil de cuir rouge un verre de whisky à la main en train de regarder je ne sais quel match de foot sur l'écran mural. Je le détail de la tête au pieds : il est habillé d'un tee-shirt moulant en V et d'un jean très serré avec des chaussures de cuir marron. Il est plutôt bel homme, approximativement 1m 85 pour 70Kg. Avec une barbe de quelque jours et quelque poils qui dépassent de son tee-shirt, je le trouve très viril. Il m'interrompt dans ma contemplation en me disant :
- Ah, tu es là, la maison de tes parents est vraiment magnifique!!
- Vous trouvez?! lui répond-je du tac au tac
- Oh oui, elle est vraiment somptueuse, je ne savais pas que ta famille était si aisée? ! mais je ;ne suis pas là pour ça.
- Merci mais alors pourquoi êtes vous là alors?
- Voilà, depuis quelque temps j'ai remarqué que tes résultats, dans ma matière comme dans quelques autres, baissaient sérieusement, je voulais t'en parler tout à l'heure mais tu ne m'en a pas laissé le temps. Je me permet de te demander si tout va bien pour toi dans ta famille ou avec tes amis.
- Et bien, je dois avouer que je suis un peu bouleversé depuis que mon grand-père est décédé de plus ma copine m'a largué alors oui, je suis un peu mal en ce moment.. Je n'ai plus la tête au travail, mes parents ne sont jamais là, ils font ce qu'ils peuvent pour me soutenir mais ils sont pris par leur travail.
Et en disant tout cela, je me mets à sangloter. Monsieur ALBERU (mon professeur) s'approche de moi et me prends dans ses bras. Je me sens merveilleusement bien, je le regarde droit dans ses yeux bleu et lui déclare :
- Vous savez quoi?! Vous êtes un homme magnifique.
Sur quoi je l'embrasse sans lui laisser le temps de réagir, il me rends mon baiser avec plus de fougue que je ne m'y attendais. Il commence alors a me retirer mon tee-shirt et me caresse avec ses merveilleuses mains d'hommes, il sent un peu la transpiration mais ça m'excite, je n'ai ;jamais eu d'expérience homosexuelle mais je me sens en confiance. Il s'agenouille devant moi, défait les boutons de mon jean avec une extrême douceur le baisse et se retrouve devant mon boxer dans lequel se trouve enfermer le fruit de son désir. Il me lèche le sexe à travers le tissus mouillant ainsi mon boxer de sa salive et faisant apparaitre mon membre viril dur comme jamais. Il baisse alors le dernier rempart avant mon petit sexe. Je ne suis pas très bien membré seulement 15cm de long pour 3cm de large seulement. Il commence par déposer quelque baisers sur mon gland puis l'avale sur toute sa longueur, il joue avec dans sa bouche, lèche le bout du gland, le frein puis il descend le long de ma hampe pour me gober une couille après l'autre, je gémis de bonheur. Il me lève les cuisses et commence un annulingus, il me pose les cuisses sur ses épaules et enfonce son visage entre, il me titille avec le bout de sa langue puis me bouffe littéralement la rosette il me lèche comme si sa vie en dépendait je gémis de plus en plus fort, il me masturbe doucement de sa deuxième main mais je lui dit d'arrêter parce que je vais jouir, il ralentit ses mouvements pour s'arrêter. Je me lève du canapé et lui dit de prendre ma place. Je m'assois à califourchon sur ses genoux et l'embrasse, je l'embrasse amoureusement comme je n'avais jamais embrassé auparavant. Je lui retire son tee-shirt, lui lèche le torse, qu'il a légèrement velu, joue avec ses tétons et descend vers son nombril où une colonne de poils descend dans son pantalon. Je détache ses boutons de jean et m'aperçois qu'il ne porte aucun sous-vêtement. Je prends comme je peux le gros membre de mon professeur dans ma bouche mais m'essayant pour la première fois à cette expérience j'ai !
;du mal à
;tout prendre en bouche. J'enfonce son sexe au plus profond de ma gorge et déglutis pour lui masser le gland avec ma gorge. Il me laisse faire et semble apprécier ce que je lui fais. Je sors son sexe de ma bouche dépose de petits baiser sur son gland, lape un peu sa hampe et lui dit:
- Je voudrais m'essayer à la sodomie avez-vous fais le test ou bien devons-nous nous équiper de préservatifs?
- C'est bon, je suis clean de ce côté là.
Et alors qu'il est toujours assis je me mets debout sur le canapé et présente mon trou à son visage. Il y insère d'abord sans grande difficulté un doigt, joue un peu avec mon trou, me le lubrifie avec sa salive et il tente d'y mettre un second doigt qui met plus de mal à rentrer que le premier. Après m'avoir bien préparé le trou je me mets au dessus de son sexe toujours gonflé de désirs et commence à me pénétrer moi-même. Je hurle ma douleur quand la première partie de son membre entre en moi, je ne bouge plus pour m'habituer a ce sexe et je décide de m'y remettre sans plus attendre. Je compte jusqu'à trois et je pousse et en même temps je m'assois sur son sexe. De nouveau une violente douleur m'assaille mais je m'y habitue rapidement et commence à m'agiter sur sa queue afin de la sentir en moi. Je me retire prend mon professeur par la main et l'emmène dans la pièce à côté dans laquelle il à un lit. Je le pousse sur le lit m'allonge à côté de lui et je l'embrasse à nouveau. Je sens son sexe contre le mien me rendant ainsi compte de son excitation. Alors que je me dirige vers son sexe ardent il m'arrête et me demande :
- Met-toi à quatre pattes sur le lit, j'aimerais te pénétrer à nouveau.
J'obéis sans rechigner et me place tel qu'il me l'indique. Je sens alors son gland à l'entrée de mon trou quand d'un coup il s'enfonce au tréfonds de mon corps. Je crie de surprise et de douleur, lui qui était si délicat, vient de littéralement m'exploser les fesses. Il attend un peu puis entreprend un lent va et vient. Il me retourne, me soulève de ses bras puissants et m'embrasse langoureusement. Je sens les poils de son pubis me chatouiller l'anus ayant pour effet de me faire contracter les fesses augmentant encore le plaisir de mon amant. Il m'allonge sur le dos, prend mes jambes et les pose sur ses épaules. Il semble alors accélérer le mouvement de son bassin, faisant claquer ses bourses poilus sur mes fesses. Je sens qu'il se crispe un peu que ses testicules remontent et là, sans prévenir il m'éjacule dans les fesses, je sens un liquide chaud dans mon intérieur. Il sort son sexe, me le donne à "laver", ce que je fais avidement, et se penche vers mes fesses. Je sens sa langue qui s'insinue entre mes fesses et recueil le liquide qui commence à suinter. Je trouve ce traitement tellement excitant que je jouis sans même me toucher.
Après qu'il ait finis de me lécher le trou, il s'allonge sur moi répandant tout mon sperme sur lui comme sur moi. Je lui propose de prendre une douche et de rester manger avec moi ce qu'il accepte sans condition. Nous nous dirigeons vers la salle de bain nu comme des vers en nous tenant par la main. Nous prenons notre douche à deux en nous embrassant je lui frotte d'abord le dos, ensuite les cuisses et ainsi de suite..
Deux heure après, nous venions de terminer de manger, quand je m'assis sur ses genoux et lui glisse à l'oreille :
- Je crois que je vous aime..
Et lui me répond :
- Tu sais après ce que l'on vient de vivre ensemble je pense que tu peux me tutoyer et moi je suis tomber sous ton charme depuis bien longtemps..
Voilà dites moi ce que vous en avez pensé si les commentaires sont encourageant peut-être écrirais-je l'amour qu'ils eurent l'un pour l'autre.
scotish-guy
samsam.negrit@hotmail.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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