Premier amourEtant jeune, j'étais souvent seul et livré à moi même. J'habitais un petit village du Finistère et les jours ou il n'y avait pas école, je me retrouvais à battre la campagne. J'avais commencé un CAP qui avait été interrompu suite à un accident. Sorti d'affaire, dans l'attente d'un second apprentissage je me trouvais dés'uvré et retrouvais les chemins que je connaissais si bien. Ce jour la l'air était doux, ce devait être en octobre ou novembre. j'avais repéré un talus ou l'herbe était coupé, un talus qui semblait accueillant pour un exposition. Il était situé à peu prés au milieu d'une ligne droite de prés de deux kilomètres sur la route de Quimper. En voyant ce talus, je m'étais donné le défi de revenir à la nuit tombé et d'y exhiber mon cul pendant 5 minutes. Je m'allonge sur l'herbe cuisses légèrement écartés de manière à ce que mon postérieur soit bien visible de la route. 5 minutes, top chrono ! Je suis la depuis un peu plus d'une minute quand un bruit de moteur se fait entendre au loin. Mince ! je décide de rester : un pari est un pari. Bientôt en me retournant je peu apercevoir au loin le halo des phares de la voiture qui s'approche dans la série de tournants qui précède la ligne droite ou je me trouve. Elle viens de l'arrière, le conducteur ne pourra pas ne pas voir mon postérieur. J'hésite mais je décide de tenir. Peu être qu'il regardera ailleurs... La voiture arrive dans la ligne droite et bientôt les premiers reflets des phares apparaissent autour de moi, puis le talus s'éclaire de plus en plus, la voiture semble rouler vite, ça me rassure et je me dit qu'elle ne s'arrêtera pas, le chauffeur ne me verras peu t'être même pas. La voiture passe à ma hauteur très vite, je me dis que c'est gagné, mais à peine une seconde après je vois les feux stop qui s'allume, la voiture s'arrête à environ 100m devant moi... juste devant le petit bois ou sont mes vêtements ! J'abandonne mon pari et me laisse glisser vers l'arrière du talus, coté champs, je longe vers le bois en courant baissé, la nuit, la hauteur du talus qui est de plus planté d'arbres doivent suffirent à me cacher de la route, je rentre entre les arbres du bosquet et, abrité par l'obscurité je vais jusqu'à mes vêtements. Je distingue la voiture sur la route. Je suis excité, il le remarque et me propose d'aller chez lui, voyant que j'hésite, il me dit qu'il me ramènera chez moi , qu'il va me faire du bien etc... finalement j'acquiesce. A ma grande surprise il va alors me soulever dans ses bras et me déposer sur le siège passager de la voiture avec mon pantalon aux chevilles. Il ferme ma portière et monte à son tour. Il m'explique que chaque fois que je viendrais dans sa voiture il faudra que je sois comme ça, je suis surpris, je dis rien. Je me souviens c'était que c'était une Renault 15 et que je trouvais qu'il roulais vite. Pendant la route il m'interroge, qu'est ce que je fais ou j'habite, a l'époque je vivais avec ma mère, je réponds docilement à ses questions. On arrive chez lui, une maison dans les environs de Quimper, il me demande de laisser mon pantalon dans la voiture. Je m'exécute et c'est cul nu que je monte les marches du perron et rentre dans la maison. La il m'amène direct dans la chambre et me demande de me foutre complètement à poil. J'enlève mon Tshirt et mes tennis que je jette dans un coin. Je me souviens de lui me regardant en souriant, il était plus grand que moi bien plus costaud et devait avoir 45 ou 50 ans. Une fois que je suis nu, il va m'attirer et m'embrasser en me caressant comme il l'a déjà fait dans le bois. Puis il me demande de le déshabiller. Ce que je fais. Lentement suivant son désir. Je n'ai jamais vu de bite, à part ma mienne bien sur, mais celle la est d'une taille au dessus. Il va me demander de le branler, elle est chaude et douce. Il me demande si j'ai déjà suçé, je lui répond que non, il me dit que je vais apprendre, et me demande de lui embrasser le gland. Alors que je le fais il va me saisir par les cheveux et me contraindre à avaler sa bite, la il va me montrer comment téter la bite, en aspirer le gland, en bref j'ai mon premier cour appliqué de fellation. Une fois que ça lui suffit il va me demander de mettre à quatre pattes sur le lit car il est temps pour lui de s'occuper le mon cul. Il me fait prendre la position, tête sur le matelas, mains derrière la tête, genou écartés et hanches cambrés. La il va me doigter, c'est si bon que je vais me mettre à gémir. Il apprécie et m'encourage à continuer. Il va tant et si bien faire qu'après m'avoir lubrifier il va réussir à me sodomiser, en me faisant gémir de plaisir, il va jouir dans mon cul, puis me plaquer contre lui en me branlant jusqu'à ce que je jouisse à mon tour, c'était ma première éjaculation, ma première jouissance, une véritable extase, je l'entoure de mes bras, il va m'embrasser, il est très gentil, viril, protecteur, il à vu mon état, il sait qu'il peu me demander ce qu'il veut, que je suis conquis, que je suis à lui. Il me demande de rester nu et nous sortons de la maison. Encore, il va me porter dans la voiture. Il est tard il me ramène chez moi, je reste nu tout le long de la route, heureusement il fait nuit. Il s'arrête à deux maison de chez moi, en plein bourg. Il me tend mes vêtement en me disant que je pourrai les mettre une fois sorti de la voiture, pas avant ! Puis il me dit qu'il viendra me chercher le samedi suivant, on était jeudi, ça faisait dans deux jours. Il viendra me chercher à 21h, J'avais intérêt d'être à l'heure sans quoi ma mère saurais tout. Bien sur la menace est convaincante, mais inutile car je serai venu même sans ça. Le samedi suivant à 21 heure je suis à l'endroit convenu. Oh oui, il est venu me prendre à l'heure, mais j'étais loin de me douter de ce qui m'attendais, et de ce qui m'attendrais plusieurs samedis par la suite. Mais ça c'est une autre histoire ... oh pardon : d'autres histoires. Eericeeric31@live.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |