Nabil -5Tous les dimanches matin, c'est petit déjeuner en famille obligatoire, et ce aux alentours de 10H. Et le fait qu'il y ait une personne de plus ne constitue pas un motif suffisant pour déroger à la règle. Mon réveil sonne. Nous avons une heure avant d'aller rejoindre mes parents à la cuisine. La sonnerie n'a pas réveillé Nabil. Il dort profondément. Je le regarde quelques minutes. Sur le dos, la tête tournée de mon côté, posée sur mon oreiller. Il n'a pas dû beaucoup se servir du sien... J'admire son visage, son torse et son ventre découverts. Je caresse sa joue, mes doigts glissent dans son cou, ;continuent puis jouent quelques instants avec les quelques poils, courts et noirs, présents entre ses pectoraux. La quiétude qui émane de lui à ce moment précis fait que je pourrais le regarder des heures. Un petit baiser sur la bouche et je file prendre une douche. Dans la vapeur de l'eau chaude, l'esprit encore embrumé, je repense à la nuit dernière, à ce que nous avons fait, à tout ce que cela implique. Tout est différent à présent. Tout a changé. Ma relation avec Nabil a changé, ma relation avec les autres aura probablement changé, et enfin, j'ai changé. Je ne me sens pas plus grand ou meilleur. Simplement différent. Il rit de plus belle. Nous retournons ensuite dans ma chambre, glandons sagement vautrés dans le canapé. Je ne réponds pas. Je me mets à genoux devant lui. Il me sourit. Ses cuisses s'écartent. Je les caresses, remonte jusqu'à l'élastique de son caleçon et le descends. Il m'aide en se soulevant un peu. Sa bite est là, encore au repos, reposant lourdement sur ses couilles qui pendent un peu. J'approche mon visage, la regarde, puis prends son gland en bouche. Ses cuisses s'écartent encore un peu plus. Très vite, je l'avale complètement, chose que je n'arrive pas à faire quand il bande. La situation m'excite comme jamais je ne l'ai été. Je suis agenouillé devant Nabil, le nez dans sa toison pubienne, sa queue encore molle toute entière dans ma bouche, et je me sens bien. Je l'aspire et la tète tendrement. Rapidement, elle gagne en volume puis en rigidité. Je m'applique à lui prodiguer la même pipe que la veille, puisqu'il a eu l'air d'apprécier. Mon regard croise le sien, il a la tête un peu en arrière, il enlève son débardeur. Ses yeux sont pleins d'une lubricité folle et me motivent à lui donner encore plus de plaisir. Je suis aux anges. Je redouble d'efforts mais trop tôt, il m'arrête, il n'en peut plus. Il souffle comme un boeuf et commence à transpirer. Il me relève, me sert contre lui, m'embrasse comme un fou. Mon gilet vole aussitôt, suivi presque immédiatement de mon pantalon et de mon caleçon. Tout en continuant à m'embrasser, ses mains s'attaquent à mes fesses, l'une les écarte pendant que l'autre descend le long de ma raie pour tout de suite titiller et exciter ma rondelle. Nos deux membres, tendus au possible, frottent l'un contre l'autre, comme nos corps d'ailleurs. Tout son corps descend un peu et sa bite se retrouve entre mes cuisses. Il la fait glisser quelques instants entre mes cuisses serrées et puis fermement, il me retourne et me fait mettre à quatre pattes sur le canapé. Je lui tends mon cul, il lui appartient de toute façon. La tête plaquée contre l'assise de la banquette, je sens son visage se coller contre mes fesses, sa langue partant à la recherche de mon excitation et par la même occasion de mon plaisir. À la différence de la nuit dernière, il s'arrête fréquemment pour me mettre un doigt, puis deux. La simple idée de ce qu'il est en train de me faire me fait totalement grimper. Puis sa langue remonte le long de ma colonne, atteint ma nuque, puis mon cou et trouve enfin ma bouche. Sa queue toujours humide glisse entre mes fesses qui sont complètement trempées. Vient enfin le moment où son gros gland tape ma rondelle, et la force. Son mouvement est lent mais continu. Avec douceur, petit à petit, il entre en moi, jusqu'à ce que ses couilles s'écrasent contre mon cul. Un râle sonore m'échappe, suivi bien sûr d'une multitude d'autres. Son va et vient commence, il ondule comme un dieu, et rapidement, il se met à me pilonner avec force. La sensation n'a rien à voir avec notre petit jeu de la veille. Ses hanches claquent contre mes fesses. J'ai le cul en feu et je ne peux m'empêcher de couiner tant le plaisir est immense. Il me lèche l'oreille et me souffle: C'est fou comme ses quelques mots suffisent à ce que mon plaisir soit encore plus intense. Après une dernière série de coups aussi secs que rapides, il se retire, ;me demande de me mettre sur le dos. Je m'exécute et m'installe les fesses sur le bord du canapé, les jambes écartées et relevées. Mais au lieu de continuer avec sa bite, il recommence à me bouffer le cul comme un sauvage. Sans me quitter du regard, il entreprend une sorte d'aspiration en secouant rapidement la tête de gauche à droite. Le résultat est tout simplement divin. Puis sa bouche et sa langue sont de nouveau remplacées par sa queue, qu'il rentre d'un coup. Ses vas et vient sont moins amples que tout à l'heure mais tout aussi rapides et violents. Il ne me quitte pas des yeux. Dans un sourire, il sort sa langue, puis s'approche de mon visage. Je saisis sa nuque et me mets à lui sucer littéralement la langue. S'ensuit un baiser bestial. Avant de se redresser, le front collé au mien, il me souffle un "je t'aime" d'une tendresse inouïe. Puis vient la dernière ligne droite. La sueur perle partout sur son visage et sur son corps. Il donne l'impression d'être exténué mais continue sa besogne avec autant d'acharnement. Je commence à me branler. Mon gland est poisseux de sperme. Puis dans des derniers coups de rein cette fois ci amples et rapides, il explose dans mon cul en lâchant plusieurs "whou" rauques et virils. Je jouis moi aussi plusieurs giclées sur son ventre. Épuisé, il s'écroule sur moi, la tête sur mon torse. Je caresse son épaule et son crâne, tous deux dégoulinant de sueur. Mes jambes se resserrent autour de lui, pour lui faire comprendre que je veux que ce moment dure toujours. Quand nous entrons dans la douche, il est toujours essoufflé et il ne me laisse pas m'éloigner de plus de dix centimètres, ses bras résolus à ne plus me lâcher. Il a l'air dans un état second. Après m'être nettoyé, je le lave consciencieusement, amoureusement, il se laisse faire, adossé contre la paroi, les yeux fermés, la mine réjouie. Je m'attarde sur son entrejambe, je masse sa queue ramollie mais toujours aussi grosse, pour lui montrer toute la reconnaissance que je ressens à ce moment précis. Nous nous séchons et nous écroulons dans le lit. Sous la couette, Nabil est blotti contre moi, me serrant toujours, comme pour me montrer lui aussi sa gratitude. Nous passons une petite heure au lit, à nous câliner à l'abri des regards, la couette semblant former un monde qui n'appartient qu'à nous... Puis vient le moment du départ. Il doit en effet rentrer, et tout en faisant son sac, son visage s'assombrit de plus en plus. Assis son mon lit, je le regarde, en essayant de ne rien montrer de ma tristesse à le voir partir. Il ne reviendra pas avant mercredi. Son grand frère revient en ville pour la journée demain, et mardi, je vais faire les boutiques avec ma mère. Je suis remonté, la mort dans l'âme, j'ai remis un peu d'ordre dans ma chambre, l'esprit chargé de tous les souvenirs accumulés durant ce weekend incroyable, le meilleur de toute ma vie. - Il y a ton odeur sur mon oreiller... Ptigarsptigars1992@live.fr Suite de l'histoireRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |