les intrus -2Apres ce moment privilégié passé avec ;mon bel invité, nous nous sommes douchés et lorsque nous sommes revenus dans le salon, nulle trace de son frère. Il était reparti aussi discrètement qu'il était entré. Je croyais presque avoir rêvé. Pourtant j'étais certain de l'avoir vu nous épier. ;Lorsqu'il est rentré, il a fait comme si de rien était, nous avons mangé et sommes allés nous coucher. Le lendemain matin je me réveillais avec l'excitation habituelle suivant une bonne nuit de sommeil. Je me dirige vers la salle de bain mais le jeune frère est déjà dedans porte ouverte ;face à la glace. Il me tourne le dos mais me voit arriver grâce au miroir, il est nu comme un vers et se dandine au rythme de la musique passée à la radio. Je suis encore dans un demi sommeil, je vois ce bel ephebe nu devant moi bougeant ces jolie fesses lisses, mon erection du matin prend des proportions telles que mon sexe m'en fait mal. Je suis dans l'entrée de la porte, juste vêtu d'un vieux caleçon ;et son joli petit cul n'est qu'à quelques centimètre de mon gland. Je m'imagine déjà bouffer ce joli petit cul vierge et imberbe avant d'y insérer ;ma queue . Mais je reprends mes esprits, et lui demande ce qu'il fait déjà debout et si son frère dort encore , sans trop d'espoir qu'il me réponde, je dois bien l'avouer. Mais j'ai le droit à une réponse partielle, en quelques mots, grâce à quoi il me fait comprendre que son frère dort encore. ;Il s'est retourné pour me répondre, et je peux de nouveau admirer son torse imberbe et joliment dessiné, mais ce qui rive mon regard c'est son sexe. Je ne peux détacher mon regard, il a quelques poils fins au-dessus de ;sa queue déjà de bonne taille et de jolie couilles toutes lisses. Lui n'est pas en érection (dommage d'ailleurs) mais moi je n'ai pas débander et ne peux bander plus fort. Je prends alors conscience qu'il ne peut que remarquer mon erection, je baisse mon regard vers ma queue pour constater que mon gland dépasse du haut de mon vieux caleçon. Je remonte mon regard au niveau du sien en rougissant mais lui se contente de sourire ouvertement . Je me dépêche d'aller sous la douche avant de craquer. Je le rejoins pour déjeuner et son frère ne tarde pas. ;Ils quittent "appartement au même temps que moi mais je leur laisse une clé chacun. La semaine se passe rapidement, le plus grand rentre tard le soir bien après le diner, il a trouvé un petit boulot et il m'explique qu'il espere aussi faire embaucher son frère rapidement. Enfin c'est le sens que j'ai donné à ces propos, j'ai toujours du mal à tout comprendre. Le vendredi , je rentre tot pour voir les ouvriers et discuter des travaux. A peine ont-ils quitté l'appartement, le plus jeune rentre. Je file sous la douche et en sortant je reste en boxer la chaleur est insupportable et me pause dans le canapé à mater la télé. Le petit prend ma suite mais lui sort de la douche et me rejoint dans le salon entierement nu. Comme à chaque fois l'effet est immédiat et je bande direct. Il se place devant moi et me sourit, se met à genou entre mes jambes, degage mon sexe de mon boxer et commence à me sucer maladroitement. Je le laisse faire je suis aux anges. Je caresses ses cheveux encores humides, je me penche un peux pour toucher son joli torse, je descends encore et attrape son sexe que je sens dur entre mes doigts. Sa langue passe inlassablement sur mon gland. Je me penche un peu plus et étend le bras pour caresser ses belles fesses tandis qu'il continue à me sucer. Je lui passe un doigt sur la rondelle, il frémit. Je suis au bord de l'explosion alors je m'empresse de le relever et le retourner pour avoir accès à ce joli petit trou qui m'a tant fait fantasmer depuis une semaine. Je le leche doucement, tendrement meme , j'insere ensuite ma langue à l'interieur, d'abord juste au bord mais il s'ouvre à moi et je glisse profondement ma langue en lui. J'en profite pour saisir sa queue et le branler. Il bande bien dur, ma langue fait bien son travail. Il s'appuie sur la table basse face à nous et me tend un peu plus son petit cul. Je me leve et place mon sexe contre son petit trou et me frotte entre ses deux jolies petites pommes puis place mon gland tout contre sa rondelle et commence à pousser pour entrer. Le bout de mon gland entre difficilement malgré la salive que j'ai laissée en lui bouffant le cul et toute la mouille de ma queue due à l'excitation qu'il me procure. Je sens aussitôt qu'il se contracte et les deux malheureux centimetres entrés ressortent aussitôt. Je décide alors de m'allonger sur le canapé, lui presentant mon pieux, il comprend et m'enjambe. Je le place! ;bien po ur que sa rondelle soit calée contre mon gland. Je vois face à moi, son sexe toujours bien raide et il descendre doucement, je sens mon sexe buter contre l'entrée de son trou. Encore deux petites secondes et mon gland entrera complement en lui. Mais la porte d'entrée s'ouvre, et son frère apparait. Il est face à moi et le petit tourne la tête pour voir qui rentre. ;Le plus jeune se lève brusquement, je me redresse un peu. ;Le grand frere ferme la porte et commence à parler au plus jeune. Je ne comprends pas ce qu'ils se disent. Il se fâche ; il échangent encore quelques mots quand le plus grand met un gifle au plus jeune, le retourne et le plaque contre l'accoudoir du canapé face à moi. Je ne peux plus bouger car l'epaule du petit est sur mon tibia gauche et le grand le maintien par la nuque appuyant tout le poids du petit contre mon tibia. Maintenu de la sorte le cul en l'air le plus jeune relève les yeux, mouillés de larmes et me regarde. Je ne sais pas quoi faire mais le grand ne me laisse pas reflechir. De sa main libre il sort sa queue de son pantalon et penetre le plus jeune d'une seule traite. Le visage du jeune se crispe et il sert les dents, sans lacher un cri. ;Il le lime brutalement, des grands coups de rein bien profonds et rapides pendant 5 longues minutes, puis il se cale au fond de lui et pousse un grand rale, fait encore quelques vas et viens et se retire et se dirige vers la salle de bain en me disant " vas y à toi maintenant, tu peux ". Et il disparait. La pression sur ma jambe dégagée je peux me lever. Le jeune avance un peu et s'allonge sur le canapé sur le dos en relevant les jambes, comme son frere moins d'une semaine avant, mais lui ne detourne pas le regard comme en signe de défit. La scene m'a terriblement excité et mon erection est toujours la , plus que jamais. Je me ;mets en place, et colle mon gland contre sa rondelle encore ouverte. Un peu de sperme coule de son trou. Je place ses jambes sur ses epaules et entre en lui doucement et commence à le limer. Je saisis son sexe et le caresse. Il ne tarde pas à bander de nouveau au rythme de mes lents va et vient et de ma branlette. Son cul est tout serré et chaud. Je sens toute l'intensité de la pénétration, je sens que ca monte, j'accélére le rythme et le baise de plus en plus fort. J'accélère au meme temps le rythme de ma branlette sans m'en rendre compte et il jouit en poussant un petit gémissement. Un joli sperme bien blanc et épais coule et rem! ;pli son nombril. Je sens les contractions de son sexe entre mes doigts mais aussi les contractions de son cul dejà tres serré autour de ma queue. Il a jouit et je devrais arrêter mais je suis trop prêt de jouir moi meme pour arrêter. Son sexe se ramolli dans ma main et je continue à le limer je sens que ca monte je donne un dernier grand coup et me cale bien au fond pour lacher tout mon jus bien au fond de son boyau. Je retire doucement ma queue de son trou et constate qu'un mélange du sperme de son frere et du mien en profite pour s'ecouler. Je me penche et gobe son sexe à demi-mou, puis leche son nombril et son ventre pour le nettoyer de son jus, j'avale tout sans en perdre un goutte. Je m'avance et me laisse aller à l'embrasser. Il me rend mon baiser. On se lève et se dirige vers la salle de bain. Je constate que le grand sort de la douche. Il me sourit et me demande si c'était bon, sans un regard pour son frère... JohanhotLa suite iciRêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |