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Exhibition dans le RER 2
épisode 1 : https://cyrillo.biz/histoire/exhib-rer.html
Pas la peine d'avoir lu le premier récit pour comprendre. Ce que vous devez savoir c'est je m'appelle Samir, 24 ans et j'ai gros engin de 24 cm. Je suis aussi un exhibitionniste dont le terrain de jeu favori sont les transports franciliens.
Je vais vous raconter deux histoires car elles se sont déroulées le même jour. C'était au mois de février dernier. La première s'est passé avec un jeune mec look catho coincé. Et la seconde avec 2 mecs (un jeune black et un sexagénaire bien pervers).
Le matin vers 10h30 je prends le RER C. L'heure de pointe est passée et les wagons sont presque vide sur cette partie de la ligne. C'est un train à deux étages. Je me trouve en haut. J'écoute de la musique, les pieds confortablement posés sur le siège en face. Je suis habillé en survêt basket avec casquette.
Il y a une dame assise pas loin. Elle me regarde d'un air scandalisé à cause de là où je pose mes pieds. La connasse me tape sérieusement sur le système alors je la fais partir en commençant à me gratter les couilles ostensiblement. Elle fait sa prude et elle quitte le wagon en disant quelque chose à voix basse.
C'est là que je remarque la présence d'une autre personne. Le mec a 20 ans environ. Il est genre super catholique. Il me rappelle quand je vois des reportages à la télé sur des familles nombreuses et qu'on montre le fils ainé propre sur lui et très discipliné.
Le mec rougit un max en me voyant me tripoter les couilles. Il est très mignon dans son genre avec des cheveux bien coiffés, des yeux bleus et une peau très pale qui ne demande qu'à être marquée. Je parie qu'il est puceau en attendant le mariage.
Je lui dit : "Qu'est-ce que tu regardes bâtard?"
Il tourne la tête brusquement et fait semblant de ne pas me regarder.
Je sors alors ma bite qui commence à grossir. Je lui parle en même temps.
-"Je suis sûr que t'as jamais vu une aussi grosse bite."
Il reste immobile. Ça m'énerve alors je lui dit "regarde moi quand je te parle fils de pute!". Il tourne la tête une seconde et je vois ses yeux grossir en voyant mon zob mais il détourne sa tête immédiatement après.
Alors je décide de forcer les choses. Je me lève et je pars me tenir debout juste devant lui. Ma bite est à quelques centimètres de son visage. Je parie qu'à cette distance, il est en train de respirer ma bonne odeur de mâle. Mais il garde le visage tourné vers la fenêtre et il fait comme si je n'étais pas là. En vérité, je sais que je lui fais très peur et qu'il est en train de pisser dans son froc.
Je prends ma grosse bite à moitié molle et je la pose sur son visage. Il fait un "Oh" de surprise mais il ne bouge pas. Son nez est directement collé contre mes grosses couilles. Je me moque de lui :
-Tu vois c'est beaucoup mieux comme ça. Tout à l'heure t'avais une sacrée tête de con. Mais maintenant tu ressembles à une bonne petite pute avec un gros zob de rebeu sur la gueule! Vas-y suce-moi ou sinon je te fous une baffe.
Il reste immobile.
-Tu l'auras cherché bâtard!
Je lui donne une grosse gifle. Il obéit alors et commence à me pomper. Au départ il met juste ma bite dans sa bouche mais après il comprend comment ça marche et il commence à sucer réellement. Je prends tout de suite mon pied tout en contrôlant par la fenêtre le trajet du train. A l'approche d'un arrêt, je préfère m'assoir sur un siège du fond et je le fais mettre à genoux entre mes jambes. La situation m'excite au plus au point car je sais que le train va bientôt arriver à une station où beaucoup de gens vont monter. Je l'attrape alors par les cheveux et je lui nique la gueule bien comme il faut. Le mec a les yeux qui pleurent et de la salive qui coule de sa bouche. Je prends plaisir à salir et à dévergonder ce fils de bonne famille. Je l'imagine le soir rentrant chez lui et embrassant ses parents tout en sachant qu'il a servi de vide-couilles à un rebeu plus tôt dans la journée. Je crache mon jus direct dans sa bouche. Il avale une partie mais recrache le reste. J'ai bien envie de l'obliger à lécher le sol mais je me dis que j'ai suffisamment abusé de ce bon garçon.
Je repars m'assoir et je le vois réarranger ses cheveux et essuyer son pantalon au niveau des genoux. Puis le train s'arrête et les gens commencent à monter. Le mec part s'assoir sur un siège vers le milieu du wagon. Ça se voit qu'il est tout retourné et qu'il essaye de comprendre ce qui vient de se passer.
Au moment où j'arrive à mon arrêt, je me lève et je passe juste devant. Je remarque qu'il regarde mon entrejambe pendant que je marche. Quand il lève la tête, je lui fait un clin d'oeil. Il rougit mais avec un petit sourire en coin. Trop mignon!
Dans la soirée, je sens que je suis encore bien chaud. C'était bien de se faire sucer mais cette fois j'ai envie de plonger ma teub dans un cul bien chaud. Je prends alors le RER A. A cette heure-ci, il y a beaucoup de monde. Les gens se bousculent un peu. Je suis debout. Devant moi, il y a un beau black avec un cul rebondi comme je les aime. Le type a l'air sportif hétéro mais je me dis pourquoi pas. Alors petit à petit je me colle à lui par derrière. Je remarque de l'autre coté du wagon un homme blanc âgé d'une soixantaine d'années. Je crois qu'il a remarqué mon manège. Il me sourit vicieusement. Il a une sacoche qui cache son entrejambe mais je suis sûr qu'il doit bien bander le vieux pervers.
Le fait d'être regardé m'incite à être plus entreprenant avec le black. Je me colle vraiment à lui. Il se retourne brusquement mais je reste calme et je fais comme si de rien était. Je sens qu'il me dévisage de la tête aux pieds. Apparemment, il me trouve à son goût car il se remet en position et il cambre légèrement son derrière. C'est mon signal. Je me colle contre lui et je lui fait bien sentir mon gros zob. Personne ne fait attention à nous dans le wagon hyper bondé. Sauf le sexagénaire qui ne nous quitte plus du regard. Ça m'excite tellement que je n'en peux plus. Il faut que je trouve le moyen de baiser le renoi.
Lorsque l'arrêt suivant arrive, j'ouvre les portes et je précipite avec moi le jeune black. On est à Rueil-Malmaison. Je connais un endroit assez discret près de la gare. Comme il fait nuit, je suis sûr que l'on passera presque inaperçu. Dès qu'on arrive à l'endroit en question, je plaque le black contre le grillage et je baise son jean. Le mec est très salope. Il cambre son cul et me demande de bien le baiser. J'enfonce deux doigts dans son trou. Après quelques minutes, je les remplace par ma queue. Dehors il fait vraiment froid. Ma tige en revanche est super bouillante. Je l'encule comme un animal. Il gémit et il tortille du cul. Je lui dit des mots crus. Je le traite de salope, de grosse chienne, de pute à rebeus, de femelle en chaleur,...Le renoi apprécie et il branle en même temps sa queue bien dure. Il jute en premier et son anus se contracte autour de mon zob ce qui me fait cracher mon sperme au fond de son cul. C'est durant l'orgasme que je remarque que nous avons été suivis. Le sexagénaire se tient à quelques mètres en train de se branler. Je me retire du cul du noir et je me tourne vers le monsieur :
-Tu veux me nettoyer la bite?
-Oh oui bien sûr!
Il se précipite pour s'agenouiller devant moi et il prend ma grosse queue dans sa bouche. En même temps il se branle mais ça ne dure pas car il éjacule en moins de 40 secondes.
La bite bien propre, je la range dans mon fut et je me casse. Cette journée a été l'une de mes plus belles journées d'exhibitionniste dans le RER. Ce sont des jours comme ça qui rattrape les dizaines d'autres jours où rien ne se passe.
PS : merci pour tout vos commentaires. Je les ai tous lu mais je n'ai pas eu le temps de répondre à tout le monde. A ceux qui demandent qu'on se fixe rendez-vous dans le RER, je ne fonctionne pas comme ça. Je marche au feeling et la spontanéité est un élément essentiel pour moi. Désolé.
Supercho
mecsupercho@gmail.com
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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