n4 : L'enterrement de vie d'hétéroDans quelques semaines, un ami à moi va se marier (si jeune, le pauvre), avec des amis on a donc organisé un enterrement de vie de garçon. Ce fut l'occasion mon sport préférer les "bars parallèles" où l'on passe d'un bar à un autre. Bref on a voyagé, les Antilles, la Russie, l'Écosse, Marseille, la Pologne, le Mexique, l'Angleterre, le Bordelais, la Touraine, la Champagne, etc ... bref on est pas reparti en voiture. On a dormi chez un copain, 4 dans un canapé-lit, 2 par terre, 2 dans la baignoire et un au-dessus des toilettes. Le lendemain, à l'aube vers 15 heures, on commence à émerger, les gens commencent à partir. Moi j'en profite pour aller me brosser les dents (mais quelle haleine !!!) et pour finir ma nuit sur le canapé (non c'était pas moi au-dessus des toilettes). Vers 19 heures, je suis seul avec Arthur (l'heureux propriétaire du studio, qui est beau mec, plutôt petit 1m65, bien musclé), je me réveille, me lève, m'étire puis je me repose sur le canapé-lit. Or comme tous les hommes au réveil, je bande sévère, et en plus je suis en boxer. C'est à ce moment qu'il sort de la salle de bain tout ... propre et habillé (c'est un studio pas un Sofitel). Il entame la conversation : - T'es encore là ? - Et oui et j'ai faim. - Et tu bande aussi. C'est moi qui te fait cette effet ? - Évidemment, dit-je en pensant qu'il le prendrait au second degré - Ha bon, t'es gay ? Dit-il interloqué - Non, dit-je en devenant tout rouge - Ok, et se pose sur le canapé-lit A partir de là, je sais pas si il me croit ou pas et pourquoi il s'est mis sur le canapé. Il me pense gay, et veux essayer ? Il me pense gay et il s'en fout ? Il me pense pas gay et il s'en fout ? Une petite heure passe. On regarde la télé, en comatant à moitié allongé sur le canapé-lit. Puis je le mate discrètement, je me mets à rebander, et étant toujours en boxer, c'est pas discret. Il finit par le remarquer, mais ne dit rien, et continue à regarder la télé. Puis, il glisse sa main sur mon boxer, et me caresse la bite à travers le tissu. Je le regarde étonné, et me lance un grand sourire et dit : - Donc t'es gay ? - Non, je suis bi. - Ha ok, bref t'aime la bite ? me demande t-il, toujours en me caressant le sexe - Ça dépend des quelles, et surtout du mec. - Et j'ai mes chances ? - T'as pas une copine normalement ? Et t'es bi ? - Est-ce que tu la vois dans la pièce là, et je suis curieux. - A mon avis t'as toutes tes chances. Tentes quelque chose pour voir ? Et là, il prend ma boxer pour le descendre et mets ma bite dans sa bouche. Il me suce avec entrain mais avec les maladresses des débutants. Il continu pendant quelques minutes, puis il s'arrête et me dit : - C'est pas dégeu !! Mais je suis pas sur de m'y prendre bien ? - Ça va, allez à mon tour, et met toi à poil. Il se met tout nu, et je découvre un joli trésor, un tube de 23 cm, je bave, je suis impressionné, ça fait bizarre avec ça petite taille. Mais je ne réfléchit pas de trop et je me lance sur l'Everest. Je la prend en bouche, tout ne rentre pas. Mais je m'applique à faire rentrer le maximum. Arthur, pendant ce temps, gémit, il a l'air d'être au anges. Je gobe ses couilles, une par une, puis lui lèche le mat et le gland. Puis je remets ça en bouche, je sens qu'il va bientôt partir. Je m'arrête donc, pour qu'il se calme. - Putain c'est bon, me dit-il, meilleur qu'avec Laurine. - C'est normal, les mecs si connaissent forcément puisqu'on aime ça. - Mais pourquoi tu t'es arrêté, je sentais que ça venait. - Justement, avant que ça monte trop, il faudrait d'autres choses, lui dit-je, en lui palpant les fesses. - Oh non, ça devient hard là - T'es curieux, non ? - Bon ok, je me mets comment ? Je le mets en position levrette, et je commence à lui mettre un doigt, c'est étroit, alors j'en mets deux, je change de place de façon à qu'il puisse me sucer me même temps. Il me suce, c'est mieux que la première fois, il a compris comment ça marchait. Je continue en lui mettant un troisième doigt, je prend une capote et du gel dans sa table de chevet. Je me met face à son cul joliment musclé, et son trou un peu ouvert, j'enfile ma capote, applique le gel, puis je commence à le pénétrer doucement, très progressivement, je sens en lui une certaine raideur. Ma bite pénètre lentement, et il se détend au fur et à mesure. Arrivé au fond, je commence les vas-et-viens, doucement et intégralement afin qu'il profite de toute la longueur de ma bite. Au bout d'une dizaine aller-retours, je commence à accélérer le rythme, il passe du gémissement sensuel aux cris d'excitation en un rien de temps. Ces cris me donnent davantage d'entrain. Cette séance de d'accélération dure 20 min, et je redescend le rythme, puis le ré-accélère, et ainsi de suite. Après quelques minutes, je sens la sève monter, mais je décide de continuer, je vais pas lui imposer directement mon sperme dans sa bouche. Je me raidit et rempli la capote de mon foutre. Je sors de là. Je suis épuisé. On se rallonge, lui bande toujours. D'un coup il prend ma nuque, et m'amène sur sa bite, je sens qu'il va falloir finir le travail. Je prend de nouveau sa bite en bouche (putain qu'elle est bonne !!!). Je lui lèche son sexe, puis lui lèche son gland et enfin ses boules, je lui gobe même. Je continue à sucer son mat, je lui suce avec envie, entrain, faim. Lui gémit de bonheur. Je suis maître des opérations, je vais des vas-et-vient langoureux, puis rapide, toujours avec un regard coquin et gourmand. Il gèmit de plus en plus. Je sens son corps se raidir, et pose sa main sur ma tête, histoire de bien me faire comprendre de le finir cette fois-ci. Je continue, puis je sens qu'il lâche tout, avec la fougue de plusieurs heures d'excitation. Je sens plusieurs jet de sperme chaud, jaillir dans ma bouche, j'en laisse la moitié tomber tellement qu'il y en a. J'avale, avec gourmandise sa semence. On sort du lit, nu, luisant de sueur, bandant toujours un peu (mais mollement). Nous décidons de prendre une douche, oui, UNE douche. On rendre dans la baignoire, on allume la douche, on commence à se laver, puis à se frotter (l'un à l'autre sinon ça n'as pas d'intérêt). Et revoilà que je bande de plus belle, lui aussi d'ailleurs. Mais ce coup-ci, c'est lui qui va avaler. Je lui pose ma main sur son épaule et l'invite à se mettre à genoux, sous la douche. Il commence à me sucer, encore mieux que la dernière fois, mais la ça va être rapide, tellement que je suis excité. Au bout de seulement quelques minutes, je lâche tout dans sa bouche, plusieurs jets puissant poussé par la pression de l'excitation de la journée viennent s'écraser au fond de sa gorge. Il n'avale pas et recrache tout (c'est pas écolo, ce gaspillage). On fini cette douche. Je me rhabille assez rapidement. Il faudrait pas qu'on recommence encore, je suis fatigué. Arthur m'avoue, avant que je parte qu'il a bien aimé cette partie de bite en l'air. Et que, il se pourrait qu'on remettent ça. Nicolas.Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |