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Encore une fois collé !
Salut à tous. Je m'appelle Fred et cette histoire m'est arrivée quand j'étais en terminale. Je ne sais plus ce que j'avais fait mais je me suis retrouvé collé à devoir passer mon samedi après-midi au lycée à faire du rien avec d'autres blaireaux comme moi.
Le jeudi j'ai eu un mot m'indiquant que ma colle était transformée en travail " d'intérêt général " car il fallait déménager 2 salles de cours dans une autre plus récente en vue de refaire les premières (ou un truc du style).
Le lycée profitait encore une fois de la main d'oeuvre gratuite et corvéable des lycéens.
Bon, au moins j'aurais quelque chose à faire.
J'en ai profité pour voir ce qu'il y avait à déplacer. Et une des salles était un vrai bordel de cartons et vieux matos.
Le samedi matin j'ai cours juste 2 heures donc je rentre chez moi.
L'après midi est prévu chaud et je ne suis pas super frileux alors je me change en mettant des fringues qui ne craignent rien : vielles skets, un vieux short de foot et un débardeur. Je me mate dans le miroir et me dis que ca ne me va pas mal. Surtout le débardeur qui moule mes pecs musclés et déjà bien velus..
Le short aussi moule bien mon cul et vu que je le porte à cru, vaut mieux pas que je bande...
Mais pas de raison de bander en déménageant non ?
Je retourne donc au lycée pour 13h30. Et voit mon groupe de collés. 1 meuf, 2 gars et le prof. J'apprends aussi que je suis celui qui a pris le plus et donc quand les autres partiront, j'aurais encore 2 heures à tirer. Et merde !
Le prof se fout sur une chaise à lire en nous donnant des ordres et nous on trimballe des trucs. Heureusement un des mecs collé avec moi est assez dégourdi alors a 2 on avance bien. Mais les 2 heures passent vite et je me retrouve tout seul.
Le prof me permet gentiment de prendre une pause de 15 minutes.
Je pose une table dehors au soleil, vire mon débardeur et me couche sur la table, les mains derrière la tête, les aisselles au vent pour me rafraichir. Le soleil est déjà chaud et c'est bon. Je ferme les yeux. Je sens mes boules commencer à se détendre entre mes cuisses pour aller toucher la table plus fraiche.
J'entends le prof qui se lève et approche.
Ses pas s'arrêtent. Il ne dit rien.
Je garde les yeux fermés sans bouger, ouvre a peine les paupières pour le voir qui me mate.
Puis je me dresse en contractant les abdos.
;Il a presque un mouvement de recul tellement il est surpris et il rougit.
Je demande si je peux aller pisser et saute sur le sol.
Une fois aux toilettes, je pisse, m'asperge d'eau pour me rafraichir le torse et boit une bonne rasade. Ca va mieux. Je me mate dans le miroir et l'eau colle mon short à ma pine. On peut même voir que je suis circoncis. Je souris et retourne à la colle.
Il ne reste plus grand-chose à faire mais tout seul je ne peux pas. Surtout pour une grande table tout au fond. On la prend avec le prof et il nous faut faire des pauses. Je la cale à chaque fois sur mes cuisses et elle fait descendre mon short, dévoilant bientôt ma touffe blonde. Je vois que le prof n'arrête pas de mater. Je rigole. On pose la table et retourne dans la 1ère salle. J'ai gardé mon short ras la touffe. Je prends mon débardeur et m'essuie le torse. Le prof n'arrête pas de me mater. Des petits coups d'oeil. ;Je lui demande de faire une pause car la table était vraiment lourde et qu'il ne reste quasiment rien à déménager.
Je m'affale sur une chaise, écarte mes jambes et pose ma main contre ma cuisse.
Doucement mes doigts vont masser mon gland.
Le prof mate.
Je fais mine de me gratter la cuisse et remonte le short, mon gland sort, gonflé, je sens presque son odeur.
Le prof rougit.
Je monte un peu ma cuisse pour m'étirer et en plus de mon gland mes boules sortent. Je sens le bois frais contre mes boules velues.
Le prof ne peut pas détacher ses yeux.
Je le mate et lui dit, monsieur, allez, y, touchez, vous verrez ca mords pas.
Et je baisse mon short.
Dévoilant mon zob bien lourd.
Il mate, ne dit rien. Veut dire non mais finalement s'approche.
Je masse doucement mes boules, mon paquet me met a bander, à peine.
Il approche sa main doucement. Chaude. Masse mon gland qui gonfle. Et se met entre mes cuisses. Je vois sa bouche s'ouvrir et engloutir mon gland.
Je gémis.
Il n'a pas l'habitude, je sens ses dents sur mon gland mais j'aime le sentir comme ça à ma merci.
Je bande a fond maintenant, 21cm bien raide à engloutir pour une première
;Il suffoque tousse.
Je lui dis d'y aller doucement. Qu'il le fait bien.
Je lui caresse la tête.
Je passe une jambe entre ses cuisses et remonte vers son paquet. Je sens son sexe chaud contre ma jambe. Il gémit quand je le masse.
Je sors ma pine de sa bouche et lui masse le visage de mon gland baveux et humide.
Il se jette dessus pour me sucer encore.
Je me redresse, le prends dans mes bras et le pousse contre une table sur le dos. Son sexe déforme son jean. Je lui ouvre le jean. Mate son slip moche que sa mère a du lui acheté déjà tout mouillé d'envie.
Je lui baisse. Une belle touffe brune. Un sexe pas très grand mes bien raide. Qui palpite. Je le prends en main. Décalotte doucement. Son gland apparait humide de mouille. Je le masse avec mon pouce. Il gémit " non, non ".
Je lui vire son fut, mets son slip dans ma poche de short. J'approche ma bouche.
Il sent bon le male. Son gland sent l'homme et surtout son désir. Je suce son gland, tout doucement, en fait le tour avec ma langue. Masse son méat du bout de ma langue puis l'avale tout entier. Mon nez dans ses poils vierges.
Il gémit.
Je suce doucement.
Ma main s'empare de ses boules que je tire pour dresser son sexe.
Il me gratifie d'une nouvelle coulée de mouille que j'apprécie.
Je le suce comme il n'a jamais été sucé. Je le sens qui frissonne sur la table.
Je me mets entre ses cuisses et doucement les écarte. Une main le branle, masse ses couilles, l'autre glisse vers sa raie velue. Il ne dit rien.
Je salive sur mon doigt et pousse sur sa rondelle.
Il se contracte. " Je ne veux pas que tu m'encules, tu es trop gros ".
Je réponds que je ne veux pas l'enculer mais juste lui donner un plaisir comme il n'en a jamais eu et je pousse mon doigt.
Son anus est serré, chaud et humide.
Je fais glisser mon index contre l'intérieur de son trou et après quelques cm je sens sa prostate. Je l'effleure, doucement. Il gémit. Je masse plus fort. Sa teub se raidit encore, je la suce a fond. ;Ma langue va et vient sur son gland, ma main serre la base de sa teub et ses boules l'autre joue de sa prostate. Il se tortille sur mon doigt. Je le sort de son cul, le lèche (humm quel gout). Puis enfonce 2 doigts directement.
Il lâche un jet de mouille. Je doigte et masse sa prostate le sens qui halète n'en peux plus. Je gobe ses boules en le branlant. Je sens, sous ma langue ses boules qui remonte. Il gémit, non, il hurle et lâche un jet de foutre monumental. Je l'entends éclabousser le mur derrière sa tête. Son anus se contracte à chaque jet sur mes doigts.
Il jute encore et encore. Zèbre de foutre son t-shirt. Je lâche son sexe laisse son cul faire sortir mes doigts. Lui masse la rondelle doucement.
Je me lève, lui dit salut, que c'est l'heure que j'ai fini ma colle et me barre, ma teub raide ballottant dans mon short.
Je l'entends encore gémir quand je ferme la porte.
Une fois arrivé chez moi je me suis bien branlé dans son slip et j'ai passé un bien bon samedi soir !
Et parfois je me branle encore dans son slip moche que j'ai embarqué...
Le mur est encore taché de son foutre mais seul lui et moi savons ce que c'est...
Et maintenant vous ! lol.
Fredblond
fredblond@voila.fr
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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