HISTOIRE DE DAVIDDavid, ce jeune homme vient d'avoir 18 ans. Blondinet au corps musclé, il vit encore chez ses parents. Etudiant, il ne roule pas sur l'or. Il est en seconde année de B.T.S. de Commerce International. David a compris très jeune qu'il plaisait aux hommes. En général, ce sont des hommes mûrs qui le matent et ça lui arrive très souvent. Mais jusque-là, il y prêtait peu d'attention et préférait répondre aux avances des filles. Elles aussi le trouvent généralement à leur goût et ce n'est pas les occasions qui lui manquent. Sa dernière petite amie s'appelait Lucie et ils s'entendaient bien tous les deux. Mais voilà. C'est là qu'est apparu Gérard. Un homme de 45 ans, viril et bâti comme une armoire à glace. C'est cette virilité avant tout qui a attiré David. En fait, c'est le remplaçant du professeur d'anglais. Celui-ci a eu une grave maladie et est arrêté jusqu'à la fin de l'année scolaire. La première fois que Gérard... ou plutôt que monsieur Marquez est entré dans la classe, tous les yeux se sont tournés vers lui avec curiosité. Le remplaçant !.. On se posait bien des questions à son sujet... Comment allait-il être ? Sympa ou une vraie peau de vache ? Jeune, vieux, moche, ringard ? Les filles ont tout de suite été rassurées. Monsieur Marquez était vraiment un bel homme, souriant, à l'aise, sachant immédiatement se faire apprécié. Quand David a croisé le regard du remplaçant, il a senti une brusque bouffée de chaleur. Il n'avait jamais ressenti cela et ne savait pas ce qui lui arrivait. En tout cas, il ne savait plus ou se fourrer et se sentait affreusement mal. Durant ce premier cours, Monsieur Marquez l'enveloppa de son regard étrange à plusieurs reprises et à chaque fois, cela produisit le même effet sur David. David n'osait même plus lever la tête car il avait trop peur que tout le monde puisse constater l'effet que lui faisait cet homme. Si Caroline, sa voisine, avait vu la bosse qui se formait dans son jean et la sueur froide qui lui coulait au creux des reins, elle aurait probablement pensé que c'est elle qui provoquait cet émoi. Mais la vérité était tout autre... David se surprit aussi, à ce premier cours, à jeter un regard furtif vers l'entrejambe de son professeur quand il pensait que personne ne le verrait et surtout pas le professeur en question. Celui-ci avait un pantalon gris anthracite, bien coupé, mais suffisamment près du corps pour qu'on puisse deviner un membre hors du commun. Ou alors, son sexe était si développé qu'aucun pantalon n'aurait pu le masquer complètement... Ce constat accentuait encore plus la confusion qui régnait dans les pensées de David. Et en plus, à la fin des cours, David pu entendre les filles murmurer entre elles, très excitées d'avoir pu elles aussi, constater la virilité peu commune de leur nouveau professeur. On était un vendredi et David ne pensa plus à son professeur durant tout le week-end. Mais quand arriva le cours du lundi, ce fut encore pire ! Les élèves travaillaient en petits groupes séparés, sur deux ou trois table et Monsieur Marquez passait de tables en tables pour les aider dans leurs exercices. La chaise à la droite de David était inoccupée et le professeur s'y installa en la déplaçant de manière à ce que sa cuisse vienne se coller à celle de David. Et à nouveau, celui-ci fut pris comme d'un vertige. La cuisse du professeur était musclée, ferme et se plaquait vigoureusement contre la sienne. David pensait à un hasard, que monsieur Marquez ne faisait pas attention... David essaya de repousser discrètement sa chaise pour s'éloigner un peu de la chaleur pénétrante qui se dégageait au travers du tissu du pantalon de son professeur. C'est à ce moment qu'une main ferme attrapa la sienne, sous la table, et la plaqua en un endroit qui manqua faire mourir David. En fait, monsieur Marquez avait tout simplement posé la main droite de David sur sa braguette. David aurait bien voulu ôter sa main, mais il n'en avait pas la force. Il voulait faire comme si de rien n'était, mais une volonté plus forte que la sienne le forçait à explorer ce sexe au travers du tissu du pantalon. Il sentait que le membre se durcissait sous sa main et en fait, cela lui procurait un plaisir immense. Sa propre queue aussi avait une érection comme jamais elle n'en avait eu jusqu'alors et elle lui faisait mal. David sentait même son entrejambe se mouiller et son slip se tremper. David osa jeter un regard autour de lui, persuadé que tout le monde avait les yeux rivés sur lui... Mais étonnamment, personne ne faisait attention à son manège et à celui de son professeur. Tous les élèves étaient penchés sur leurs exercices. Quant à monsieur Marquez, il expliquait tranquillement une règle de grammaire complexe à Véronique, qui le mangeait des yeux. Quel homme ! Du coup, David se reprit un peu. Il pensa que s'il retirait sa main, tout rentrerait dans l'ordre et qu'il pourrait éviter tout contact physique avec son professeur à l'avenir. Il pourrait même tenter de le voir comme un simple professeur remplaçant, un professeur comme tous les autres... Mais le sexe qu'il palpait était devenu dur comme du béton et avait atteint une taille telle que jamais David n'aurait pu imaginer qu'une queue puisse avoir une telle dimension. Il se surpris même à rire intérieurement, en pensant au spectacle qu'offrirait monsieur Marquez s'il se relevait maintenant. Ce doit être cette idée amusante qui le poussa à faire glisser la fermeture éclair de la braguette de son professeur. Le tissu était tendu à craquer, la fermeture, prête à exploser, et David sentit une masse dure jaillir de l'ouverture. C'était brûlant et moite. Le sexe difficilement contenu dans le slip du professeur était aussi trempé que le sien et David sentit sa bouche se dessécher. Il eut brusquement l'envie de lécher ce membre couvert de mouille, de s'en délecter, de sentir couler dans sa gorge ce liquide qui se répandait inutilement dans le slip du professeur... Monsieur Marquez ôta brusquement la main de David de son pantalon, et de manière incompréhensible, se releva au bout de quelques secondes sans que rien sur lui ne puisse faire deviner ce qui s'était passé juste avant... A SUIVRE pierre75 Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |