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Beau locataire
J'ai depuis plusieurs années aménagé trois studios au premier niveau de ma maison que je loue à des étudiants dans la région lyonnaise.
Ce dispositif, outre rendre service aux jeunes, à l'avantage de ne plus avoir de locataires de juin à octobre, formule qui permet de profiter pleinement de la maison en été.
Mes trois filles étant maintenant en couple la place ne manque pas, et en juin, juillet août, enfants et petits enfants envahissent les lieux.
Ayant un métier itinérant, je ne rencontre pratiquement jamais les jeunes locataires qui sont principalement des filles.
En mai, un soir, un des résident, vient sonner chez nous pour des questions d'hébergement d'été.
Avec mon épouse nous le faisons entrer et lui proposons un apéritif ce qu'il accepte avec une mine confuse.
" Je ne voulais pas vous déranger peut être êtes vous en train de manger ? "
" Non, non mais nous ne nous connaissons pas dis-je ? "
" Je m'appel Nicolas, locataire chez vous depuis Novembre, et suis étudiant à l'école de commerce. J'ai 21 ans, j'habite Besançon. Je pars chaque vendredi soir chez moi et reviens ici que le lundi soir. "
En écoutant cette voix timide et feutrée je détaillais mon interlocuteur : 1m70 environ, yeux vert, look d'ados imberbe, vêtu d'un panta-court gris et d'un large tee shirt blanc.
Une mèche blonde rebelle lui tombait régulièrement sur les yeux qu'il remettait en place d'un geste sec.
Si je n'avais eu son pédigré, je lui donnais 18 ans à tout cassé. Une fossette sur le menton soulignait un petit sourire timide qui cachait difficilement son embarras de faire la démarche.
" Voilà, dis Nicolas, je suis embêté ; je devais vous rendre l'appartement le 30 mai, mais je fais un stage de 8 semaines au magasin carrefour et dois rester dans la région jusqu'à fin juillet "
" Aucun problème, dis je, vue le temps que vous passez chez nous vous ne dérangerez pas plus que ça "
" Je vous remercie, mais les horaires sont particuliers je vais travaillez de 6 h30 à 13 h du mardi au samedi et rencontre avec mon maître de stage les 4 premiers lundi. De ce fait, je ne pourrais rentrez chez moi les week-end. Si cela est possible, comment modifierez vous les tarifs de location ? "
J'avais devant moi un adorable jeune homme, blondinet, dont les joues étaient empourprées par la timidité, ce qui touchait ma tendresse de père, et me faisait fondre d'émotion voyant les efforts qu'il déployait pour arriver au bout de sa demande "
Etant moi même manager d'équipe je ne pu que lui dire : " et bien pour un futur commercial la timidité vous ronge, ce n'est pas un atout pour votre métier "
" Je sais mes profs me le disent souvent, mais je me prépare à un poste d'organisateur plus que de commercial. "
Ceci étant dit avec mon épouse nous acceptons la demande de Nicolas et lui indiquons qu'il n'est pas question de lui demander une participation supplémentaire n'étant pas rémunéré pour son stage.
Suite à un accident de voiture dans le cadre professionnel, avec le fameux " coup du lapin ", je me trouve depuis le 4 juin en repos forcé à la maison pour plusieurs semaines.
Aussi à plusieurs reprises, les après midi en passant devant les fenêtres de Nicolas je l'apercevais en train de travailler à son bureau, et lorsqu'il me voyait il ne manquait pas d'ouvrir, de me saluer et nous échangions quelques banalités sur son stage et ma santé.
La région lyonnaise dés début juin connue des poussées de chaleurs estivales immobilisant chacun dans de fortes suées.
J'avais installé ma piscine gonflable qui, quoi que, de dimensions réduites, permettait aux enfants et deux ou trois adultes de se tremper sans pour autant pouvoir nager mais le rafraîchissement est salvateur.
La deuxième semaine de juin, le pic de chaleur était à son comble et le thermomètre affichait 33 degrés.
Je ne supportais que mon maillot de bain, qui me permettait de me rafraîchir de temps en temps dans la piscine.
En descendant regarder mon courrier j'aperçus Nicolas torse nu et en short court à son poste de travail.
Il se pointa à sa fenêtre et je découvrais un torse lisse sans aucun poil, avec deux petits tétons mince à la couleur pale. Son corps, sur lequel roulais quelques goûtes de sueur n'avait pas vu le soleil depuis l'été dernier. Cette peau blanche et fine contrastait avec la mienne halé par les nombreuses expositions.
" Nicolas, si tu veux, tu peux venir te tremper deux minutes dans la piscine ce n'est pas le Pérou, mais avec cette canicule, c'est une excellent façon de ce rafraîchir. Tu ne dérangera personne puisque je suis seul l'après midi, ne sois pas gêné. "
" Je vous remercie c'est vrai que je suffoque, mais je n'ai pas de maillot de bain "
" Viens en slip entre mec il n'y a pas de problème ! Viens quant tu veux. "
Un quart d'heure après alors que je lisais affalé dans mes 40 cm d'eau je vis arriver Nicolas, il quitta son short et je découvrais la totalité de ce corps à la musculature fine et fluette.
Ayant mes lunettes de soleil qui cachaient mes yeux, je pus tout à loisir détailler ce corps superbe qui n'avait que quelques poils blonds sur les mollets.
Son shorti en nylon blanc lui faisait une seconde peau et détaillait un sexe bien plaqué sur le ventre au dessus de deux boules bien proportionnées.
Il rougissait comme à son habitude et se doutant que je l'observais derrière mes lunettes paru assez gêné.
Il n'osait entrer dans l'eau et attendait sur le bord. J'avais l'impression que depuis le court instant qu'il était devant moi une légère érection apparaissait dans ce slip moulant.
Pour ma part je peux vous dire qu'elle était d'enfer réagissant assez rapidement. Mais dans l'eau je n'avais pas de soucis qu'il s'en aperçoive.
Après mon invitation, il s'installa en face de moi et comme le diamètre de la piscine est assez petit nos pieds se touchaient ce qui me faisait une émotion forte.
" Dis moi, je te voyais debout devant moi mais il mes semblait que tu commençais a triquer ! C'est les mecs qui te font ça ? "
Non me répondit- il mais je sentais que derrière vos lunettes vous me matiez !et les réactions ne se maîtrisent pas ; "
Tu as une copine ? Non me répondit il. Un copain ? Des amis simplement bredouillait il gêné.
En vrai monsieur, si je peux avoir confiance en vous, je peux vous dire que je n'ai pas eu de relations approfondies jusqu'à aujourd'hui.
La conversation commençait à m'intéresser au plus haut point.
" Cela signifie donc que tu es puceau ? " seul son silence me fit comprendre que je ne m'étais pas trompé.
Après une heure de trempette silencieuse ou presque, je pris l'initiative de sortir de la piscine suivi par le petit Nicolas.
Le fait que son shorti nylon blanc soit mouillé, le rendait presque transparent me laissant imaginer un sexe court fin et non circoncis.
Tiens prend une serviette et tu peux étendre ton maillot sur le fil à coté du mien pour qu'il sèche dis-je d'un ton qui ne permettait pas le refus.
Je commençais à m'essuyer et feignant d'ignorer mon compagnon, j'ôtais mon maillot de bain et le plus naturellement du monde me dirigeais à poil vers l'étendage.
En revenant vers Nicolas je le lui adressais un sourire pour le décoincer ;
" J'aimerais avoir un corps bâti comme le votre me dit il, je me trouve trop maigre et pas assez musclé ; "
" Tu es jeune Nicolas moi j'ai 50 ans mais moi je rêve de posséder un corps comme le tiens ! "
" Dans quel sens posséder ? "
" Dans tous les sens que tu imagines dis je dans un éclat de rire...même les plus secret. "
" Vous êtes bisexuel ? "
La question aussi directe me sidéra et appela de ma part une réponse immédiate.
" Oui, mais je n'ai connu que des rencontres très occasionnelles et peu nombreuses mais si un mec comme toi me tombais sous la main je ne saurais pas me retenir ? "
" Moi je pense que lorsque je tomberais amoureux ce sera peut être d'un garçon ! "
Le naturel avec lequel il tenait ses propos me décontenançait croyant qu'il était complètement bloqué alors qu'il possédait une forte capacité d'analyse. " Cette fois c'est moi qui me trouvait sans réponse. Aussi je brisais cet instant de flottement.
" Alors, tu veux étendre ton caleçon ou tu le laisse sécher sur toi ? "
Il rougit et commença à descendre son slip blanc en me tournant le dos ;
Je pouvais observer des fesses rebondies lisses et blanche recollées à un dos mince ou apparaissait les pointes de la colonne vertébrale et deux fines cuisse serrées.
Il me tendit son short s en se plaçant de 3/4 par rapport à moi, de cette façon je ne voyais toujours pas son sexe.
" Attend, tu rêves, ce n'est pas moi qui vais étendre ton linge ! Tu as des épingles dans le panier plastique et le fil est ici... "
" Il se déplaça pour s'exécuter et au retour, il me faisait enfin face et ma stupeur fut grande de découvrir un sexe fin de petite taille deux superbes valseuses collé à la verge, et surtout l'ensemble absolument imberbe, sans un poil ! Une vision inimaginable, se présentait à moi "
" Waouh... tu est superbe ! "
" Ne vous moquez pas de moi, me dit il, j'ai fait le pari de me raser si j'avais plus de 15 à l'écrit ! "
" Bravo, lui répondis je et si tu a plus de 10 à l'oral on fait le paris que je te suce ? "
Il rougit à nouveau mais cette fois avec un petit sourire espiègle et l'image de ma provocation lui traversa certainement la tête puisqu'une érection naissante se voyait carrément. "
Il posait ses mains sur son sexe en me disant, " ne vous moquez pas de moi, je sais que je ne fais pas mon age et maintenant rasé je dois être ridicule, que cela reste entre nous s'il vous plais ! "
Pour le rassurer et lui montrer mon amitié, je m'approchais, le pris par les épaules. Étant 15 cm plus grand que lui, j'avais mon sexe à la hauteur de son nombril et sans le vouloir sa bite en érection maximum me touchait la cuisse. "
Je me mis à rire en lui disant " et bien tu vas me perforer ! Avec ton engin ! "
Joignant le geste à la parole je touchais la pointe de cette petite bite dressée, parfaitement droite et ma main rencontra un gland mouillé de sperme naissant. "
" Eh bien, je te fais de l'effet. Mais tu ne te rends pas compte que c'est réciproque lui montrant du menton ma queue qui avait pris ses proportions de combat déroulant ses 19 cm très actifs. "
Je pris l'initiative de ne pas enlever ma main et de peloter les valseuses à la peau lisse.
" Doucement me dit il, j'éjacule très vite ! "
" Tu te branles souvent Nicolas ? "
" Au moins une fois par jour et vous ? "
Pour toute réponse je l'approchais de mes lèvres et lui déposait un baiser qu'il ne tarda pas à me rendre activement et goulûment "
Le bougre devait cacher son jeu car il embrassait comme un expert !
Doucement je lui baisais le front, le cou, les tétons, pour arriver aux bourses et à la queue.
Un léger tressaillement se produisit à l'introduction de sa bite dans ma gorge.
Après quelques vas et viens de son membre tendu, il me dit : "J'ai envie de vous voulez vous m'initier à baiser ?
Encore une fois pour toute réponse je posais mon doigt sur sa rondelle rose et commençais un doigté d'enfer .A ses mouvement lascifs qui accompagnaient mon offre, je compris que son cul était peut être vierge mais qu'il attendait beaucoup !
Je pris Nicolas par la main et l'entraîna dans le salon afin de ne pas poursuivre nos échanges en pleine nature.
Il se laissa docilement allonger sur le canapé puis, se laissa sucer en me repoussant de temps à autre quant il sentait sa semence monter.
Ayant enduit mes doigts de gel, je glissais un doigt dans ce petit trou serré.
Voyant le tortillement de son corps et le gémissement de plaisir, je poursuivis avec deux doigts ce qui le fit pousser de petit cris rauques.
Je poussais l'initiation jusqu'à forcer la rondelle étroite avec trois doigts bien lubrifiés et aux mouvements de son corps je sentais que c'était le maximum que ce petit cul pouvait accepter sans trop de douleur.
Je pensais que si mes trois doigts entraient ma bite devait aussi entrer.
Doucement je retournais mon petit bonhomme et posais ma queue sur son petit trou rose.
Aux frétillements de sa croupe je compris que je pouvais transformer l'essai.
Après avoir enfilé un préservatif, je poussais doucement ma bite sur sa rondelle rose pour me frayer un passage.
Doucement, millimètre par millimètre, j'enfonçais toujours plus mon pieu.
Au bout de quelques minutes, je sentis tout d'un coup que j'étais dedans et que je pouvais poursuivre .Un coup sec, un cri, et je m'immobilisais un instant pour, lui permettre de reprendre ses esprits.
Doucement Nicolas se mit à faire coulisser mon sexe dans ses entrailles avec des petits cris sourds. Bientôt, c'était fait, j'avais enfoncé ma queue jusqu'à la garde et mon petit mec semblait commencer à apprécier.
De ma main droite je caressais son petit sexe imberbe qui bandait à craquer.
Puis, je lui proposais de changer de position, je me couchais sur le dos et il s'empala sur ma queue. Cette fois la pénétration fut sans histoire sa rondelle étant complètement dilatée.
Après trois ou quatre mouvements, Nicolas cracha en longues saccades son foutre chaud.
Je fus surpris de la grande quantité de semence qui sortait de cette petite bite.
Son premier jet m'atteignit le visage, et le reste m'inonda le torse.
Ce liquide blanc et lourd développait une odeur acre qui me grisait.
" Tu ne vas pas me laisser tout ça sur moi ? Tu peux bien goûter ta semence ? "
Et à ma surprise ce fut sans lui redire, qu'a grand coup de langue et visiblement avec beaucoup de plaisir qu'il me lécha le torse. Il m'affirma que c'était la première fois qu'il avalait du sperme et surtout que maintenant, il n'était plus puceau.
Visiblement, son initiation s'était fait sans traumatisme et sans trop de douleur.
C'est important que dés la première fois le plaisir apparaisse.
Maintenant, il ne se passe pas un jour sans que je ne rencontre Nicolas.
Et en trois semaines nous avons renouvelé deux fois l'expérience. L'espacement de nos rapports était justifié, à ses dires, par le besoin de sa rondelle de retrouver toute sa capacité.
Je dois reconnaître que je ne pouvais rêver mieux pour ma convalescence.
-yannick-
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