Retour à l'antiquitéEn 42 apr. JC., Sextus Empiricus, dit Sextus le Jeune, se rend au banquet de Servius Titus. Le soleil s'est déjà couché. Son titre de sénateur lui donne droit à assister à plusieurs banquets tenus par son ami, où débats politiques et philosophiques se déroulent. "Je viens voir Servius Titus, je suis le sénateur Sextus Empiricus. Annonce moi à ton maître "Le jeune esclave fait rentrer le beau Sextus. Sa chevelure blonde, courte, brille face aux bougies qui éclairent l'entrée. Malgré son âge avancé (pour l'époque), bientôt 40 ans, Sextus reste un homme beau, séducteur, et qui a une franche attirance pour les hommes. Il patiente dans l'entrée pendant que l'esclave disparaît derrière un rideau où se tient très certainement le banquet. Il revient quelques minutes plus tard : Sextus est attendu. "Quel est ton nom jeune esclave ? Sextus reconnu bien là son cher Servius. Il esquissa un sourire, réalisant que son ami n'avait convoqué que des sénateurs particulièrement proches des hommes. Sextus finit par entrer, salua chacun des sénateurs, tous très différents : Ulpius était le plus vieux, le plus "sage", Annius était grand, brun, très bien bâti, Aelius (qu'il connaissait déjà très bien pour avoir été très lié à lui pendant quelques temps) avait un visage dur et cachait un coeur d'artichaut. Domitius, Vibius et Hadrianus étaient liés par des liens familiaux : ils étaient tous trois cousins. Verus était le plus jeune, le plus frêle, mais Sextus devina au regard qu'il lui adressa, qu'il recelait de nombreux talents cachés. Enfin, le maître de la maison, Servius était encore jeune pour son âge. Le même physique de Sextus mais en brun. Le banquet des beaux étalons commença sérieusement, les neufs sénateurs commençaient à débattre : conjurations, économie, l'empereur, etc. Les discussions se révélaient mouvementées. En même temps, les beaux esclaves se succédaient pour nourrir et faire boire leurs supérieurs. Sextus échangeait des regards intenses avec Lanolius, le jeune esclave. Les six esclaves arrivèrent, prenant les toges viriles de ces messieurs et les rangeaient dans une autre pièce. Rapidement les sénateurs se retrouvèrent tous nus...puis les corps, les mains commençaient à se confondre sur cette grande surface. Les hommes commençaient à s'allonger, échanger des caresses avec leurs voisins, à s'embrasser. Sextus lui pensa qu'il devrait d'abord remercier son hôte Servius. Il s'allongea à ses côtés : ils se caressèrent longuement. Puis Sextus descendit avec sa langue le long du ventre de ce bellâtre. Enfin, il atteignit son chibre. Grand, imposant, large et dominant, celui-ci néanmoins ne résista pas aux assauts de Sextus. La langue de celui-ci parcourait de haut en bas le beau membre de Servius. Servius gémissait en même temps que d'autres : les trois cousins étaient restés ensemble, se livrant à un trio de pipes. Aelius s'était précipité sur Verus dont le corps frêle et mince devenait un véritable jouait pour ce colosse... Quant à Ulpius, du coin de l'oeil, il regardait la scène, se touchant et appelant un des esclaves pour assouvir ses désirs. Sextus sentit alors trois chibres s'avancer vers sa bouche. A peine avait eut le temps d'avaler le liquide chaud de son hôte, que les trois cousins Domitius, Vibius et Hadrianus commençaient à le caresser. Domitius, le plus âgé des trois introduit son sexe dans la bouche de Sextus. Ce dernier vit alors Servius s'éloigner pour rejoindre Verus et Aelius. Le sexe de Domitius était aussi très long mais moins large. Il donnait des coups de reins en tenant la tête de Sextus qui se retrouvait à quatre pattes. Pendant qu'il suçait l'important chibre de Domitius, il sentit alors une bouche saisir son sexe déjà bien dur. C'était Vibius qui avait glissé sa tête entre ses jambes. Il avait saisi son sexe du sénateur et commençait à le travailler. Le plaisir déjà intense, étant à quatre patte, le plus jeune des trois, Hadrianus commença à lécher les fesses de Sextus. Sextus était aux anges, il était l'objet de ces trois cousins. Hadrianus glissait sa langue dans son intimité, il suçait le grand Domitius et se faisait sucé par Vibius dont la bouche savait faire des merveilles. Sextus mouillait de plus en plus, sentant cette langue chaude en lui. Domitius continuait à se faire sucer pendant que Hadrianus et Vibius changeaient de place. Vibius fait descendre un peu Sextus afin que son anus se retrouve a niveau de son chibre. Toujours à quatre pattes, Sextus sent alors un chibre entrer dans son anus : ce n'est pas Vibius mais Hadrianus qui rentre. Sa longue bite s'enfonce de plus en plus et Sextus ne peut s'empêcher de crier de plaisir. Puis soudain, Vibius saisit les hanches de Sextus : il commence à s'introduire également dans son anus. Sextus se retrouve donc à suçon Domitius et à se faire prendre par Vibius et Hadrianus. Malgré les premières douleurs, Sextus ressent un plaisir immense quand ces deux chibres dans un même mouvement le pilonnent fortement. Sextus n'en peut plus, les rythmes dans sa bouche et au niveau de son trou s'accélèrent de plus en plus... Les va-et-vient sont de plus en plus rapides. Les trois cousins gémissent ensemble ainsi que Sextus : pour ce quatuor, ce n'est que le mélange des plaisirs. Les deux chibres qui ramonent Sextus accélèrent de plus en plus...En même temps, elles jouissent dans l'intimité du sénateur qui sent des giclées fortes de sperme s'écraser contre les parois de ses entrailles. Bientôt Hadrianus n'en peut plus et gicle dans la bouche de Sextus qui avale une nouvelle fois une flopé de liquide chaud qu'il aime tant. Les trois cousins veulent ensuite faire jouir le bellâtre qui refuse. Bredouilles, ils finissent finalement par s'occuper des uns et des autres. Sextus, épuisé mais aux anges, se lève et décide finalement de se diriger vers Aelius et Verus : ils sont dans un 69 torrides. Il se mêle à leurs corps : Verus attrape le pénis de Sextus qui attrape celui d'Aelius. Ce trio se suce frénétiquement, jouissant du moment présent. Le sexe d'Aelius est énorme : Sextus a même du mal à le prendre en entier. Soudain, Aelius et Verus se lèvent et prennent la tête de Sextus qui se voit offrir deux beaux chibres. Il n'hésite pas à les sucer longuement chacun leur tour. Le plaisir est partagé. La langue de Sextus fait des miracles, cette sensation chaude ne fait pas tenir longtemps les deux hommes qui giclent chacun leur tour sur le torse de Sextus. Pour ne pas le laisser ainsi, les deux hommes l'allongent et lui lèchent le torse pour recueillir leur douce semence. Ils commandent du vin et vont s'asseoir tous les deux. Sextus reste donc sur la grande surface en couchage et cherche enfin une autre victime : il s'attaque ensuite à Ulpius qui a reçu la semence de son jeune esclave sur le ventre. Ce dernier part précipitamment, craignant une sentence de la part du sénateur qui se retrouve seul, insatisfait. Sextus s'approche de lui qui est assis sur un couffin : Immédiatement, Sextus s'assoit sur les genoux du plus âgé en introduisant son sexe encore puissant pour son âge, dans son intimité. Alors, le visage d'Ulpius témoigne du plus grand plaisir. Il saisit alors les hanches de Sextus qui rebondit et fait des allers et venues sur le sexe du grand maître. Son sexe est dur et puissant. Les coups de reins du grand maître le sont aussi et Sextus sent même les testicules taper contre ses fesses. Sextus accélère lui même le rythme pour le plus grand plaisir de son partenaire. Enfin, n'y tenant plus, les muscles d'Ulpius se crispent, ses mains ses serrent autour des hanches de Sextus qui sentant l'explosion proche s'enfonce au maximum. Ulpius jouit de 8 bonnes giclées enfin dans l'antre de Sextus. Sextus l'ayant rassasié, Ulpius le remercie. Pourtant Sextus, bien que son chibre soit au garde à vous ne désire pas jouir maintenant. Derrière les rideaux, il voit son jeune esclave Lanolius qui semble animé de convulsions : il s'approche et remarque qu'il est en train de se masturber. Sextus s'approche de lui, le tourne contre le mur et le masturbe. Lanolius est appuyé contre le mur, les deux bras tendus, le dos cambré. Il détourne la tête pour embrasser le sénateur. Ils s'embrassent longuement. Puis par rituel de ces orgies, Sextus se dirige au centre de la surface de couchage, tenant par la main le jeune esclave : tout le monde a recommencer à s'activer sur les chibres de chacun. "Ne t'inquiète pas, tu n'auras pas mal, donne toi à fond, je sais que tu es le meilleur ici". Salocinnr71@caramail.com Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |