Premieres années lycée.On se sent grand d'un coup. Je suis super exiter à l'idée de retrouver la plus part de mes amis, de voir les ''changements'' qu'il y a pu y avoir chez certains et de voir de nouvelles têtes. On ne va pas se le cacher, le lycée, pour la plus part d'entre nous, et l'endroit ou les hormones nous travailles, ou nous voulons allez plus vite que la musique. Tous les élèves sont ammassés dans la cours et se ruent sur les vitres des batiments ou sont affichés les listes des élèves par classes. On se poussent, se touchent, se collent. Il fait chaud et on veut tous entré en classe, posé notre cul sur une chaise et commencé notre premiers journée de cour. Je suis hétéro et le revendique très bien. Les premiers mois passent. Je fait parti de la catégorie des ''beaux mecs du lycée''. Ce clans si select défini par la plus part des filles, ou les mecs eux même ne se sont jamais parlé. Je traîne avec une bande de pote que je me suis fait au fil des jours. Quelques connaissances d'amis. Les amis de mes amis. Et biensur, les ambrouilles avec le clanc des ''je suis plus fort''. Biensur, les ''je suis plus fort'' ne viennent jamais chercher des mouisses aux ''beaux mecs du lycée''. C'est le code. Bizarrement, aucuns clan ne définit les belles filles. Elles sont discrétes. Certaines se la joue ''bonhomme''. Je suis sorti quelques jours avec une très belle fille métisse. Marante et pleine d'avenir. Jusqu'au jour ou je me lêve et que je me rend compte que je ne suis pas moi. Comme un déclic. Je prends soin bien entendu de quitter ma copine qui, me fait part de sa tristesse Je me sens bien en célibataire. Je m'amuse à faire courir les filles qui tombent comme des mouches. Mes copains hétéro se délectent de se manége. Mais j'en reviens très vite à cette question: Qui je suis? Je commence à avoir quelques difficultés de concentration en cours. Des questions tournent en boucle dans ma tête. La sonnerie retentie. J'ai envie de vite sortir pour prendre l'air. Mon sac à la main, je cours avec ma bande de pote d! Midi. Le self. Je sais qu'il y mange car je l'ai déjà appercu. J'ai qu'une envie, me placer à ces côtés. J'attends mon tour pour prendre mon plateau et je balaye du regard les tables. Je le vois, il mange seul sur une petite table de 4. On est beaucoup trop avec mes potes. Je commence à chercher un mensonge quand on cherchera une place pour manger. Je me sers en spaguetti bolo et j'avance doucement vers sa table. Je prétends que j'ai envie d'être au calme pour manger et j'indique la table à quelques potes. Deux d'entre eux s'y précipitent. J'ai peur qu'un d'entre eux se place à côté de Lui. Non, la place est libre et je pause mon plateau. Je m'assois brutalement et mon genou cogne sur le siens. Il rigole, me dit qu'a se rythme là, je le vendrai en piéces détachées sur Ebay. Je ne peux pas m'empécher d'afficher un sourir niai. Il a une voix douce et masculine. Une voix qui reste en tête. Mes potes mangent comme des sauvages. Il finissent en cinq minutes et se dépéchent de partir pour allez courir après les filles. Il me laissent, en plant, avec Lui. On mange timidement et pour brisé la glace je me présente et il me dit enfin qu'il s'appel Brice. Son prénom lui va bien. Il insiste pour que je me place en face de lui et ainsi manger en tête à tête. Je sent l'humour et le désire. Je m'excuse encore de l'avoir percuté, j'en deviens rouge et me dit que je suis beau comme ça. Ca me calme d'un coup. Il se sent gêné de me l'avoir dit. Je le vois manger son yaourt très vite. Il s'excuse. Part. Ne parcourant plus les bancs de l'école depuis 2 ans, j'ai réelement vécu cette histoire. LukaSi vous avez n'importe quelles critiques à me faire part, je vous laisse mon email: jordan.michaut@yahoo.fr Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |